Javelot

personnage. L’Hippolyte recrée par Racine n’est plus le « bel athlète superbe », sûr de lui, fier de sa chasteté, mis en scène par Euripide. Chez Racine, le jeune Hippolyte est devenu un seigneur charmant et galant qui oublie ses devoirs (« Mon arc, mes javelots, mon char, tout m’importune » v.549), parce qu’il éprouve un amour irrésistible pour une femme que les ordres paternels et l’intérêt dynastique lui interdisent d’aimer. C’est également un couple séduisant, ou deux êtres parfaits d’âme et corps, s’aiment

lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite, Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte. Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus. Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune. Je ne me souviens plus des leçons de Neptune. Mes seuls gémissements font retentir les bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix. Peut-être le récit d'un amour si sauvage Vous fait en m'écoutant rougir de

(d’autres types de gladiateurs). Certains gladiateurs combattaient à cheval ou sur des chars conduits par les auriges. Les cavaliers portaient une lance, un casque à visière et un petit bouclier rond. Les Essédaires (un cocher et un lanceur de javelot dos à dos sur un char léger) affrontaient des gladiateurs à pied. Les belluaires ou bestiaires (le plus souvent des condamnés ou des prisonniers de guerre) combattaient des bêtes sauvages qu’on avait préalablement habitués à manger de la chair

ivre, cherche à embrasser Andromaque. Hector, qui est prêt à le tuer, se contient pour sauver la paix. Survient Demokos qui, ayant appris la restitution d’Hélène, ameute la ville et l’appelle aux armes. Hector, pour éviter le conflit, le tue de son javelot. Il pense avoir triomphé. « La guerre n’aura pas lieu, Andromaque. » Le rideau commence à tomber. Mais il se relève. Demokos, qui agonise, accuse Oiax le Grec de l’avoir tué. La foule troyenne rattrape le Grec et le lynche. La guerre aura lieu. Les


Perceval le Gallois est le petit dernier d'une fratrie de chevaliers tous morts au combat. Sa mère est partie vivre seule dans un manoir au milieu d'une gaste forêt (perdue, isolée) pour empêcher son fils de devenir chevalier. Un jour, en jouant au javelot dans la forêt, le jeune Perceval rencontre cinq chevaliers aux armures si étincelantes qu'il les prend pour des anges En gallois son nom est Peredur.
Perceval, jeune homme devenu depuis peu un chevalier redoutable, ayant pour quête de trouver le Saint

ses provocations, il veut la paix à tout prix. Finalement Ulysse arrive et après des moments d’antipathie se trouve pacifiste comme Hector et ensemble ils trouvent un accord de paix. Mais Oiax commence à provoquer de nouveau Hector qui s’arme d’un javelot et sans le vouloir finit par tuer Demokos. Ce dernier accuse Oiax de l’avoir tué avant de mourir afin que les troyens déclarent guerre aux grecs. La pièce se conclut avec la déclaration de guerre de troyens et Hélène qui embrasse Troilus. Avis

000 as 20 centuries : jeunes et Casque / bouclier vieux scutum (plus allongé) jambières, lance et épée mais pas de cuirasse Troisième classe 50 000 as 20 centuries Casque / bouclier / lance et épée Quatrième classe 25 000 as 20 centuries Lance et javelot Cinquième classe + 11 000 as Sont plus nombreux, Frondes et pierres cors et trompettes au moins 30 centuries + 2 centuries trompettes et cors Le reste des citoyens est exempt de militia parce qu’ils ne remplissent pas les conditions censitaires. Cependant

martialis, en présence des Pontifes.² La cérémonie avait lieu au Champ de Mars. Elle débutait par une course de chars attelés de deux chevaux; c'est le cheval de droite du char victorieux qui fournissait la victime. Celle-ci était tué d'un coup de javelot et immolée sur un autel très ancien, autour duquel les Saliens dansaient en mars la danse des armes. Aussitôt le cheval égorgé, on lui coupait la queue, qu'on transportait en courant à la regia, afin d'en égoutter le sang sur les cendres du foyer

est en manque d’inspiration grâce aux questions rhétoriques : « Combien de fois faut-il secouer mes grelots et baiser ton front bas, morne caricature ? » v.1 à v.2, « Pour piquer dans le but, de mystique nature, combien, ô mon carquois, perdre de javelots ? » v.3 à v.4 et qui espère que la mort « Fera s’épanouir les fleurs de leur cerveau ! » v.14. La mort est vue de façon positive, notamment grâce à la comparaison « planant comme un soleil nouveau » v.13, qui marque également l’ouverture d’un autre

au registre épique qui suscite, de l’admiration pour Hippolyte. Tout d’abord, le thème de la guerre, du combat créer une scène héroïque de part un grand nombre d’adjectifs, et de noms tels que « chevaux » ; « sang » ; « coursiers », ou encore « javelots ». En outre, plusieurs figures d’amplifications se cumulent. Telles que les gradations. Ici, en l’occurrence on peut dire que cet extrait entier en est une, il y a une progression de l’horreur, de la mort qui surgit peut à peut pour s’aggraver,