Jardin des serres d'Auteuil

sous, je bois du cidre qui a une belle couleur d’or et me pique un brin le nez. Ah ! oui ! Sacré lâche ! Mais aussi, je n’ai pas eu de chance… Par un hasard bourgeois, ce lycée est plein d’air et de lumière ; c’est un ancien couvent, à grands jardins et à grandes fenêtres ; il tombe dans les réfectoires des disques de soleil ; il entre dans les dortoirs, quand les croisées sont ouvertes, des échos de feuillage et des tressaillements de nature déjà rouillée par l’automne, avec des tons chauds de

ans se soient écoulés, le souvenir de cet épisode est resté très présent dans la mémoire de la narratrice. D’une part, elle est capable de rapporter des détails précis du contexte de l’épisode : « Je le jetais par-dessus le toit du poulailler et le jardin de Miton, vers l’horizon toujours brumeux de Moutiers » (l. 9-10). D’autre part, elle se souvient très précisément de son dialogue avec sa mère le jour où elle a dû abandonner ses interprétations personnelles du mot « presbytère » pour obéir à l’ordre

deux phrases sera recouverte par la force de préjugés millénaires. 6 2 Les miracles de l’Art Je m’appelle Renée. J’ai cinquante-quatre ans. Depuis vingtsept ans, je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe, tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je n’ai pas

sommeil, Guillaume – l’amant – arrive devant un haut mur, le mur qui entoure le jardin du déduit – ce terme désigne les ébats amoureux. Le mur semble composé d’images : la convoitise, la tristesse, la haine, l’avarice, la pauvreté…Bref, on a compris que si l’on est triste, haineux, avare, on n’a aucune chance d’aller au déduit ! Pour un bouton de rose… Soudain, voici que Dame Oyseuse – l’oisiveté – ouvre la porte du jardin ! L’amant y est attendu par Courtoisie, Richesse, Beauté, parées des atours

sommeil, Guillaume – l’amant – arrive devant un haut mur, le mur qui entoure le jardin du déduit – ce terme désigne les ébats amoureux. Le mur semble composé d’images : la convoitise, la tristesse, la haine, l’avarice, la pauvreté…Bref, on a compris que si l’on est triste, haineux, avare, on n’a aucune chance d’aller au déduit ! Pour un bouton de rose… Soudain, voici que Dame Oyseuse – l’oisiveté – ouvre la porte du jardin ! L’amant y est attendu par Courtoisie, Richesse, Beauté, parées des atours de

PALAISEAU. - Monsieur NICOLAS Jean-Jacques Responsable d'Exploitation, DALKIA FRANCE, SAINT ANDRE. - Madame NOEL Catherine Secrétaire Standardiste, COURTEILLE, ARGENTEUIL. - Monsieur NOEL Claude Responsable Maîtrise d'Ouvrage, APPRENTIS D'AUTEUIL, PARIS. - Monsieur NONY Daniel Metteur au Point, OTIS, PUTEAUX. 50 - Madame NOUET Christine Secrétaire de Direction, XEROX, LA PLAINE ST DENIS. - Mademoiselle NUNES Maria Assistante d'Exploitation, SODEXO ENTREPRISES, GUYANCOURT. - Madame

offenser la grammaire ? MARTINE Qui parle d’offenser grand’mère ni grand-père ? PHILAMINTE Ô Ciel ! BÉLISE Grammaire est prise à contre-sens par toi, Et je t’ai dit déjà d’où vient ce mot. MARTINE Ma foi ! Qu’il vienne de Chaillot, d’Auteuil, ou de Pontoise, Cela ne me fait rien. BÉLISE Quelle âme villageoise ! La grammaire, du verbe et du nominatif, Comme de l’adjectif avec le substantif, Nous enseigne les lois. MARTINE J’ai, Madame, à vous dire Que je ne connais point ces

Georges Brassens Il n'y a pas d'amour heureux1 (Louis Aragon) 1953 Thèmes : amour Rien n'est jamais acquis À l'homme, ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit ouvrir ses bras Son ombre est celle d'une croix2 Et quand il veut serrer Son bonheur il le broie Sa vie est un étrange Et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux (horend bij (verworven, bereikt)) Sa vie, elle ressemble À ces soldats sans armes Qu'on avait habillés Pour un autre destin À quoi peut leur servir

excellente visibilité grâce à la RATP. Malgré tout cela, notre fréquentation a baissé. Sur la recherche de nouveaux publics et la gratuité. Nous pratiquons des prix modestes et essayons de faire quelques concerts gratuits, en l’occurrence dans les jardins publics, dont le Parc de Belleville, endroit populaire où l’on s’efforce de proposer un concert gratuit de musiques du monde. On arrive pleinement à toucher le public qu’on souhaite, du « non public » qui ne viendrait pas forcément à nos autres concerts

e u r - a n i m a t e u r , é c r i va i n phrases10 1. « Paradis » le mot fait déjà... 2. Le biscuit était délicat, Pierre l'avait imaginé. Il ressemblait comme deux gouttes d'eau (de rose) à Ispahan. La divine chose exhalait le parfum des jardins de Chehel- sotum. L'Ispahan nous mène aux «Huit Paradis » vous caresse le palais. 3. Mais Pierre ne donne pas comme ça les clés de ses « Huit Paradis ». Le pâtissier ne se laisse approcher que si vous parvenez à éveiller sa curiosité : la cerise sur