Jamais sans ma fille

Le jeune Syrien, capitaine de la garde. TIGELLIN, un jeune Romain. Un Cappadocien. Un Nubien. Premier soldat. Second soldat. Le page d'Hérodias. Des Juifs, des Nazaréens, etc. Un esclave. NAMAAN, le Bourreau. HÉRODIAS, femme du tétrarque. SALOMÉ, fille d'Hérodias. Les esclaves de Salomé. -3- SALOMÉ. [SCÈNE – Une grande terrasse dans le palais d'Hérode donnant sur la salle de festin. Des soldats sont accoudés sur le balcon. A droite il y a un énorme escalier. A gauche, au fond, une ancienne

en chasse. Deux hommes, plus grand qu’elle, se mirent à la suivre, un sourire gras plaqué sur leur visage usé. La jeune fille, sûrement adolescente, continua pourtant de marcher à allure normale, loin d’être terrifié. Peut être n’avait-elle pas idée de ce qui allait suivre. Peut-être ne savait-elle pas qu’elle allait mourir. C’est toujours pareil. Les nouveaux ne s’attendent jamais à mourir. Les deux hommes continuaient de suivre l’adolescente donc, ayant déjà en tête plusieurs images loin d’être chastes

* Mademoiselle, vous m’avez manqué de respect comme jamais personnes avant vous n’avez osez… * Et sachez madame que je ne regrette rien. Si c’était à refaire, je le referais sans la moindre hésitation. Rien de ce que vous ne pourrez dire ou faire ne changera cela. Vous pouvez me torturer jusqu’à la mort si cela vous fait plaisir. Cela m’ai bien égal. Je n’ai absolument plus rien à perdre de toute manière. Alors Madame, allez-y ! Punissez-moi ! Tuer moi-même ! Tentez de me faire regretter mes

Julien la reniant, elle se suicide. Elle a 17 ans. Elle est une fille paysanne très naïve. - Julien Damon : amant d’Aline, il est riche et est le seul à avoir un nom de famille. Il a un enfant avec Aline mais se marie avec une autre. Aline n’a jamais été pour lui plus qu’une distraction et il s’en est vite lassé. - Henriette : mère d’Aline, ayant perdu son maro qui est mort d’avoir trop bu, elle est contre cette union. A la mort de sa fille , elle essaye de rester digne mais finira par devenir Contemporains

L’inceste symbolique dans Homo Faber de Max Frisch par Rennie Yotova Université de Sofia « St. Clément d’Ohrid », Bulgarie Mais, ma fille, c’est une illusion de penser trouver une fin heureuse à cette histoire. Il ne peut pas y en avoir. Puisque l’inceste a été commis, la tragédie est inévitable. Atiq Rahimi, Syngué sabour1 Depuis la mythologie nous connaissons de nombreux scénarios incestueux. Les parents archaïques de l’humanité se sont unis dans un inceste fondateur entre le ciel-fils Ouranos

endurer après la mort sont très honteuses, mais heureusement, cette honte finale est seulement assisté à par les vivants. Ernaux raconte la mort honteuse de son père. Elle prépare son lecteur pour un récit d’une vie honteuse de son père, où il n'est jamais maître de sa propre place. Après avoir assisté à la mort de son père, la narratrice parle de l’humiliation de son père sur son lit de mort. Elle commence à parler de la vie de son père. On apprend qu’il commence sa vie « quelques mois avant le

PREMIÈRE PETITE FILLE. – Ce qu’il est beau, le jardinier ! DEUXIÈME PETITE FILLE. – Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE. – Le voilà, monsieur, votre palais d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER. – Curieuse façade !… Elle est d’aplomb ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Ou il va braire

PREMIÈRE PETITE FILLE. – Ce qu’il est beau, le jardinier ! DEUXIÈME PETITE FILLE. – Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE. – Le voilà, monsieur, votre palais d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER. – Curieuse façade !… Elle est d’aplomb ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Ou il va braire

doucement, se positionna à coté de l’ombrelle de la jeune fille, qui était posée à coté d’elle. Il fit semblant de s’intéresser à une chaloupe sur la rivière, se demandant s’il fallait lancer la conversation, ou au contraire s’abstenir, de peur d’être inconvenant. C’est qu’il ne savait pas s’y prendre avec les femmes. Aucune ne l’avait jamais intéressé comme celle-ci. Il n’avait donc jamais eu l’occasion de tester son charme (s’il en eu jamais eu) auprès des dames. Il était époustouflé par sa peau brune

noir, debout auprès d’elle. Je l’ai salué du mieux que j’ai pu, & je suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l’examinais ! « Madame, a-t-il dit à ma mère, en me saluant, voilà une charmante demoiselle, & je sens mieux que jamais le prix de vos bontés. » À ce propos si positif, il m’a pris un tremblement, tel que je ne pouvais me soutenir ; j’ai trouvé un fauteuil, & je m’y suis assise, bien rouge & bien déconcertée. J’y étais à peine, que voilà cet homme à mes genoux. Ta