Je l'aimais

* L’avis de Marie Humbert sur l’Euthanasie : D’après la mère de Vincent Humbert, passer à l’acte d’euthanasie était d’abord un acte d’amour envers son fils, elle a alors déclaré : « Je croyais aimer mon fils en le laissant en vie, mais je l'aimais mal, je voulais le garder ». Selon elle l’euthanasie c’est aussi dans certains cas « … le respect de l'être humain. Si la médecine ne peut rien faire pour nous et que l'on en a marre de souffrir, on doit pouvoir choisir de partir ». Avec son association

chaise Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec leurs fleurs ! Que de feux morts, et que de tombes closes ! Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs ? Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ? Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse. Comme elle était bien plus grande que moi, Je lui faisais des questions sans cesse Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ? Et par moments

était devenu un plaideur en affaires criminelles. Louis prend alors conscience de son isolement et sent que sa propre mort approche. Chapitre 7 : Quand les enfants étaient petits, Louis n'était pas présent. De plus, Isa croyais que personne ne l'aimais, mais elle n'a pas voulu divorcer car elle ne voulait pas perdre leurs possessions et à cause de ses enfants. Louis a décidé de consacrer du temps à ces-derniers, mais il s’aperçu qu'il ne s'entend pas bien avec eux, à l'exception de Marie. Il devient

pourtant je me flatte d’abord Que la seule vengeance excite ce transport. Mais l’ingrate en mon cœur reprit bientôt sa place : De mes feux mal éteints je reconnus la trace ; Je sentis que ma haine allait finir son cours, Ou plutôt je sentis que je l’aimais toujours. Ainsi de tous les Grecs je brigue le suffrage. On m’envoie à Pyrrhus ; j’entreprends ce voyage. Etude du texte La pièce et son auteur : 1) Jean RACINE : Né en 1639 et mort en 1699 (17e siècle => Baroque et classicisme). Jean

rencontre « en une grande fête et réunion de ville » référence à leur age « nous étions tous deux hommes faits « : ancrage dans le vécu personnel de Montaigne. - champ lexical de l’affection très présent, évocation de sentiments forts et tendres « je l’aimais- union - affection- embrassions- (+ adverbe d’intensité = subjectivité+rythme ternaire = insistance) si pri, si liés, si connus- (superlatif) rien dés lors ne nous fut si proche que l’un à l’autre - notre intelligence » Appel aux sentiments, engagement

puis comique "un garçon fort exact qui m'instruisais et à quei je payais toujours bouteille" - recours à argumentation "il y aura de la bonté à le renvoyer plus il voit Madame plus il s'achève" ou au lyrisme "j'esperait que cela passerait, car je l'aimais c'est le meilleur maître" - enfin pour ajouter effet réel se fait acteur ds récit rencontré la "grande brune piquante et " valet "fort exact c. 3 grdes répliques montrent pers qui s'évertue à persuader par récit vivant, animé on peut s'imaginer

J’entrepris ma découverte en direction de la maison des Rivalondes ; une famille que n’aimait pas mon père car il leur revendiquait des droits féodaux. Je fis la connaissance d’une bien belle fille qui était Violette la fille des Rivalondes. Je l’aimais bien, je la trouvais très gentille avec moi. C’est ici que notre amitié a débuté. Au bout de quelques jours dans les arbres, je fus obligé de m’organiser pour vivre avec un minimum de confort et pour vivre seul. J’ai demandé à mon frère Blaise

chaise Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec leurs fleurs ! Que de feux morts, et que de tombes closes ! Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs ? Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ? Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse. Comme elle était bien plus grande que moi, Je lui faisais des questions sans cesse Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ? Et par moments

pourtant je me flatte d'abord Que la seule vengeance excite ce transport. Mais l'ingrate en mon coeur reprit bientôt sa place : De mes feux mal éteints je reconnus la trace ; Je sentis que ma haine allait finir son cours, Ou plutôt je sentis que je l'aimais toujours. Ainsi de tous les Grecs je brigue le suffrage. On m'envoie à Pyrrhus ; j'entreprends ce voyage, Je viens voir si l'on peut arracher de ses bras Cet enfant dont la vie alarme tant d'Etats. Heureux si je pouvais, dans l'ardeur qui me

vins Contre la mémoire rebelle. Oh ! ses cheveux livrés au vent ! Ses yeux, crépuscule d'automne ! Sa parole qu'encor souvent J'entends dans la nuit monotone. C'était la plus belle, à jamais, Parmi les filles de la terre... Et je l'aimais, oh ! je l'aimais Tant, que ma bouche doit se taire. J'ai honte de ce que je dis ; Car nul ne saura ni la femme, Ni l'amour, ni le paradis Que je garde au fond de mon âme. Que ces mots restent enfouis, Oubliés, (l'oubliance est douce) Comme un