Je m'en vais

petit baiser.SuzanneÀ mon amant aujourd’hui ? Je t’en souhaite ! Et qu’en dirait demain mon mari ? (Figaro l’embrasse.)SuzanneHé bien ! hé bien !FigaroC’est que tu n’as pas d’idée de mon amour.Suzanne, se défripant.Quand cesserez-vous, importun, de m’en parler du matin au soir ?Figaro, mystérieusement.Quand je pourrai te le prouver du soir jusqu’au matin. (On sonne une seconde fois.)Suzanne, de loin, les doigts unis sur sa bouche.Voilà votre baiser, monsieur ; je n’ai plus rien à vous.Figaro court

parler de tong-tong , mais c’était dans un rêve tard dans la nuit ! - Yayenii : Akh depuis combien de temps tu n’a pas mangé de viande ? - Cécile : mangée de la viande ? Viande de quoi ? - Yayenii : de la viande rouge - Cécile : Vraimenttt je ne m’en rappelle plus . ça date de ma jeune et tendre enfance Voix de Woula en coulisse - Woula : qui parle dans ma cour à cette heure ci ? - Cécile : c’est juste Yayeni - Woula : Yayeni ton mari est rentré chez lui lui aussi et s’il rentre il sera

romantique acteur des films ''The impossible'', '' Jack le chasseur de géants'' , et entre autre, le film dont nous allons parler aujourd'hui, '' the island'' sortis en 2005. Je vous présente Ewan McGregor. Bonjour Ewan McGregor, comment allez-vous ? Je vais bien merci. Le film ''The island'' nous a fortement marqué. Pouvez-vous, en quelques mots, me parler de ce film pour informer nos lecteurs qui ne l'ont peut-être pas vu? Oui, ce film est basé sur deux grands thémes. Les progrès de la science et le

ALINE Tu sais où tu peux te le mettre ton cadeau ? JEAN Aucune idée, justement. En attendant, je l’ai mis dans le tiroir, là. ALINE Et tu crois que je vais me jeter dessus ? JEAN Oh moi, je ne crois rien du tout. Si tu le veux il est là, sinon il y restera. ALINE Tiens regarde, je vais le prendre, je vais même l’ouvrir et quoi que ce soit, je vais le foutre à la poubelle sous tes yeux. JEAN Si ça t’amuse. Aline va retirer le paquet du tiroir, format boîte à chaussure, emballé d’un joli papier, ceint

chose qui pourrait vous plaire. Je la trouve vraiment jolie, l’auriez-vous en rouge? Oui je vais vous la chercher. Si vous souhaitez vous pouvez l’essayer, nos cabines se trouvent au fond du magasin. Je trouve qu’elle me va bien, c’est décidé, je vais vous l’acheter. Auriez-vous un chapeau, j’aimerais en acheter un pour aller avec ma robe. Bien entendu, tenez celui-ci vous plaît? Il est très joli, je vais vous le prendre. Je trouve qu’il va bien avec la robe. 40 € s’il-vous-plaît Madame. Zut, je

votre bulletin de notes vous avez l'air d'être une assez bonne élève . Sûrement... Bon voilà vos livres, votre emploi du temps et si besoin vous trouverez le délégué principal dans la salle des délégués. Des questions ? Euh... Non je pense que je vais me débrouiller. Une dernière chose vous aurez à choisir un club, mais vous verrez ça avec le délégué principal. Bonne journée mademoiselle. Merci » Houa ! Cette directrice est hyperactive, elle n'a pas arrêté de trier des papiers ou de tamponner

peuvent toujours mettre des mots d'une lettre, mais moi je ne suis pas ce genre de personne, je prefere faire un texte avec aucun sens mais avec des vrais mot, 250 il m'en faudra, j'espere atteindre cette limite car j'en ai marre de ctaper ca sur mon ordinateur, enfin bref , si je peux arriver a mes finc, pourquoi m'en passer ? bon je vais essayer on va bien voir ce que ca va donner. ca ne marche toujours pas avec deux cent cinquante mots, on écrit un roman , c'est ca non ? bref vite vite vite vite vite

16h, mais non. Aucun bateau n’était à quai. J’aurais dû m’en douter. Il ne me serait jamais revenu. J’avais trop prié. La mer avait enlevé mon mari. J’avais compris ce qui s’était passé. Il était mort, pour rien. J’étais attristée, en colère, je ne pouvais me retenir. Je savais que je n’aurais jamais dû le laisser partir. J’étais coupable, j’aurais pu l’en empêcher, j’aurais pu le sauver. « Comment j’annoncerai ça aux enfants? Comment vais-je leur expliquer que j’ai laissé leur père aller mourir

taise. Que vous importent mes sentiments ? Dorante. Ce qu'ils m'importent, Lisette ? Peux-tu douter encore que je ne t'adore ? Silvia. Non, et vous me le répétez si souvent que je vous crois ; mais pourquoi m'en persuadez- vous, que voulez-vous que je fasse de cette pensée-là Monsieur ? Je vais vous parler à cœur ouvert, vous m'aimez, mais votre amour n'est pas une chose bien sérieuse pour vous, que de ressources n'avez-vous pas pour vous en défaire ! La distance qu'il y a de vous à moi, mille objets

trou, je me sers d’eux pour avoir ce que je veux. Si des choses ne vont pas bien dans ma vie, il faut que je sois entourée d’amis, comme toutes personnes, je le sais bien, sauf qu’une fois que j’ai une amie à mes côtés, je n’arrive pas à m’en satisfaire. Il m’en faut toujours plus. J’ai eu une amie qui ne parlait jamais de sexe avec moi, il a fallu donc que je me trouve une autre pour me défouler. Et du coup j’ai laissé tomber cette copine pour en trouver une autre. En gros dès que je trouve mieux