Jacques Doriot

cortège socialiste, abandonnant estrades et orateurs communistes, et c'est aux cris de « Unité ! Unité ! » que les militants des deux partis défilent de concert »7. Ce sont donc les militants ordinaires, contre la volonté des états-majors hormis Jacques Doriot, qui font du 12 février 1934 une manifestation unitaire, et préparent ainsi les esprits à l'idée du Rassemblement populaire. Épisode symptomatique d'une union antifasciste bien plus précoce à la base qu'à la tête de deux partis dont les dirigeants

le Parti Socialiste avec ses Blum, ses Sérol, ses Ziromski, ses Paul Faure; les Partis de droite avec Flandin, Marin, Fernand Laurent, Laval, Chiappe; l'USR avec Frossard, De Monzie, Déat, Marquet; le PSF avec La Rocque et Ybarnegaray; la bande à Doriot et les chefs usurpateurs de la CGT, les Jouhaux, Belin, Dumoulin, etc.  SONT TOUS RESPONSABLES DES MALHEURS DE LA FRANCE.             La malédiction de tout un peuple trahi monte vengeresse vers ces hommes qui ont voulu la guerre et préparé la défaite

1936, les troupes italiennes entrent cependant à Addis-Abeba, effaçant ainsi la défaite d'Adoua. C'est alors l'apogée du fascisme italien. Ailleurs en Europe, d'autres partis fascisants voient le jour, notamment le Parti populaire français de Jacques Doriot en 1936. L'Italie est condamnée par la Société des Nations pour l'invasion de l'Éthiopie et s'attire des sanctions économiques de la France et de la Grande-Bretagne, ce qui la conduit à se rapprocher de l'Allemagne nazie, malgré la méfiance

cortège socialiste, abandonnant estrades et orateurs communistes, et c'est aux cris de « Unité ! Unité ! » que les militants des deux partis défilent de concert »7. Ce sont donc les militants ordinaires, contre la volonté des états-majors hormis Jacques Doriot, qui font du 12 février 1934 une manifestation unitaire, et préparent ainsi les esprits à l'idée du Rassemblement populaire. Épisode symptomatique d'une union antifasciste bien plus précoce à la base qu'à la tête de deux partis dont les dirigeants

A droite, les ligues dissoutes se transforment en partis politiques ; les Croix de Feu deviennent le Parti social français. Une partie de l’extrême droite se radicalise, adoptant le modèle fasciste, comme le Parti populaire de l’ex-communiste Jacques Doriot, ou se lançant dans l’action violente clandestine comme la « Cagoule » qui organise attentats et assassinats politiques. Les journaux d’extrême droite (Action française, Gringoire) mènent une campagne de presse violemment antisémite dénonçant

cortège socialiste, abandonnant estrades et orateurs communistes, et c'est aux cris de "Unité ! Unité !" que les militants des deux partis défilent de concert »7... Ce sont donc les militants ordinaires, contre la volonté des états-majors hormis Jacques Doriot, qui font du 12 février 1934 une manifestation unitaire, et préparent ainsi les esprits à l'idée du Rassemblement populaire. Épisode symptomatique d'une union antifasciste bien plus précoce à la base qu'à la tête de deux partis dont les dirigeants

cortège socialiste, abandonnant estrades et orateurs communistes, et c'est aux cris de « Unité ! Unité ! » que les militants des deux partis défilent de concert »7. Ce sont donc les militants ordinaires, contre la volonté des états-majors hormis Jacques Doriot, qui font du 12 février 1934 une manifestation unitaire, et préparent ainsi les esprits à l'idée du Rassemblement populaire. Épisode symptomatique d'une union antifasciste bien plus précoce à la base qu'à la tête de deux partis dont les dirigeants

acceptent de travailler pour l’effort de guerre allemand (ex : Renault). - La collaboration idéologique des admirateurs du fascisme et du nazisme qui rêvent de constituer en France un régime similaire à ceux de l’Allemagne ou l’Italie (ex : Doriot, politiciens, écrivains tels Brasillach ou Céline). - Les actions des journaux d’extrême-droite. - Les actions militaires de volontaires sur le front russe (LVF) B/ La collaboration d’état. - Relations nouées entre l’état

générations qui suivent soient mises au courant de se qu’il se passait avant. ♦ Pour critiquer : Eluard, dans ce poème, a voulu critiquer la politique française, en écrivant : « Tandis que les bandits à face d’apôtre, les Pétain, Laval, Darnand, Déat, Doriot, Luchaire, etc. sont partis. Certains même, connaissant leur puissance, restent tranquillement chez eux, dans l’espoir de recommencer demain. ». Il dénonce la cruauté des personnes et le sadisme des gens qui cautionnaient ce genre de chose. « […]

qui suivent soient mises au courant de se qu’il se passait avant. ♦ Pour critiquer : Eluard, dans ce poème, a voulu critiquer la politique française, en écrivant :  « Tandis que les bandits à face d’apôtre, les Pétain, Laval, Darnand, Déat, Doriot, Luchaire, etc. sont partis. Certains même, connaissant leur puissance, restent tranquillement chez eux, dans l’espoir de recommencer demain. ». Il dénonce la cruauté des personnes et le sadisme des gens qui cautionnaient ce genre de chose. «  […]