Jacques Delors

citoyennes → Présentation des candidats Martine Aubry : Née le 8 août 1950 à Paris. Son père, Jacques Delors, fut le président de la Commission Européenne en 1985 et 1995. Elle a suivis une formation dans l'école nationale d'administration puis elle fut Maitre des requêtes au Conseil d'État. Elle intègre en 1975 le Ministère du Travail et des Affaires sociales sous le premier gouvernement de Jacques Chirac, qu'elle occupera jusqu'en 1979. Après l'élection de François Mitterrand à la Présidence

1981, François Hollande est désigné comme candidat socialiste contre Jacques Chirac dans la troisième circonscription de la Corrèze, après le refus de Jacques Delors. Durant la campagne, il se rend à un meeting de son concurrent, à Neuvic, et l'interpelle sur le fait qu'il n'a pas répondu à sa demande écrite de débat. Avec 26 % des voix, contre 23 % au candidat communiste, il lui manque 350 voix pour mettre en ballottage Jacques Chirac, qui l'emporte dès le premier tour[33]. De 1983 à 1984, il

1986). Semaine de 39 heures (durée légale du travail) 5e semaine de congés payés Fin de l'indexation des salaires sur les prix. Création de la cellule antiterroriste de l'Élysée Suppression de l'échelle mobile des salaires en 1982(sous l'égide de Jacques Delors, Ministre des Finances) Loi de nationalisation du 13 février 1982 : Nationalisation de banques (les 36 premières banques de dépôt, ainsi que Paribas et Suez) et de grands groupes industriels (CGE, PUK, Rhône-Poulenc, Saint-Gobain, Thomson) Discours

Jacques Attali est un économiste, écrivain et haut fonctionnaire français, né le 1er novembre 1943 à Alger (alors en Algérie française). Conseiller spécial de François Mitterrand puis fondateur et premier président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), il dirige actuellement PlaNet Finance et Attali & Associés. Il a présidé la Commission pour la libération de la croissance française. Il a publié de nombreux essais et romans. Aujourd'hui il est l'éditorialiste

1981, François Hollande est désigné comme candidat socialiste contre Jacques Chirac dans la troisième circonscription de la Corrèze, après le refus de Jacques Delors. Durant la campagne, il se rend à un meeting de son concurrent, à Neuvic, et l'interpelle sur le fait qu'il n'a pas répondu à sa demande écrite de débat. Avec 26 % des voix, contre 23 % au candidat communiste, il lui manque 350 voix pour mettre en ballotage Jacques Chirac, qui l'emporte dès le premier tour35. De 1983 à 1984, il est

conserve la majorité aux élections législatives. Les difficultés sont non seulement politiques ms aussi économiques. En 1974 750 000 chômeurs En 1981 1,7 millions de Chômeurs Malgré les politiques de relance contre l’inflation et le chômage de Jacques Chirac en 1975 et malgré les efforts de redressement de Raymond Barr, la France subit à nouveau un 2e choc pétrolier et contraint VGE à mener des politiques impopulaires. Le scandale des « diamants de Bokassa » aggrave sa situation. III) Alternance

oublieux de l’impuissance dont la gauche partidaire a fait preuve en mai-juin 1968. Les divisions de l’époque se sont reproduites lors du scrutin de juin 1969. Le peuple de gauche est convié à arbitrer entre quatre candidats, Gaston Defferre (SFIO), Jacques Duclos (PCF), Alain Krivine (L.C.), Michel Rocard (PSU). Pareil éclatement renforcé par l’excellente campagne du candidat communiste aboutit à un duel Poher/Pompidou, bonnet blanc et blanc bonnet pour le PCF, centre et droite pour la CFDT. Le 1er

1981, François Hollande est désigné comme candidat socialiste contre Jacques Chirac dans la troisième circonscription de la Corrèze, après le refus de Jacques Delors. Durant la campagne, il se rend à un meeting de son concurrent, à Neuvic, et l'interpelle sur le fait qu'il n'a pas répondu à sa demande écrite de débat. Avec 26 % des voix, contre 23 % au candidatcommuniste, il lui manque 350 voix pour mettre en ballottage Jacques Chirac, qui l'emporte dès le premier tour30. De 1983 à 1984, il est

1981, François Hollande est désigné comme candidat socialiste contre Jacques Chirac dans la troisième circonscription de la Corrèze, après le refus de Jacques Delors. Durant la campagne, il se rend à un meeting de son concurrent, à Neuvic, et l'interpelle sur le fait qu'il n'a pas répondu à sa demande écrite de débat. Avec 26 % des voix, contre 23 % au candidat communiste, il lui manque 350 voix pour mettre en ballottage Jacques Chirac, qui l'emporte dès le premier tour34. De 1983 à 1984, il est

d'administration au 11e rang et devient auditeur à la Cour des comptes. Il était entré un an auparavant au Parti socialiste. Il devient, via Jacques Attali, conseiller de François Mitterrand pour les questions économiques. À la victoire de François Mitterrand, en 1981, il devient chargé de mission pour l'Élysée alors qu'il vient d'être battu par Jacques Chirac aux élections législatives. En 1988, après la réélection de François Mitterrand, il est élu député de Tulle (1re circonscription de