Jacques-Henri de Bourbon

(1180-1223). Dès le début du règne il engagea la lutte avec les Plantagenets (dynastie d’Anjou en Angleterre) dont l’empire franco-anglais menaςait la monarchie franςaise. Il excita les dissensions entre Henri II d’Angleterre et ses fils, notamment Richard Coeur de Lion avec lequel il s’allia pour battre Henri II а Azay-le-Rideau(1189), après il participa avec Richard а la troisième Croisade. Puis Philippe Auguste commence la conquкte de la Normandie. Il mène une lutte heureuse contre l’Angleterre et remporte

987 : couronnement d’Hugues Capet (début de la dynastie des Capétiens). 1054 le 16 juillet : schisme orthodoxe. 1066 : Guillaume le Conquérant est sacré roi d’Angleterre. 1099 : première croisade et prise de Jérusalem. 1154 : le roi d'Angleterre, Henri II Plantagenêt, prend possession de l'Anjou, du Poitou, du Maine, de la Normandie et de l'Aquitaine. 1187 : bataille des cornes de Hattine, victoire des Musulmans sur les Croisés. 1199 : mort de Richard Coeur de Lion, roi d'Angleterre qui engagea la

fortifiée de la ville, sous l'égide de l'abbé Jean de Tréal. Elle comporte 3 portes, 3 poternes et 13 tours. De ces remparts, on peut voir aujourd'hui le flanc nord du transept de l'église, la chapelle des Ducs et les remparts au-dessus du quai St Jacques. Les travaux réalisés au centre-ville ont mis au jour d'autres vestiges des remparts, notamment un bastion en face de l'hôtel de Ville, deux tours (XIVe) et un autre bastion (XVIe) place de la République ainsi que des éléments de remparts. Redon

le 10 septembre 1419. Le roi Henri V d'Angleterre devient immédiatement régent du royaume de France et doit épouser Catherine de France, fille du roi fou. À la mort de Charles VI, le royaume de France doit revenir au fils d'Henri V et de Catherine. Lorsque Charles VI meurt en 1422, la France est divisée en trois : le nord et l'ouest sont sous le contrôle du frère d'Henri V, Jean de Lancastre duc de Bedford, en tant que régent du jeune roi anglais, futur Henri VI ; le nord-est où le duc de Bourgogne

------------------------------------------------- Partie 3 : Le triomphe de la monarchie et l’éclat de la loi du roi. ------------------------------------------------- Milieu 15e 1789. A. Réussite et malheurs des Valois 1453-1589. B. Les bourbons et le temps de l’absolutisme 1589-1789. ------------------------------------------------- Chapitre 1 : Le triomphe de l’état monarchique. * Début 16e : la pensée politique se laïcise pour débattre des meilleures formes de gouvernement

individuellement par le roi lors des sessions de la « maison » (ou de la chambre) des seigneurs (house of lords20), d’autre part tous ceux qu’on désigne collectivement, peut-être depuis le XVIIIe siècle, par le terme de gentry, autrement dit, sous le règne de Henri VII Tudor (1485-1507) un demi-millier de chevaliers, 800 écuyers (les chiffres n’ont cessé de fondre au cours du XVe siècle alors que la population totale du royaume connaissait une croissance lente), et 5000 gentlemen, bref tous les propriétaires

l’inaliénabilité du domaine de la couronne. Paragraphe 1, la théorie statutaire… Celle-ci prend forme dans une conjoncture particulièrement dramatique. En 1415, à Azincourt, les troupes françaises ont été sévèrement battues par celles du roi d’Angleterre Henri V. Ce dernier peut par ailleurs compter sur le soutien du duc de Bourgogne, l’un des plus grands seigneurs français, lequel entend bien accroitre sa puissance au détriment de la Monarchie française. Les Anglais et les Bourguignons dominent tout le

exil à Sully (on lui reproche à nouveau, mais cette fois à tort, de faire circuler une nouvelle satire contre le Régent), il connaît un nouveau succès en 1723 avec La Henriade, poème épique (4 300 alexandrins) dont le sujet est le siège de Paris par Henri IV et qui trace le portrait d’un souverain idéal, ennemi de tous les fanatismes : 4 000 exemplaires vendus en quelques semaines (soixante éditions successives du vivant de l’auteur). La querelle avec le Chevalier de Rohan En janvier 1726, il subit

comique, et le roi l’installe au Petit-Bourbon, où elle joue en alternance avec la troupe italienne de Scaramouche. En 1659 la troupe perd Joseph Béjart et les Du Parc la quittent pour la troupe du Marais. On engage les jeunes comédiens La Grange et Du Croisy. Le 18 novembre, c'est le succès éclatant des Précieuses ridicules, où Molière dans le rôle de Mascarille donne la réplique à Jodelet, fameux comédien engagé pour l'occasion. Le théâtre du Petit-Bourbon est ensuite détruit pour les besoins

exil à Sully (on lui reproche à nouveau, mais cette fois à tort, de faire circuler une nouvelle satire contre le Régent), il connaît un nouveau succès en 1723 avec La Henriade, poème épique (4 300 alexandrins) dont le sujet est le siège de Paris par Henri IV et qui trace le portrait d’un souverain idéal, ennemi de tous les fanatismes : 4 000 exemplaires vendus en quelques semaines (soixante éditions successives du vivant de l’auteur). La querelle avec le Chevalier de Rohan En janvier 1726, il subit