Jacques Vergès

la représentation du réel. Grâce à Picasso il rencontre en 1907 la peintre Marie Laurencin avec qui il aura une liaison passionnée jusqu'en 1912. En 1907 il publie également deux romans érotiques: Les exploits d'un jeunes don Juan et les Onze Mille Verges. En 1909 reparaît son premier roman de fiction, l'Enchanteur pourrissant cette fois illustré par Derain, un ami de son groupe d'artistes. Apollinaire donne quelques conférences et devient critique d'art dans L'intransigeant et Au Mercure de France

entre 1898 et 1913, Mercure de France, 1913.  Vitam impendere amori, illustré par André Rouveyre, Mercure de France, 1917. Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916, Mercure de France, 1918. Romans et contes :  Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un hospodar11, publié sous couverture muette, 1907.  L’Enchanteur pourrissant, illustré de gravures d'André Derain, Kahnweiler, 1909.  L'Hérésiarque et Cie, contes, Stock, 1910. Ouvrages critiques et chroniques :  La Peinture

Jacob aux discussions du « Bateau-Lavoir » sur le cubisme en gestation. Il écrit la même année des romans érotiques publiés sous le manteau, tout parce qu’il a besoin d’argent que parce qu’il a le goût pour la littérature « libre » : Les onze mille verges, Les exploits d’un jeune Don Juan. Il choisit alors de vivre exclusivement de sa plume, et finit par rencontrer Marie Laurencin, avec qui il formera le couple le plus légendaire du Montmartre d’avant-guerre. Apollinaire se met alors à écrire frénétiquement

« Dame de mes pensées au cul de perle fine ». Est parfois passé pour un pornographe aux yeux de ses contemporains (entre sa 20e et sa 30e année, il publie sous le manteau des romans érotiques « Mirely ou le Petit Trou pas cher », « Les Onze mille verges », « Les Mémoires d’un jeune Dom Juan »). - Goût pour les bouges, les bars, les univers glauques et cosmopolites où se mélangent maquereaux, bohémiennes et prostituées : « J’aimais les femmes atroces dans les quartiers énormes »…

aux discussions du « Bateau-Lavoir » sur le cubisme en gestation. Il écrit la même année des romans érotiques publiés sous le manteau, tout parce qu’il a besoin d’argent que parce qu’il a le goût pour la littérature « libre » : Les onze mille verges, Les exploits d’un jeune Don Juan. Il choisit alors de vivre exclusivement de sa plume, et finit par rencontrer Marie Laurencin, avec qui il formera le couple le plus légendaire du Montmartre d’avant-guerre. Apollinaire se met alors à écrire frénétiquement

croître de jour en jour. Pourtant, il n’a pas oublié son dernier amour Annie, qu’il regrette. L’année 1906 est assez difficile pour lui. A cause de son besoin d’argent, et son goût pour le style de littérature « libre », il publie en 1907 Les Onze Mille Verges puis, en 1911, Les Exploits d’un jeune Don Juan. Deux romans érotiques qu’il ne signera pas. Vers 1908, il rencontre le peintre Marie Laurencin, qui elle-même lui fera rencontrer George Braque et André Matisse. La forte influence qu’elle a sur lui

donne une première version de l’Enchanteur pourrissant, œuvre poétique en prose. Pour subvenir à ses besoins et par goût pour la littérature « libre », il entreprend bientôt la rédaction de romans érotiques, publiés sous le manteau (les Onze Mille Verges, 1907 ; les Exploits d’un jeune don Juan, 1907), édite des ouvrages « libertins » pour la collection « les Maîtres de l’amour », et établit des anthologies de l’Arétin, de Sade, de Nerciat et de Mirabeau. Cette période de dilettantisme est également

occupées à préparer l’habitation, elles étaient aidées dans cette tâche par le régisseur, un valet de ferme et une servante. Naturellement sa robe était retournée et lui couvrait le visage, laissant ses jambes à découvert. 5. Les Onze Mille Verges ou les Amours d’un Hospodar Comme cela semblait exciter considérablement la porteuse de ce gros cul, il se mit à taper de toutes ses forces, si bien que la douleur l’emportant sur la volupté, la jolie fille dont il avait rendu rose le joli cul

Wilhelm Apollinaris de Kostrowitzky (26 août 1880 - 9 novembre 1918) est le principal poète français des premières décennies du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il a également écrit des nouvelles et des romans érotiques (Les onze mille verges, 1907). Il a pratiqué le calligramme (terme de son invention). Il fut le chantre de toutes les avant-gardes artistiques (les Peintres cubistes, 1913) et, poète (Alcools, 1913 ; Calligrammes, 1918) ou théoricien (l'Esprit nouveau et les poètes, 1917)

« Dame de mes pensées au cul de perle fine ». Est parfois passé pour un pornographe aux yeux de ses contemporains (entre sa 20e et sa 30e année, il publie sous le manteau des romans érotiques « Mirely ou le Petit Trou pas cher », « Les Onze mille verges », « Les Mémoires d’un jeune Dom Juan »). - Goût pour les bouges, les bars, les univers glauques et cosmopolites où se mélangent maquereaux, bohémiennes et prostituées : « J’aimais les femmes atroces dans les quartiers énormes »…