Javelot

d’origine Hébreu s’écrit ZIYZA et signifie abondance, fertilité. Si l’on se réfère à la racine bilitère soit sans les voyelles Zaïn doublé est la 7ème lettre de l’Alphabet hébreu, à valeur 7 et de valeur 25 en géométrie, mais elle à surtout le sens de « javelot » arme, membre viril. Le graphisme de cette lettre évoque le serpent dressé verticalement associé à l’antique hiéroglyphe de la fécondation. ZIZA est aussi dans les chroniques de la bible un nom propre : ZIZA fils de Jonathan de la race de Jéramaeel

montre la volonté de Théramène, au moment où il s'apprête à décrire la mort d'Hippolyte, d'actualiser son récit. De même, l'emploi du présent de narration (par exemple : « Hippolyte lui seul digne fils d'un héros, / Arrête ses coursiers, saisit ses javelots » v. 1527-1528 ; ou encore : « À travers des rochers la peur les précipite. / L'essieu crie, et se rompt » v. 1541-1542), qui abolit la distance temporelle et rend les événements contemporains de l'énonciation, invite le spectateur à revivre la scène

a. L'éducation physique Les exercices physiques se déroulent au palestre (palê : lutte). C'est le pédotribe qui forme les enfants (littéralement «l'entraineur d'enfants»). Sont enseignés la course, les sports de combat, le lancer de disque, de javelot, et le saut en longueur. Cet entraînement physique, gymnique, a pour but de stimuler chez l'enfant un esprit de compétition, d'héroïsme. Les enfants sont d'ailleurs intégrés dans les jeux d'Olympie à partir de 632 avant J.C (les trois classes d'âge

cerclés de bronze » Si jamais le gladius était égaré lors de la confusion qui régnait sur le champ de bataille, le légionnaire pouvait toujours sortir son pugio, alias sa dague. De plus, à chaque soldat était assignés deux pilums, c’est-à-dire deux javelots, qui étaient généralement lancés au début du combat lors de la charge ennemie, pour ensuite sortir le glaive et entrer dans la mêlée. Quant aux légions auxiliaires, c’est-à-dire des troupes non régulières recrutées dans les provinces romaines, parmi

apparaissait avant méfiant et antipathique, se montre pacifiste à son tour. Puis, alors qu'Hector croyait avoir gagné la paix, Oiax réapparait ivre et le provoque à nouveau. Démokos crie à la vengeance et Hector, à bout de nerfs, le tue avec son javelot. Avant de mourir, le poète hurle que c'est Oiax qui l'a tué et l'on déclare la guerre. Les portes de la guerre se rouvrent sur Hélène et Troïlus qui s'embrassent. La guerre de Troie aura donc lieu. Les deux camps - Durant la pièce se dessinent deux

objectifs pour arriver vers les SA (amorcé par Marsenach). (Exemple : objectif : lancer à bras cassé → lancer de javelot). Il y a donc une liaison entre objectif et contenu → « être capable de » = beaucoup plus organisé, évaluation avec des critères de réussite. Exemple de PPO : G. Versepuech, « Le lancer de javelot en classe de 6ème mixte », Revue EPS N° 163, mai-Juin 1980.C/ Les explicationsRecherche d’une légitimité, période crispante (beaucoup

Hippolyte croyant décrire la perte de soi dû à l’amour, révèle en réalité sa propre mort ! Dans une énumération, Hippolyte cite ses attributs guerriers : « Mon arc, mes javelots, mon char », tout cela le gène, ne lui est plus d’aucune utilité. En effet, si l’on se reporte au récit de Théramène : au vers 1528 Hippolyte «saisit ses javelots », et transperce le monstre. Cela n’a aucun effet, Hippolyte meurt quand même. Son char même ne l’aide pas,  au vers 1542-43 « l’intrépide Hippolyte/ Voit voler en éclat

des dieux, donc toujours une présence d’un destin. Celle-ci est montré avec une présence d’Artémise avec la présence du champs lexical de la forêt et des armes de chasse : «  dans le fond des forêts »(v443), « les bois » ( v551),  «  mon arc, mes javelots »(v540),  «  le troi »(v540) .On y voit aussi Neptune ( Poséidon), en rapport des 3 vœux pour Thésée, dans les ver 550 «  je ne me souviens plus des leçons de Neptune », « naufrage du bord »( v534).On a donc ici comme Phèdre, une dissolution de la

personne courageuse. Cela suscitant chez le lecteur une image très méliorative du personnage ce qui le grandit. En effet, nous pouvons prendre cette phrase du texte: «Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros» l.35 Celle-ci la succède: «saisit ses javelots» l.36 Nous pouvons interpréter ceci de cette manière: Hippolyte, tel son père et tel un héros, malgré qu'il soit seul et face à la mort, a prit ces armes pour se défendre. Pour le lecteur, ce comportement est vraiment synonyme d’héroïsme, il montre

est mise en avant . À droite derrière le roi, se trouve sa cousine , Anne-Marie d’Orléans duchesse de Montpensier aussi appelé Grande Mademoiselle. Elle est représenté en Diane déesse de la chasse dont elle porte les attributs , elle possède un javelot dans la main droite et un croissant de lune sur sa tête . A gauche derrière le roi , on peut y apercevoir Élisabeth , Marguerite et Francoise d’Orléans répresenté par trois grace symbole de la divinité de la beauté . Elles sont des cousines du