J'ai tué ma mère

l'innocence sacrifiée et de l'amour sublime. La pièce fut écrite à peu près en même temps que Le Songe d'une nuit d'été, où le thème des amants empêchés recevait un traitement à travers la mise en scène burlesque de l'histoire de Pyrame et Thisbé. J’ai choisit ce document , car dans cette histoire on rencontre une histoire d’amour des « deux amoureux Escalus, C'est le seigneur de Vérone. Il est exaspéré par la querelle des deux familles et s'efforce de mettre fin aux combats. Il inflige dans ce

la mer avec ses amis (« je lui ai crié : « attention, il a un couteau ! » mais déjà Raymond avait le bras ouvert et la bouche tailladée ») mais finalement c’est Meursault qui finit par tuer l’arabe sans raisons apparentes (« La gâchette a cédé (…) j’ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût »). Cette première partie du livre dévoile la violence de l’être humain qui règle ses conflits par la violence et la mort. Le fait que Meursault se retrouve

seules sortie que je peux faire c'est d'aller a l'école et très rarement de faire l'épicerie avec ma mère. Malgré que je suis la deuxième plus vieille de ma famille, mes parents considère que je suis trop faibles pour m'occuper de mes petits frères et que selon eux une femme et surtout une jeune fille ne peut pas s'occuper d'un homme a moins que l'homme lui le désire. Ce sont les mots exacts de ma mère. D'après elle avoir comme premier enfant un garçon est une bénédiction de Dieu et heureusement pour

entendre. Le berger.- Et moi… d’une chose impossible à dire. Créon.- Il faut la dire. Je le veux. Le berger. – Tu es le fils de Jocaste, ta femme, et de Laïus tué par toi au carrefour des trois routes. Inceste et parricide, les dieux te pardonnent. Œdipe.- J’ai tué celui qu’il ne fallait pas. J’ai épousé celle qu’il ne fallait pas. J’ai perpétué ce qu’il ne fallait pas. La lumière est faite… (Il sort.) (Créon chasse le berger). Créon.- De quelle lingère, de quelle sœur de lait parlait-il ? Tirésias

étudiant dans le domaine des communications la liberté est quelque chose qui me touche énormément. La liberté d'expression est selon moi la chose la plus importante sur terre et elle est primée par tous. Combien de journalistes dans ce monde ont été tué, kidnappé, menacé par avoir tous simplement fait part d'une nouvelle au monde entier. Ils ont seulement voulu informer les gens. Ils n'ont rien inventé, ils voulaient simplement rapporter des faits. Je crois que la notion de liberté a quelque peu évolué

journal, la petite annonce suivante : « Vend robe de mariée n'ayant jamais servi ». Aujourd'hui, ma mère a mis en vente ma robe de mariée. Quel gâchis ! Nous avons mis plus de six mois à la trouver. Nous l'avions repérée dans une petite boutique à l'ancienne, isolée du centre ville, où tous les objets qui s'y trouvaient semblaient avoir une âme. Lorsque nous y sommes rentrées ma mère et moi, il y régnait un froid de morgue, nous avions l'impression d'être épiées et que des choses nous frôlaient

Dossier sur les âmes grises de Philippe CLAUDEL I . Choisissez quatre extraits du roman : 1. Le premier extrait que je choisi est le chapitre 1 (p.11 à 17). J’ai choisi se premier passage car dans cette incipit le narrateur est inconnu mais ses lui qui raconte l’histoire, dans ce premier chapitre il se confesse, il nous raconte ce qu’il a vécu et a envie de dire ce qu’il a sur le cœur. Le narrateur est un personne au point de vue interne, il fait parti intégrale de l’œuvre, et il

un portrait de macho méprisable. Le portrait va lui servir de se justifier. I) 1er axe : Clytemnestre avoue sa haine : portrait à charge d’Agamemnon : plaidoyer. (Accusation : Agamemnon, plaidoyer : Clytemnestre.) Aveu implicite du crime quand « j’ai fait immoler le bélier [...] ». « Prendre le sceptre à pleine main » : prendre le pouvoir. --> Aveu de la haine, aveu du crime. Portrait à charge d’Agamemnon : c’est un vrai réquisitoire. - Tout le discours de Clytemnestre est un caractère passionnel

Introduction : Il n’y a pas longtemps, j’ai vu un film écrit et réalisé par Alexandre De La Patellière et Mathieu Delaporte qui se nomme « Le prénom », qui est une adaptation cinématographique d’une pièce de théâtre des mêmes auteurs et mise en scène par Bernard Murat. Je l’ai choisi car elle présente plusieurs centre d’intérêt : -Le sujet de la comédie ;-Le jeu des acteurs et –L’aspect comique du film. *Le 1er centre d’intérêt du film est le sujet même de la comédie : Vincent (joué par Patrick

s'adressant à la déesse « honneur du sexe féminin » : « c'est toi la maîtresse de la terre [...] tu as rendu le pouvoir des femmes égal à celui des hommes ! ». Laissons de nouveau la parole à Christiane Desroches Noblecourt : « la femme égyptienne, la mère que l'on respecte avant tout, la femme sujette à une stricte loi morale, mais dotée d'une grande liberté d'expression — sa capacité juridique entière, son étonnante indépendance financière, l'impact de sa personnalité dans la vie familiale et la gestion