Je Ne Crois Que Ce Que Je Vois

Je voudrais commencer par poser une question. Qu’est-ce que l’Amour? Je crois qu’il y a plusieurs réponses possibles. Dans le livre «Le Banquet» Diotime nous présente une conception de l’Amour. Elle nous affirme que l’Amour est un mot intermédiaire. Il n’est ni beau ni laid, ni riche ni pauvre. Diotime mentionne que si une chose n’est pas belle, elle n’est pas nécessairement laide. Je crois que ce que Diotime essaie de nous faire comprendre, c’est que l’Amour peut être bien ou mal mais que l’Amour

Abstrait/surréalisme Lieu ou l’on peut trouver l’œuvre : Musée de Dali De Figueres II- Description de l’œuvre Cette œuvre représente des montres molles sur un paysage d’Espagne. Au premier plan je vois un bureau en bois sur lequel dégouline une montre. A cote de cette montre je vois une boussole qui se camoufle assez bien, elle est de couleur marron avec des décors sur sa façade. Sur le bureau, a gauche de cette première montre, il y a un arbre sans feuilles sur lequel est suspendue

pas, d'où vient ce mépris ? Il vie dans la souffrance Et toi dans l'ignorance Il ne connaît que la guerre N'entend que les bombes, que les cris Il se bat pour reprendre ses terres Reformer les frontières de son pays Tu les vois chaque jours mourir Et crois moi c'est loin d'être un conte N'oublie pas que tout le monde va mourir Et que tu devras rendre des comptes Pris avant qui ne soit trop tard Agis pour ton frère palestinien Soit musulman, accomplis ton devoir Montre lui que son

plaisir récent, Dans chaque lanterne une étoile, Un ami dans chaque passant. Chauves-souris disséminées, Mes tristesses s'en vont en l'air Se cacher par les cheminées. Noires, sur le couchant vert-clair. Le gaz s'allume aux étalages... Moi, je crois, au lieu du trottoir, Fouler sous mes pieds les nuages Ou les tapis de son boudoir. Car elle suit mes courses folles, Et le vent vient me caresser Avec le son de ses paroles Et le parfum de son baiser. Charles Cros -------------------------------------------------

rappelle toi nos coup de fil ,n’oublie pas notre coup de foudre . un mec ta vendu du reve mais moi c’était réél car la seule lune que je promet c’est notre lune de miel . toi tu ne coirs plus en nous , tu crois que l’amour se provoque, que tu l’aime,lui il s’toi tu ne coirs plus en nous , tu crois que l’amour se provoque, que tu l’aime,lui il s’en fou, avec moi cetait réciproque . je dois me faire a l’idée que nous 2 cest du passé . ne cherche plus ton reflet cest dans mon cœur qu’il est placé . besoin

L’avare de Molière Acte I Scène I Valère, Elise Valère Hé quoi ? charmante Elise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? Je vous vois soupirer, hélas ! au milieu de ma joie ! Est−ce du regret, dites−moi, de m'avoir fait heureux, et vous repentez−vous de cet engagement où mes feux ont pu vous contraindre ? Elise Non, Valère, je ne puis pas me repentir de tout ce que je fais pour

c’était avant qu’il ne la bouscule dans le dortoir. Lui, c’est Hardin, bad boy, sexy, tatoué, piercé, avec un « p… d’accent anglais ! » Il est grossier, provocateur et cruel, bref, il est le type le plus détestable que Tessa ait jamais croisé. Et pourtant, le jour où elle se retrouve seule avec lui, elle perd tout contrôle… Cet homme ingérable, au caractère sombre, la repousse sans cesse, mais il fait naître en elle une passion sans limites. Une passion qui, contre toute

tu l’as retrouvée tu es passé peut-être dix fois devant mais tu ne l’as pas reconnue pas reconnue 15 5 10 1. timonier : matelot chargé du service de veille sur un bateau. non parce qu’elle a fait comme toi ton île elle a vieilli eh oui vois-tu les fleurs deviennent des fruits et les fruits deviennent bois et le bois vert devient bois mort tout va très vite sous les tropiques et toi regarde-toi dans une glace idiot et dis-moi si elle t’a reconnu ton île quand tu es passé devant Michel

Toi Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon cœur Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi

lâche ? Sganarelle Eh oui, sa qualité ! La raison en est belle, et c'est par là qu'il s'empêcheroit des choses. Gusman Mais les saints noeuds du mariage le tiennent engagé. Sganarelle Eh ! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois−moi, quel homme est Dom Juan. Gusman Je ne sais pas, de vrai, quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de