Jais

Mammifères : Âne, Boeuf, Cerf, Daim, Furet, Gnou, Hirola, Isard, Jaguar, Koala, Lama, Mulet, Nyala, Okapi, Pichi, Quokka, Renne, Sanglier, Tapir, Urial, Vison, Wapiti, Yack, Zèbre. ouleurs : Azur, Bis, Cyan, Denim, Écru, Fer, Gris, Hoto, Ivoire, Jais, Kaki, Lin, Miel, Noir, Or, Puce, Queue-de-renard, Rose, Safre, Taupe, Vert, Wengé, Zinzolin. ins: Alto, Banjo, Cistre, Daf (def, duff…), Erhu, Fifre, Gig, Hang, inanga, jarana, khol, Luth, Musette, Nira, Orgue, Piano, Qanûn, régale, Suka, Tuba, udu

passaient, les trois préparateurs s'écartaient ensuite d'Eleanor, comme pour admirer leur œuvres. Les tributs sont guidées vers d'immenses écuries, ou se trouve déjà les autres tributs, près de leur chariots respectifs. Celui du Quatre est noir de jais, tiré par quatre chevaux de la même couleur, magnifiques, et parfaitement dressés. L'hôte explique qu'ils sont si bien dressées qu'ils peuvent se passer de cocher. Puis les stylistes les font grimper dans leur chariot, vérifient leur position, le drapé

ACTE 1 Une chambre à coucher. La nuit. Une lampe sur la table. Scène première DONA JOSEFA DUARTE, vieille ; en noir, avec le corps de sa jupe cousu de jais, à la mode d'Isabelle-la-Catholique ; DONC CARLOS DONA JOSEFA, seule. Elle ferme les rideaux cramoisis de la fenêtre et met en ordre quelques fauteuils. On frappe à une petite porte dérobée à droite. Elle écoute. On frappe un second coup. Serait-ce déjà lui ? Un nouveau coup. C'est bien à l'escalier Dérobé. Un quatrième coup. Vite

chauve-souris Le grand parapluie noir Sortait de son étui Il prenait sous son aile Soin d’une belle-de-nuit Qui, boulevard Saint-Marcel Le nourrissait de pluie. Puis le grand accessoire Se mit à voyager Dans son bel habit noir, Son habit noir de jais. Après les palabres, Pour faire un peu d’osier Un avaleur de sabres Le mit dans son gosier (bis) A un acrobate Servit de balancier Un vendeur de cravates Le prit comme associé. Puis il se déplia Sur une permanente, Puis il se déplia Car

dont le titre est « Le cauchemar de Camille », le livre s’adresse à elle. 6. Fais le portrait du libraire. Il est grand et mince, il porte un costume sombre. Il a une barbiche pointue, de fines moustaches et une chevelure de jais lissée en arrière. Il a un sourire carnassier, un regard de braise, une voix douce. Il a des ongles pointus comme des griffes. 7. Alex et Camille achètent-ils un livre au libraire ? Explique. Non, le libraire prête un recueil de nouvelles à Alex

vou faitpa tro de bil a vec moi toujour plin de courage ». Puis également le fait que Jacque fut analphabete peut toucher le lecteur, car on peu penser que c'est un pauvre homme qui fait tout ce qu'il peut pour rester en contact avec sa famille « moi jais pas eu du mal cher feme ». Ca aurait du etre beacoup pire pour les gens de l'époque du lettre car ils etaient tous entraine de vivre le meme experience avec leur fils ou mari, Nous pouvons pas imaginer les cas des familles car rossement nous n'avons

intérieure du poète, son inspiration donc sa muse. * « fraternel » (v.7) lien du sang ; « mystique » (v.7) mystère * (v.14) : Comme pour les membres du parnasse, Baudelaire assimile la statue à l’amour (cf « Hymne à la Beauté ») * « Yeux de jais » (v.14) référence directe à Jeanne Duval II) Un sonnet parodique ( = Imitation et transformation avec intention comique d’un texte (satirique ou ironique)) A - Réécriture du poème de Ronsard : « Sonnets pour Hélène », Second Livre 1578

communiquer avec les autres afin de mieux comprendre le monde dans la que je vie. Je noue facilement des relations avec des gens de divers pays dans le monde. Par exemple, lorsque je travaillais pour la création de vidéo afin de mieux se connaitre jais du travaillé avec deux personnes d’origine différente avec des valeurs qui diffèrent des miennes, mais pour ma part cela ne ma causé aucun problème pour le bon fonctionnement de l’exercice. 2-L’empathie J’ai une grande capacité à me mettre à

Hernani , Acte I scène 1 , V Hugo , 1830 Une chambre à coucher. La nuit. Une lampe sur une table. Doña JOSEFA DUARTE, vieille, en noir, avec le corps de sa jupe cousu de jais, à la mode d'Isabelle la Catholique DON CARLOS. Doña JOSEFA, seule. (Elle ferme les rideaux cramoisis de la fenêtre et met en ordre quelques fauteuils. On frappe à une petite porte dérobée à droite. Elle écoute. On frappe un second coup.)Serait-ce déjà lui ? (Un nouveau coup.) C'est bien à l'escalierDérobé.(Un quatrième

Quel âge pouvait-elle bien avoir ? Je n’en savais rien mais je ne lui donnais pas plus de 16 ans. Elle semblait si frêle et si fragile malgré son air dur, comme si elle avait vécu les pires épreuves que la vie puisse imposer. Ses cheveux d’un noir de jais ressortaient négligemment de son écharpe décousue et ses vêtements étaient troués, anciens et misérables. Elle avait le teint pâle, je pensais même qu’elle était malade. Qui était-elle ? Que lui était-il arrivé pour qu’elle tombe aussi bas à son âge