Je me souviens

Tiffany Circle, numéro 714, où le clan Dunbar reste imbriqué à ce jour!! C'est là, 714 Tiffany Circle, où j'ai d'abord rencontré Khe Sahn, qui est arrivé à notre porte sur (comme fate2 aurait-il) Halloween! Je me souviens de la prenant pour une Trick or-Traiteur! Elle portait, je me souviens, une jupe de la taille d'une bière cozy3, une veste courte, à poil, et, sur son visage, rouge assez, ombre à paupières, rouge à lèvres et à la peinture de notre maison tout entière, à l'intérieur qu'à l'extérieur

Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en

sais, tu mentais, ton rire sonnait creuxMais ton baiser fut lent, étroit et savoureux,Il s’attardait, et ce baiser atteignait l’âme,Car tu fus à la fois le serpent et la femmeMais souviens-toi de la façon dont je t’aimais…Moi, ne suis-je rien dans ta chair ? Si jamaisTu sanglotas mon nom dans l’instant sans défense,Souviens-toi de ce cri suivi d’un grand silence.Je ne sais plus aimer les beaux chants ni les lysEt ma maison ressemble aux grands nécropolis.Moi qui voudrais chanter, je demeure muette.Je

fièrement ses épines. Je me souviens encore de notre bonheur lorsque nous l’avons planté, mon frère, mon père et moi. C’était notre sapin et on l’aurait pour toujours. Aujourd’hui, il mesure environ 3m, et il ressemble aux sapins que l’on peut voir dans les films ou les histoires de contes de fées. Son port conique harmonieux, ses aiguilles aux teintes bleutées, son odeur agréable… Et sa taille! Cet été je me suis rendu compte à quel point il était grand et majestueux. Je me souviens encore du temps où je

enlacés Ne faisaient qu'une ombre Lorsque je t'embrassais. Nous échangions ingénûment Joue contre joue bien des serments Tous deux, Lily Marlène. (bis) Le temps passe vite Lorsque l'on est deux ! Hélas on se quitte Voici le couvre-feu… Te souviens-tu de nos regrets Lorsqu'il fallait nous séparer ? Dis-moi, Lily Marlène ? (bis) La vieille lanterne S'allume toujours Devant la caserne Lorsque finit le jour Mais tout me paraît étranger Aurais-je donc beaucoup changé ? Dis-moi, Lily Marlène

Aprés ça, une piéce, un homme, et les detenus, qui devaient être tatoués pour l'identification, habillés d'une tenue noire ou blanche à rayures, et qui avaient l'obligation de se faire tondre les cheveux. Ainsi, on ne pouvait les distinguer. Je me souviens d'une femme. Lors de la sélection, elle avait caché sa fille sous sa robe. Cette petite, je l'avais appelé Caroline, car elle ressemblait énormement à ma fille dont le nom était celui-ci. Je l'avais vu. Mais je ne pouvait pas voir cette mère souffrir

Cher journal, Depuis quelque jours j'ai remarqué des phénomènes étranges. Lundi soir lorsque je rentrai chez moi alors qu'il faisait nuit, je me souviens avoir senti une présence derrière moi pendant quelques mètres. Par angoisse, je marchais de plus en plus promptement, je me souviens être passée devant le petit magasin de troc et soudain ; ce fut le trou noir. Mon premier souvenir sera l'écran de mon réveil qui m'indiquait qu'on était mardi, et ces maux de tête infernaux ainsi que deux étranges

Colloque Sentimental », Paul Verlaine met en avant un amour passé entre deux êtres qui sembleraient ne plus être de ce monde. Ils évoquent le temps ou leur amour existait. D’un côté la première personne s’accroche à l’autre en voulant qu’il se souvienne des moments qu’ils ont passé ensemble mais celui-ci n’en voit aucun intérêt et tourne le dos à cette discussion. Plan : Vers 1 à 6 : Les retrouvailles des 2 âmes Vers 7 à 14 : Un amour rejeté Vers 15 à 16 : L’éclipse dans la nuit des êtres

si vous ne craignez pas les certitudes vertigineuses, montez au septième étage, numéro huit, rue Paradis et poussez la porte. Je vous attends. Mais d’abord, écoutez :J’habitais l’immeuble en face il y a un an, un jour, un siècle, je ne sais. Je me souviens qu’une nuit d’été caniculaire, rêvant, avant d’aller dormir, sur le balcon de ma chambre dans la brise délicieuse, je remarquai de l’autre côté de la rue une fenêtre ouverte sur une pièce chaudement éclairée. J’en fus surpris : d’ordinaire, derrière

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