Je m'en vais

tout le monde, vous le savez. HERMIANE Oui, vous en êtes par pure galanterie, j'ai bien remarqué. LE PRINCE Si c'est par galanterie, je ne m'en doute pas. Il est vrai que je vous aime, et que mon extrême envie de vous plaire peut fort bien me persuader que vous avez raison, mais ce qui est de certain, c'est qu'elle me le persuade si finement que je ne m'en aperçois pas. Je n'estime point le cœur des hommes, et je vous l'abandonne ; je le crois sans comparaison plus sujet à l'inconstance et à l'infidélité

CLAIRE, suffoquée. Oh ! Oh ! Mais… SOLANGE, marchant sur elle. Oui madame, ma belle madame. Vous croyez que tout vous sera permis jusqu'au bout ? Vous croyez pouvoir dérober la beauté du ciel et m'en priver ? Choisir vos parfums, vos poudres, vos rouges à ongles, la soie, le velours, la dentelle et m'en priver ? Et me prendre le laitier ? Avouez ! Avouez le laitier ! Sa jeunesse, sa fraîcheur vous troublent, n'est-ce pas ? Avouez le laitier. Car Solange vous emmerde ! CLAIRE, affolée. Claire ! Claire

Des violons De l‘automne Blessent mon cœur D’une langueur Monotone Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Le titre du poème saturnien renvoie à la section dont il est extrait Paysages tristes qui évoque les modulations plus personnelles sur

c’est sans doute, avec Dieu, « le » sujet de réflexion auquel l’Homme a consacré et consacre le plus de…temps, depuis qu’il est en âge de conceptualiser les choses autrement qu’avec un gourdin et un bout de silex… ce qui ne nous rajeunit pas. Je vais tout de même tenter de vous faire part de quelques réflexions sur ce sujet, en m’efforçant de n’être pas trop …long et éventuellement pas trop ennuyeux, car vous trouveriez alors... le temps long. Revenons à Monsieur de La Palice : tout événement

récompensera. J'espère que mon histoire vous touchera Inshallah Dans la chronique je parlerai de mon premier amour:un amour de distance; un peu de ma famille,de la maladie,et de MON MARIAGE INATTENDU et plein d'autres choses Inshallah. Bref je vais vous présenter ma famille; J'ai mes 2 parents el hamdoulillah grâce à Allah,qui s'aime terriblement. Yema et Papa je vous remercierai jamais assez de nous avoir fait grandir dans le respect,dans les principes de la famille musulmane malgré sa on pouvait

propos de la mort plutôt que de la maladie. B. La pointe finale C’est une fin plutôt « comique » que dans la souffrance l’auteur choisi, en effet, il finit son texte sans perdre le sens de l’humour, un humour noir, un humour de circonstance. « je m’en vais le premier vous préparer la place. », c’est sur cette phrase que se fini le texte, après avoir vue dans les yeux de ses proches sa déchéance finale, son dernier voyage, il leurs ouvre la voix, se lançant ainsi vers l’inconnue, lui qui ne fini pas

tard, c'est Marcel Mouloudji qui en est le premier interprète. Il modifia certaines paroles avec l'accord de Boris Vian. Par exemple : « Monsieur le Président » est remplacé par « Messieurs qu'on nomme grands » ou bien « ma décision est prise, je m'en vais déserter » est remplacé par « les guerres sont des bêtises, le monde en a assez » et les deux derniers vers « Que je tiendrai une arme, et que je sais tirer » qui se transforment donc en «Que je n’aurai pas d’arme, et qu’ils pourront tirer » pour

bon pouvez-vous me laisser seul, s’il vous plaît. _D’accord, je m’en vais, et réfléchissez bien à ce que vous m’avez raconté. _Oui mon frère, ne vous inquiétez pas. » Frère Jérôme partit prier. Le lendemain il alla réveiller le mendiant. Frère Jérôme lui indiqua l’endroit ou trouvait des habits dans le grenier. Il lui répondit qu’il était d’accord. Le mendiant revient avec des habits convenables, il lui dit : « _Je ne vais pas vous déranger plus longtemps. _Non, restez souper ! _Comme vous

gne son je le le B Œ qui qui tous tous J'ap - prends Si seul' - ment tout seul à fair' j œ ˙ E/D pou - vais lui ‰ j œ œ œ œ œ œ œ Man - quer d'a - mour n'est pas un armes # ‰ j œ œ œ œ œ œ œ J'ai qu'une pri - ère à lui a - œ . œj ˙ E E/D cri - me pou - vais lui # # 3 ‰ j œ œ œ œ œ œ Est - c'qu'il va me fair' un # j Œ‰ j œ œ œ œ œ œ. je - C m man - quer 3 jours jours ‰

QUI SAIT ? I Mon Dieu! Mon Dieu! Je vais donc écrire enfin ce qui m'est arrivé! Mais le pourrai-je? L'oserai-je? Cela est si bizarre, si inexplicable, si incompréhensible, si fou ! Si je n'étais sûr de ce que j'ai vu, sûr qu'il n'y a eu, dans mes raisonnements, aucune défaillance, aucune erreur dans mes constatations, pas de lacune dans la suite inflexible de mes observations, je me croirais un simple halluciné, le jouet d'une étrange vision. Après tout, qui sait ? Je suis aujourd'hui dans une maison