Je m'en vais

souhait des personnages (la rencontre avec Godot): un dénouement impossible. Poursuite de la mise en scène de l'ennui de personnages qui n'ont pas grand-chose à se dire: "Estragon.- Qu'est ce que tu as? Vladimir.- Je n'ai rien. Estragon.- Moi je m'en vais. Vladimir.- Moi aussi." Des répliques très banales qui traduisent leur ennui. Le suicide envisagé comme solution à l'ennui: "Estragon:-... Et si on se pendait?" Mais un projet qui tourne à l'absurde: se suicider avec la corde qui sert de ceinture

mais t'es un gentil toi. - Ta gueule. "C'est quoi ce bordel avec l'amour là ? Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point ? T'imagine le temps qu'on passe à se prendre la tête là-dessus ? Quand t'es seul, tu te plains : "Est-ce que je vais trouver quelqu'un?". Quand t'as quelqu'un : "Est-ce que c'est le bon ?", "Est-ce qu'on peut réparer les choses quand on sent que ça part en couille ?" Toutes ces questions à la con qu'on se pose tout le temps, là... Pourtant on peut pas dire qu'on

BritannicusBRITANNICUS Tragédie II À Monseigneur le duc de Chevreuse Monseigneur, Vous serez peut-être étonné de voir votre nom à la tête de cet ouvrage ; et si je vous avais demandé la permission de vous l’offrir, je doute si je l’aurais obtenue. Mais ce serait être en quelque sorte ingrat que de cacher plus longtemps au monde les bontés dont vous m’avez toujours honoré. Quelle apparence qu’un homme qui ne travaille que pour la gloire se puisse taire d’une protection aussi glorieuse que

IID. JUAN, SGANARELLE. 3 Dom Juan, ou le festin de pierre Je crois que vous jugez assez ce qui le peut inquieter. D. JUAN. Nostre départ, sans doute ? SGANARELLE. Le bon homme en est tout mortifié, et m'en demandoit le sujet. D. JUAN. Et quelle réponse as−tu faite ? SGANARELLE. Que vous ne m'en aviez rien dit. D. JUAN. Mais encore, quelle est ta pensée là−dessus, que t'imagines−tu de cette affaire ? SGANARELLE. Moy, je croy sans vous faire tort, que vous avez quelque nouvel amour en teste. D. JUAN

mélange. Bientôt... Mais quels malheurs dans ce billet tracés Vous arrachent, Seigneur, les pleurs que vous versez ? Votre Oreste au berceau va−t−il finir sa vie ? Pleurez−vous Clytemnestre, ou bien Iphigénie ? Qu'est−ce qu'on vous écrit ? Daignez m'en avertir. Agamemnon Non, tu ne mourras point ; je n'y puis consentir. Arcas Seigneur... Agamemnon Tu vois mon trouble ; apprends ce qui le cause, Et juge s'il est temps, ami, que je repose. Tu te souviens du jour qu'en Aulide assemblés Nos

ANTHOLOGIE SUR LE THÈME DE L’AMOUR AU XVIème SIÈCLE Pierre de BRACH (1547-?) : Amour, adieu... Amour, adieu, je prends congé de toi Amour, adieu, je m'en vais, je te laisse, Je ne veux plus aimer cette maîtresse Qui m'a tenu si longtemps en émoi. Je ne veux plus la voir rire de moi, S'éjouissant de me voir en tristesse. Ni son bel oeil, qui m'oeillade sans cesse, Ni de sa bouche une parjure foi, Ni sa beauté, de moi tant admirée, Ni de ses yeux une flèche tirée, Ne me vaincront

le monde, vous le savez. Hermiane Oui, vous en êtes par pure galanterie, je l’ai bien remarqué. Le Prince Si c’est par galanterie, je ne m’en doute pas. Il est vrai que je vous aime, et que mon extrême envie de vous plaire peut fort bien me persuader que vous avez raison ; mais ce qui est de certain, c’est qu’elle me le persuade si finement que je ne m’en aperçois pas. Je n’estime point le cœur des hommes, et je vous l’abandonne ; je le crois sans comparaison plus sujet à l’inconstance et à l’infidélité

l'obstacle de l'évidence. Et où voulez vous qu'il soit le panaris ? Où ? Sur le mollet ? Sur les cheveux ? Sur la langue ? Lui : Lucianne ! Si vous continuez à m'emmerder avec votre histoire de panaris, je vous préviens, je vous plante là et je vais prendre une cuite avec Virdieux Mondrigourt ! Elle : Ah ! Qui vous racontera pour la millième fois comment il a perdu un testicule en Indochine, ça vous ne vous en lassez pas ! Lui : Non, parce que ce testicule, lui, était mal placé. Et c'est

passer ? M : je vais vous remplir de sperme J : sur nos visages et sur nos seins ? hmmm… M : partout et vous allez me branler comme des salopes J : avec nos mains ou nos langues tu prefererais ? M : les deux petite vicieuse J : t’aimes pas que l’on soit chaudes dis ? M : si j’aime ca cherie je vais vous faire mouiller comme des folles J : tu boirais toutes nos mouilles ? M : je vous ferais crier comme des chiennes J : de quelle maniere vas-tu t’y prendre ? M : je vais vous chevaucher comme

heures* 15heures. Apres une bonne sieste, je me lève, enfile un jogging gris, un débardeur blanc, mes baskets, ma veste American Apparel, mon sac et commence a partir a mon entrainement. Le studio de danse est a deux rue de l'appartement, j'y vais donc a pieds. Sur le chemin, un homme, plutot jeune, de mon age je pense, marchait d'un pas presser en direction du Milshake City. Il avait un bonnet sur tete, et des Ray Ban, il me disait etrangement quelqu'un mais impossible de me souvenir