James Stewart

notament James stewart. Après un téléfilm diffusé en 1939, The Streets of New York, Mann se voit confier son premier film comme réalisateur en 1942 : il s'agit de Dr. Broadway. FILMOGRAPHIE  Anthony man n'appartiennes pas a genre, il est auteur de films musicaux comme la Brigade du Sucde en 1947 ainsi que Marché de brutes en 1948. A partir de 1950 il alterne films noirs nerveux et westerns violents ce qui l'entrainera sans une grande colloboration avec l'acteur James Stewart. Il aborde

début : le store qui se lève et on entre dans la cour. On est à la place de James Stewart. On s'identifie visuellement à James Stewart dès le départ. On est coincé dans notre chaise comme lui dans sa fauteuil. Il est voyeur. L'image du vieux couple qui se dispute : deux fenêtres pour souligner la distance émotionnelle entre les deux. La conversation téléphonique : alternance des scénettes et des plans sur James Stewart. Il réflechit à son mariage avec son patron et assiste en même temps à des

29 avril 1967 à Berlin (Allemagne). Né dans une famille d'origine autrichienne, Anthony Mann commence sa carrière, adolescent, comme acteur puis régisseur de théâtre. En 1934 il fonde la Stock Company, troupe dans laquelle jouera notamment James Stewart. En 1938 il est recruté par la Selznick International Pictures pour superviser les essais d'acteurs sur des films comme Autant en emporte le vent ou Rebecca. Il devient ensuite assistant de Preston Sturges à la Paramount Pictures, puis réalise

anglaise :Vertigo .sortie : le 9 mai 1958, qui précède deux chefs d'oeuvres (Psychose 1959, La mort aux trousses 1960) → tous trois forment une trilogie incontournable. Ils marquent la pèriode faste du maître. .Les acteurs principaux : James Stewart (John Scottie Ferguson), Kim Novak (Madeleine Elster – Judy Barton), Barbara Bel Geddes (Marjorie Wood, ou Midge). .L'intrigue : John Ferguson, alias Scottie, policier émérite, souffre d’une acrophobie dont la manifestation est responsable

Capra 1946 Avec : James Stewart, Donna Reed Durée : 2h05 Produit à la sortie de la guerre afin de redonner espoir au peuple Américain, ‘‘La vie est belle’’ fait parti de ces films fonctionnant toujours avec autant de force aujourd’hui, que nous avons eu la chance de pouvoir découvrir sur grand écran. Classé 11ème des meilleurs films américains à la création du classement de l’American Film Institute en 1998, l’histoire est celle de George Bailey, interprété par James Stewart, qu’un ange va secourir

transforme également le spectateur respectable en voyeur, brouillant encore plus la distinction entre coupable et innocent, et ne la faisant apparaître clairement qu'occasionnellement. Dans Fenêtre sur cour (Rear Window), après que L. B. Jeffries (James Stewart) passe une bonne partie du film à observer Lars Thorwald (Raymond Burr), celui-ci lui fait face et lui demande « Que me voulez-vous ? ». Burr pourrait tout aussi bien poser sa question au spectateur ; et en fait, juste avant que Thorwald ne se

perte de son partenaire durant la poursuite le traumatise et le met dans un état de choc qu'il ne pourra pas surmonte. Par contre la suite de ce film s'enchaine avec des actions lentes.et pesantes. Toutes les actions dans ce film, font de Sottie(James Stewart) un antihéros, enfin de compte il est gouverne par sa peur, et son acrophobie et ne peut pas sauver, ni son partenaire, ni Madeleine(Kim Novak). Il est amoureux de cette dernière, mais c'est un amour fictif, car on apprend que Madeleine n'est

l'apercevoir a 10min et 50sec, devant le portail d'entrée du chantier naval. Dans le roman, le personnage de Scottie est impuissant a tout niveau, le scénariste a lui décidé de joue avec cet élément, il multiplie les clins d’œil ironiques sur Scottie ( James Stewart ). Alfred H. a souvent critiqué ses propres films la seule critique qu'il fera sur ce film et le fait que tout tourne autour du simple vertige de Scottie. Hitchcock va utiliser une toute nouvelle technique pour filmer les vertiges de Scottie

Les noms des artistes sont souvent apparus avant celui des réalisateurs car véritable argument de vente pour les spectateurs. Exemple flagrant dans un film de 1954, Fenêtre sur Cour, réalisé par Alfred Hitchcock, le nom de l’artiste principal, James Stewart, ne se fait pas longtemps attendre. Ce procédé est donc repris par Stanley Kubrick, le générique continue jusqu’au nom du réalisateur, fondu au noir nous arrivons sur la scène d’exposition. Le faste qui a été symbolisé par la musique précédemment

scénariste John Michael Hayes lors de la 27e cérémonie des Oscars de 1955 pour le prix du meilleur scénario adapté à partir d’un roman4. Le scénario, écrit à la perfection, nous permet de comprendre et de vivre au même moment que Jeff Jefferies (James Stewart) tout ce qui lui passe par la tête, ce qui rend le suspense du film meilleur. De plus, lors de la ressortie de son film en 1968, Alfred Hitchcock a parlé ainsi du scénario de son film : «Si vous n'éprouvez pas de délicieuse terreur en regardant