Je Ne Sais Comment Je Dure

il faut tourner la page." "Ne me laisse pas partir vivre sans toi moi je ne suis rien, même si je te déçois reste avec moi." "Tu m'as rendu dépendante de toi. Voilà pourquoi je te déteste autant." "Arrête de rejeter les gens parce que tu sais qu'ils vont revenir vers toi, parce qu'un jour ils ne le feront plus." "Je ne savais plus quoi te dire pour t'empêcher de partir." "Je te pardonnerai jamais même si tu étais toute ma vie, si tu savais comme je t'aimais, je te voyais porter

pourtant j'hésite, j'hésite toujours ! Encore sous le choc d'avoir perdu mon père, avec encore la haine au ventre que j'éprouvais pour mon petit frère qui n'était pas présent lors de ce triste événement, je rentrai chez moi, à Bagneux, après ma dure journée à l'université. Il était près de vingt heure quand j'arrivai enfin. Il y avait ma mère, ma pauvre mère, allongée sur le canapé du salon. Elle n'était tout pas remise de cela. Matthew lui, n'était toujours pas rentré. Il arriva d'ailleurs beaucoup

MADEMOISELLE DE LESPINASSE. - Ny a-t-il rien lui faire BORDEU. - Rien. MADEMOISELLE DE LESPINASSE. - Tant mieux, car il dteste les remdes. BORDEU. - Et moi aussi. Qua-t-il mang souper MADEMOISELLE DE LESPINASSE. - Il na rien voulu prendre. Je ne sais o il avait pass la soire, mais il est revenu soucieux. BORDEU. - Cest un petit mouvement fbrile qui naura point de suite. MADEMOISELLE DE LESPINASSE. - En rentrant, il a pris sa robe de chambre, son bonnet de nuit, et sest jet dans son fauteuil o,

____________________________tu sais, il y a dans mon coeur ____________________________une histoire d'amour qui parle toi ____________________________qui fait résonner ton nom ____________________________partout à l'intérieur de moi Un instant de toi vaut toute les éternité Juste une envie.. Juste ses mains sur moi Juste un coeur qui bat Juste envie de TOI Chaque seconde sans toi, est une seconde de perdue. Et une seconde sans toi, c'est une éternitée Un , deux , toi . Tu vois ? Je ne sais compter que

tes bisous et je sais que tout sa est réciproque. C'est pas la première fois qu'on essaye de s'oublier, et rappelle toi chaque fois qu'on prononçait ces deux mots "Oublie moi." y en avait toujours un qui revenait vers l'autre et c'est sa qui faisait tout. Je ne retrouverais jamais une personne comme toi. Quelqu'un à qui parler sans peur, sans limites, qui me rassure et me protège. Tu me connais par cœur, il y a quelque chose d'inexplicable qui nous lie tous les deux. Et tu le sais en plus. Tu vois

où ils m’ont arrêtés, j’allais vous rejoindre. Dora : Nous t’attendions. Le temps passait et mon cœur se serrait de plus en plus. Nous n’osions plus nous regarder. Annenkov : Il a fallu changer d’appartement, une fois de plus. Stepan : Je sais. Dora : Et là-bas, Stepan ? Stepan : Là-bas ? Dora : Le bagne ? Stepan : On s’en évade. (16) Annenkov : Oui. Nous étions contents quand nous avons appris que tu avais pu regagner la Suisse. Stepan : La Suisse est un autre bagne, Boria

Que sais-tu de lui ? /3 …………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………. 3. A quel type de narrateur as-tu affaire ? Justifie ta réponse. /2 ………………………………………………………………………………………………………………………………………… 4. Où se passe l’histoire ? /2 …………………………………………………………………………………………………………………………………………. 5. Quand se déroule l’histoire ? /2 …………………………………………………………………………………………………………………………………………. 6. Combien de temps dure-t-elle

ainsi que j'ai appris a le connaitre ... Du sublime au ridicule il n'y a qu'un pas... =(C'est dure de voir les personnes que tu connais devenir des personnes de tu connaissais. De voir quelqu'un passé a coté de toi sans te parler en sachant qu'il a déjà été une grosse partie de ta vie. De savoir que tu pouvais lui parler pendant des heures et que maintenant tu oses à peine le regarder. En faites, c'est dure de voir a quelle point les choses peuvent changer.Je vis dans une illusion, plongé au coeur

stociens) elles troublent mon esprit. Elles empchent lexercice de ma raison, qui ne sait plus distinguer quels sont les dsirs possibles raliser et qui correspondent un vrai besoin du corps. Elles favorisent la cration de dsirs substitus, o je ne sais plus lesquels sont miens et lesquels sont produits par la socit. Or il est facile de comprendre (cf Freud) que si je passe mon temps raliser des dsirs qui ne me sont pas propres, je nen ressors pas satisfait, je ny trouve pas vraiment de plaisir,

pas avec qui. La solitude qui donne l'impression d'être handicapé, d'avoir une jambe en moins, d'être lépreux. La solitude qui paralyse, qui aspire, qui nous kidnappe, qui nous rend la tâche de remonter vers le monde, vers les gens, vers la vie, plus dure que jamais. Je t'interdis de me regarder comme ça, de croire que tu peux te moquer de moi ou croire que je suis seulement à ta disposition. Tu crois sans doute que je serais toujours là, que t'auras l'occasion de revenir quand bon te