le sens de la publiciter dans la communication
There is a whole history of communications in insurance. The development of the image industries in the 1980s coincided with the appearance of a generation of young entrepreneurs who renewed the slightly antiquated image of insurance. However, thirty years on, it must be acknowledged that insurance remains just as unpopular and mistrusted by the public. The development of initiatives aimed at students and young market segments is therefore a priority.
Longtemps, la communication et l'assurance se sont ignorées. Puis les deux idées se sont rapprochées pour faire de l'assurance aujourd'hui l'une des industries les plus dépensières en communication.
S'il fallait millésimer les fiançailles de ces deux concepts, j'avancerais la date de 1982.
Mais tâchons d'abord de nous entendre sur une définition de la communication. Je propose celle-ci : « ensemble de techniques, de moyens et de méthodes permettant d'aller d'un point à un autre ». Cela sous-entend que l'entreprise qui décide de mettre en place un plan de communication aura préalablement élaboré un plan d'entreprise, une stratégie de développement ou de positionnement à trois ou cinq ans.
La communication permet de se faire connaître, de se valoriser, de se distinguer. De qui ? Principalement de ses concurrents.
Voilà donc le mot important lâché : concurrent. Or, il faut bien le reconnaître, la physionomie de l'assurance française jusqu'au début des années 1980 ressemblait à une espèce de cartel dominé par les sociétés nationalisées et deux ou trois groupes privés. Les sociétés étrangères n'opéraient que sur quelques segments et les mutuelles qualifiées de « sauvages » par les assureurs dits « traditionnels » ne s'occupaient que d'automobiles et de bons conducteurs bien français. Quant aux bancassureurs, personne ne s'en souciait : rappelons à cet égard que la création de Predica remonte à 1986.
Pas ou peu de concurrence : nul besoin de communiquer !
« Pour vivre heureux vivons