J'arrive

trouve hyper craquant et je n’ai jamais osée l’approcher, on se glisse quelques sourires parfois mais pas plus. J’avais vraiment les nerfs quand j’ai appris ça. Jenny, ma meilleure amie, m’a dit qu’elle les avait vu ensemble vers chez elle, avant que j’arrive. J’ai remarqué ma sœur toute jolie avant de sortir et un peu pressée. Je ne lui ai pas demandé où elle allait, je n’ai pas vraiment l’habitude de me soucier de ce qu’elle fait. De toute façon je ne peux rien faire, je ne peux pas aller vers Malaury

antiques Où des rois ses aïeux sont les froides reliques, J'y cours en soupirant, et sa garde me suit. De son généreux sang la trace nous conduit, Les rochers en sont teints, les ronces dégouttantes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J'arrive, je l'appelle, et me tendant la main, Il ouvre un oeil mourant qu'il referme soudain : "Le ciel, dit−il, m'arrache une innocente vie. Prends soin après ma mort de la triste Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d'un

soir après le cour, je le rejoins à un cocktail et je le trouve en train d’expliquer sa vie de Croyant, la Bible et son pacte avec Dieu ; Il m’a avoué plus tard, ne pas savoir pourquoi la conversation avait débouché sur ce sujet, jusqu'à ce que j’arrive. Il m’a dit : « Quand je t’ai vu , j’ai compris que c’est pour toi que je parlais de Dieu à des inconnus. » Qques temps plus tard, Robert me demande « qu’est ce que tu lis en ce moment ? »Je répons que je lis la Bible pour la 1ère fois, parce

L’intervention s’est bien déroulée d’après le compte-rendu, cependant Mr R reste un peu douloureux. Je lui administre donc un antalgique. Ses constantes sont correctes, je le laisse donc se reposer. Quelques minutes plus tard, son voisin sonne. J’arrive dans la chambre et constate que Mr R est taché de sang. Le voisin avait sonné pour Mr R. Mr R essayait de tirer sur sa sonde urinaire car celle-ci lui faisait mal. Je lui explique donc qu’il ne faut pas tirer dessus car ça risque de lui faire encore

« mon », « mes » → les mots ne sont pas très variés, mais leurs nombreuses occurrences soulignent l'omniprésence de MU.-cette personne est en lien avec tous les verbes d'action du récit, soit en tant qu'objet, soit en tant que sujet : « je quitte », « j'arrive », « je passe », ce qui montre la force de MU, mais en même temps « tous les malheurs m'ont assaillie »« me poursuit », « Bougrelas me serrait » . Tout le récit tourne donc autour de ce personnage soulignant à la fois sa volonté, mais aussi le fait

de Noel pour faire mon stage pratique du BAFA, et oui il faut bien que je continue… M’occuper et être entouré des enfants tu sais à quel point j’aime ça. Avant de commencer je réfléchissais déjà à quelles activités j’allais pouvoir leur proposer. J’arrive le premier jour, je fais la connaissance du personnel du centre qui m’ont très bien accueilli. Le directeur Fred a lui aussi été accueillant et m’a directement immerger dans le centre. Mes deux premiers jours étaient plus dédiés à l’observation,

des deux textes étudiés, je dirais que celui qui me semble le plus claire est celui de Jean de La Fontaine. La poésie engagée. Je suis de cet avis car les vers, du fait qu'ils soient courts, je comprends mieux l'histoire et la vit plus intensément. J'arrive mieux à suivre l'histoire et je ressens avec les personnages, leurs joies comme leurs peines et ici, leurs inquiétudes. On pourrait s'appuyer sur les vers 37-38-39-40 « Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre l'argent et sa joie à la fois

aime se chanteur. Je lui parle de lui qu’il va venir en concert etc.… peut a peu elle se redresse et s’assoit dans le coin elle me regarde je lui propose de danser se qu’elle accepte mais elle reste très raide, réservé et distante. Par se petit jeu, j’arrive à lui faire mettre son pyjama. Une de mes collègues vient pour me remplacer et Chloé se remet instantanément dans le coin. Je fais signe a Ludivine de partir. Après cela je reprends depuis le début avec la musique la discussion quand elle s’adresse

de la situation de communication que j’ai choisie de vous exposer sont une patiente que je décide d’appeler Madame B et moi-même. Ce jour si j’étais en stage en médecine polyvalente, je travaillais d’après-midi, vers 15h00, on sert les goûters. J’arrive à la chambre 11, c’est une dame de 81 ans qui faut faire manger, car elle a le bras droit plâtré, du a une chute à son domicile, et elle ne sait pas manger avec son bras gauche. Je l’aide donc à s’installer correctement dans son fauteuil, tous

des fleurs, des feuilles et des branches Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux. J'arrive tout couvert encore de rosée Que le vent du matin vient glacer à mon front. Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée Rêve des chers instants qui la délasseront. Sur votre jeune sein laissez