Ivan Tourgueniev

naturalisme objectif d'un Zola et d'autre part vers le roman psychologique. Le roman russe a donné au roman réaliste plusieurs de ses chefs-d'œuvre : Guerre et Paix et Anna Karénine de Léon Tolstoï (1873-1877), Pères et fils de Ivan Tourgueniev (1862), Oblomov de Ivan Gontcharov (1858). Enfin, l'œuvre romanesque de Dostoïevski, dont l'importance pour l'histoire du roman est fondamentale, peut par certains aspects être rattachée à ce mouvement. Le réalisme s'impose également dans le reste de l'Europe

totalement étranger à la dégénérescence ultérieure des théories du même nom. Et surtout, en dehors de tout dogme, il marque le commencement du théâtre national russe, qui devait s'exprimer pleinement dans les œuvres dramatiques d'Ostrovski et de Tourgueniev, ce dernier, précurseur de Tchekhov. La langue scénique trouve dans leurs productions ses accents les plus amples. En outre, si les personnages gogoliens sont « typé » essentiellement de l'extérieur, les héros, d'Ostrovski commencent à vivre de

Le début du siècle voit apparaître une génération talentueuse dont Alexandre Pouchkine et Mikhaïl Lermontov font partie. La suite du «siècle d'or de la littérature russe» produit de grands romanciers comme Nicolas Gogol, Fiodor Dostoïevski, Ivan Tourgueniev ou encore Léon Tolstoï; puis la fin du siècle est marquée par la figure du dramaturge Anton Tchekhov. Au niveau institutionnel, on fonde à Saint-Pétersbourg l’Ermitage archivant des collections d'œuvres d’art universellement connues, le Musée

Maupassant « voir tout c’est là et voir juste » (Il entend par voit juste qu’il faut trouver aux choses une signification qui n’a pas encore était découvert et touché d’une façon personnelle. Il y a aussi une grand influence d’Edgar Allan Poe. Ivan Tourgueniev, conte d’une façon charmante une importance fantastique. Le gallois 1883 Dans la préface de la nouvelle de Maupassant « La Ficelle » publiée dans Le Gaulois en 1883, Louis Forestière reprend l’art de voir

en communication directe avec eux depuis le début de l’invasion ? – Oui, Sire, nos dépêches leur parviennent, et nous avons la certitude, à l’heure qu’il est, que les Tartares ne se sont pas avancés au-delà de l’Irtyche et de l’Obi. – Et du traître Ivan Ogareff, on n’a aucune nouvelle ? – Aucune, répondit le général Kissoff. Le directeur de la police ne saurait affirmer s’il a passé ou non la frontière. – Que son signalement soit immédiatement envoyé à Nijni-Novgorod, à Perm, à Ekaterinbourg, à Kassimow

invite Jules Duplan : « Que nous causions tranquillement ». Flaubert dîne chez Suzanne Lagier en compagnie des Goncourt, de Saint-Victor, de Gautier, de Cavé et de Sari. Flaubert participe au dîner Magny, où il rencontre pour la première fois Tourguéniev. Tourguéniev fait parvenir à Flaubert les deux volumes de ses Scènes de la vie russe. C’est le dernier dimanche de Flaubert à Paris : il reçoit les Goncourt et Hippolyte Taine. Flaubert et Jules Duplan vont voir Le Fils de Giboyer, d’Émile Augier, donné

transféré en 1878. Le soir, il travaille d'arrache-pied à ses travaux littéraires . En février 1875, il publie son premier conte, La Main écorchée, sous le pseudonyme de Joseph Prunier, dans L'Almanach lorrain de Pont-à-Mousson. Fin janvier 1877, Tourgueniev le rencontre et le trouve tout décati. Le diagnostic tombe : la syphilis. Cette maladie, il en mourra ne cessera d'empoisonner l'existence du jeune homme. Pendant ces dix années, sa distraction est le canotage sur la Seine, toujours en galante compagnie

drame au bord de la mer (1834) 6 – Prosper Mérimée, Mosaïque (1833), La Vénus d’Ille (1837) – Edgar Poe, Histoires extraordinaires (1840) – Nicolas Gogol, Le Nez (1835), Le Manteau (1842), Les Nouvelles pétersbourgeoises (1843) – Ivan Tourgueniev, Le Journal d’un homme de trop (1850), Récits d’un chasseur (1852), Roudine (1856) – Joseph Méry, Nouvelles (1852) – Henry James, Nouvelles (1864-1888), Le Tour d’écrou (1898), La Bête dans la jungle (1903) – Alphonse Daudet, Les Lettres

politiques. Dès 1868 et grâce à ses travaux journalistiques, il se lie avec les frères Goncourt, Edmond et Jules. Puis en 1871, il rencontre Gustave Flaubert. Celui-ci, à l'occasion de réunions dominicales, l'introduit auprès d'Alphonse Daudet et Ivan Tourgueniev. Toute sa vie, Zola gardera la nostalgie de ce « petit groupe » dans lequel de « trois à six, on entreprenait un galop à travers tous les sujets, où la littérature revenait chaque fois, le livre ou la pièce du moment, les questions générales

politiques. Dès 1868 et grâce à ses travaux journalistiques, il se lie avec les frères Goncourt, Edmond et Jules. Puis en 1871, il rencontre Gustave Flaubert. Celui-ci, à l'occasion de réunions dominicales, l'introduit auprès d'Alphonse Daudet et Ivan Tourgueniev. Toute sa vie, Zola gardera la nostalgie de ce « petit [?] dans lequel de « trois à six, on entreprenait un galop à travers tous les sujets, où la littérature revenait chaque fois, le livre ou la pièce du moment, les questions générales, les