Jacques Mourgeon

la fois sa faible utilité et justification juridique. Il n'a ainsi été utilisé que 6 fois en 59 ans sous la IIIe République et n'a entraîné aucune poursuite sous les présidences successives de MM. Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand et Jacques Chirac qui ont refusé d'y avoir recours. » ➢ Le dernier cas d'usage de l'offense date de août 2008 sous Nicolas Sarkozy (affaire «Casse toi, pov' con !»). Le général de Gaulle s'est servi plus de 500 fois de ces chefs d'accusation

musique et au chant ; le poète chante ainsi le monde et dit ses sentiments à travers ses vers. Le registre lyrique retranscrit en effet un message personnel du poète, le plus souvent pour parler de la femme aimée ; on peut notamment citer le chanteur Jacques Brel qui, dans sa chanson « Ne me quitte pas », a recours à l’expression du « moi » personnel pour mieux nous retranscrire son sentiment d’abandon. De plus, le travail du poète, dans ses textes, vient à la fois de l’observation qu’il fait de ses propres

allemand Helmut Kohl, un européen fervent, comprend que l'adoption de l'euro permettra de lever les craintes des autres européens à propos de la réunification de l'Allemagne[5]. Problèmes liés à des visions politiques différentes[modifier] Pour Jacques Delors, la monnaie est une étape vers une Europe fédérale que, d'après Jean Pisani-Ferry[6], « il désigne par prudence d'une formule alambiquée : fédération d'États-Nations ». Si la finalité, pour Delors, est institutionnelle, au contraire pour les

JACQUES PREVERT (1900 – 1977) Poète français. Il allie l’image insolite au langage polaire (Paroles, 1946) ; Spectacles, 1851 ; La Pluie et le Beau Temps, 1955 ; Fatras, 1966). Il écrit les scénarios et les dialogues de plusieurs films célèbres (Quai des Brumes, Drôle de drame, les Visiteurs du soir, les Enfants du paradis, etc.). Certaines de ses compositions ont été mises en musique. Collaboration avec le musicien Joseph Kosma. Dans Paroles, il veut donner la parole à tous ceux qui ne l’ont

Française 1° La constitution du nouveau gouvernement Les parlementaires firent tout leur possible pour s’opposer aux nouvelles réformes de Louis XVI portant atteinte aux privilèges de la noblesse. 2° La révolution américaine creuse le déficit Jacques Necker, le contrôleur général des finances qui succéda Turgot prit ses fonctions au cours d’une période particulièrement difficile (en effet, la France avait décidé de participer à la guerre d’indépendance américaine en février 1778.). Necker refusa

Jacques Prévert est un poète et scénariste français, né le 4 février 1900 àNeuilly-sur-Seine, et mort le 11 avril 1977 à Omonville-la-Petite (Manche). Auteur d'un premier succès, le recueil de poèmes, Paroles, il devint un poète populairegrâce à son langage familier et à ses jeux sur les mots. Ses poèmes sont depuis lors célèbres dans le monde francophone et massivement appris dans les écoles françaises. Il a également écrit des scénarios pour le cinéma. La Chasse à l'enfant est un poème de Jacques

l'acceptation des parlementaires et la soumission du Premier ministre. Le Président a constitué un gouvernement peu homogène avec des personnalités contrastées en nommant à sa tête comme Premier ministre un homme brillant mais manquant de fermeté : Jacques Chaban-Delmas. Celui-ci est un homme encore jeune, dynamique, ancien président de l'Assemblée Nationale mais il va commettre quelques faux pas. Il va fonder sa politique sur une vaste réforme des structures sociales et des relations du travail ce

nouveaux, en conséquences de l'application de la Constitution : l'alternance et la cohabitation. Durant la Ve République la France a connu trois cohabitations. La première se passe de 1986 à 1988 avec le Président François Mitterrand de gauche et Jacques Chirac son Premier ministre de droite. La suivante est de 1993 à 1995, toujours avec le Président F.Mitterand mais avec Edouard Balladur comme Premier ministre et la dernière de 1997 à 2002 avec J.Chirac comme président et Lionel Jospin en Premier

directeur adjoint du cabinet en charge des nationalisations s'appelle Jean Peyrelevade. L'Histoire, éternelle farceuse, en fera, plus tard, l'ouvrier de la privatisation du Crédit lyonnais... Quant à celui qui, au sein du cabinet du ministre des Finances Jacques Delors, est en charge des nationalisations, il s'appelle Patrick Peugeot. À l'âge de la retraite, il prendra quelque distance avec la profession pour prendre la tête de la Cimade et s'occuper activement des sans-papiers. Mais ce qui va bouleverser

gouvernement alterna entre une coalition de gauche (composée du parti socialiste et du parti communiste, et plus récemment Les Verts), et une coalition de droite (composé par l'Union pour la démocratie française et le Rassemblement pour la République de Jacques Chirac, plus tard remplacé par l'Union pour un mouvement populaire). Les années 1980 et années 1990 ont vu aussi l'émergence du Front national de Jean-Marie Le Pen, un parti accusant l'immigration, particulièrement l'immigration provenant des pays