Jacques Chaban-Delmas

(1887-1955), prisonnier de guerre puis résistant pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est, notamment, le père de Geneviève de Gaulle-Anthonioz ; * Marie-Agnès de Gaulle (1889-1982), nommée à titre honoraire colonel dans l'armée russe en 1950 ; * Jacques de Gaulle (1893-1946), handicapé en 1926 suite à une encéphalite, père de quatre fils : François (Père blanc), Bernard (27 août 1923), Jean et Pierre (13 août 1926) ; * Pierre de Gaulle (1897-1959), résistant, homme politique, administrateur de

l’essentiel à rallier les centristes et les républicains indépendants, partisans du « Non » lors du dernier référendum de De Gaulle en 1969. Le gouvernement est d’abord dirigé par Jacques Chaban-Delmas, qui essaie de promouvoir une « nouvelle société ». Plusieurs enseignements sont tirés de mai 1968 : Chaban-Delmas, représentant d’un gaullisme de tendance sociale, soutient la modernisation et la concentration des industries françaises, la négociation comme instrument de politique sociale, la

13 % des sondés le voient président du Conseil dans un avenir quelconque). De nombreuses manœuvres pour canaliser les complots ou insurrections à venir sont menées par les gaullistes (voir le rôle joué par Léon Delbecque en Algérie, envoyé par Chaban-Delmas, et qui rencontre de Gaulle plusieurs fois pour l’informer de l’évolution de l’Algérie). De Gaulle, s’il joue les indifférents, est prêt à profiter de la situation2. Voir dans la 1ère partie de la formation le chapitre 1 sur le corps électoral

président de la république Monsieur Charles de Gaulle, Gaston MONNERVILLE président du sénat, et Monsieur Jacques CHABAN-DELMAS président de l’assemblée national, il nommé chacun trois membre (un tous les trois ans pour une durée de 9 ans) en plus du président du conseil Monsieur Léon NOEL qui été nommé par le président de la république, aujourd’hui remplacé par Monsieur Jean-Louis DEBRÉ nommé par Jacques Chirac depuis 2007. Le conseil été également constitué de membre de droit dont Vincent AURIOL et Monsieur

ordonnances et les décrets délibéré en conseil des ministres». La question est de savoir si le président doit signé ou s’il peut refusé la signature? En 1986, au début de la première cohabitation, le président Mitterrand avait nommé comme premier ministre Jacques Chirac. Par l’article 38 celui-ci faisait adopter des textes par sa majorité parlementaire, et le gouvernement devait être délibéré en conseil des ministres, le président Mitterrand a refusé de signé les ordonnances. Les actes de l’article 13 signé

des reproches au gouvernement sur sa gestion des comptes. La pratique des institutions révèlera cependant des faiblesses : La possibilité de cohabitation entre un Président et un premier ministre de tendances opposées ( François Mitterrand et Jacques Chirac en 85). Cette situation insolite, qui se répètera plusieurs fois, montrera qu'en fait la France à un exécutif double: le Président et le 1er ministre, et qu'ils peuvent se mettre mutuellement un bâton dans les roues. C'est pour atténuer les

History of European Integration 1945-47. The formation of the European Unity Movement, Oxford, Clarendon Press, 1982 * Roland MARX, Histoire de la Grande-Bretagne, Paris, Editions Perrin, collection tempus, 1980 (réédité en 1996), 581 pages * Jacques LERUEZ, Le système politique britannique : de Winston Churchill à Tony Blair, Paris, A. Colin, Collection Compact. Science politique, 2001, 336 pages * François BEDARIDA, Churchill, Paris, Fayard, 1999, 571 pages * Winston CHURCHILL, Winston

modéré. Soir du 13 mai 1958 : « le gouvernement général » (siège autorité française en Algérie) est prit d’assaut par des manifestants et l’armée n’empêche pas, elle accompagne le mouvement + mise en place d’un comité de salut public dirigé par Jacques Massu. 14 mai 1958 : le général Massu indique à la tête du comité de salut public, supplie le général de Gaulle de rompre son silence pour garde l’Algérie française. 15 mai 1958 : De Gaulle indique qu’il se tient prêt à assumer les pouvoirs de

n'ayant aucune conséquence en cas de vote négatif, elle apparaît comme une mesure de courtoisie à l'égard de la Haute Assemblée. En pratique, elle est utilisée par le Premier ministre que lorsqu'il a l'assurance d'en retirer un bénéfice politique : Jacques Chirac l'utilise pour la première fois en 1975, puis de nouveau lors de la première cohabitation, tout comme Edouard Balladur sous la seconde, Alain Juppé l'a aussi utilisé en 1996, afin d'identifier des appuis dans un contexte politique incertain

membres désignés pr 9 ans : veiller à la régularité des élections et à la constitutionnalité des lois. 4) L’élection de l’Assemblée Nationale (23 et 30/11/58) DG se tient hors de la campagne. « Gaullistes » réunis sous le nom de l’UNR (Soustelle, Chaban-Delmas..), courants de gauche (PSA, radicaux..) sous l’UFD, SFIO, PC, Radicaux, MRP, Modérés. Résultats : bcp d’abstention, succès des partis se réclamant de la V (80%), affaiblissement du PC (- 20 %), le poujadisme est balayé (3 %), très forte poussée