Je Ne Sais Pas Pourquoi De Verlaine

quelques exemple littéraires qui ne sont pas en rapport avec l'histoire. Exemples de poèmes: Paul Verlaine (1844-1894) a notamment écris ces vers: "J'ai fait ce rêve étrange et pénétrant, D'une femme inconnue et que j'aime et qui m'aime, Et qui n'est chaque fois ni tout à fait la même, Ni tout à fait autre, et qui m'aime et me comprend" Mais attention, d'autres vers de Verlaine ont été utilisés pour un contexte historique, lors du débarquement des alliés à la Seconde guerre mondiale:

Ils le vont caresser, bien qu’ils crèvent de rage : S’il le reçoit mauvais5, ils le montrent au doigt. Mais ce qui plus contre eux quelquefois me dépite6, C’est quand devant le roi, d’un visage hypocrite, Ils se prennent à rire, et ne savent pourquoi. 1 Seigneur : apostrophe conventionnelle en début de sonnet ; Du Bellay adresse son poème à un puissant. 2 Contrefaire : imiter l’allure des princes quand ils marchent. 3 Appareil : d’un vêtement digne d’un cérémonial magnifique. 4 Si quelqu’un

pas au-dessous d'Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson. - Tu la troubles, reprit cette bête cruelle, Et je sais que de moi tu médis l'an passé. - Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ? Reprit l'agneau ; je tette encor ma mère -Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.

Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil… », sonnet 150, Les Regrets, 1558 (orthographe modernisée) Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, livre I, 6, 1668 Texte C : Paul Verlaine, « L'enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte D : Arthur Rimbaud : « A la musique », Poésies, 1870 12FRESEAME-LRM1 Page 3 sur 8 TEXTE A : Joachim Du Bellay, « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil… », sonnet 150, Les Regrets, 1558

« L’Arlésienne » de Vincent Van Gogh (1888) Les Huit Textes : _ « La Chevelure » de Charles Baudelaire (1857) _ Extrait de «La Femme de trente ans », Chapitre 1 (1831) de Honoré de Balzac. _ « Mon rêve familier » , Poèmes saturniens (1866) de Paul Verlaine. _ « Hymne à la Beauté », Extrait des Fleurs du Mal (1857 – 1861) de Charles Baudelaire. _ « La Maline » (1870) de Arthur Rimbaud _ « Le Front » (1536) de Maurice Scève, 1536 _ « Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés » (1555) de Louise LABÉ

l’auteur : Verlaine Paul (1844-1896) *Référence bibliographique complète  Date de parution : 1936 Titre : SAGESSE - J’avais peiné comme Sisyphe Edition : Albert MESSEIN Editeur Lieu d’édition : Paris *Résumé/Synthèse : J’avais peiné comme Sisyphe Et comme Hercule travaillé Contre la chair qui se rebiffe. J’avais lutté, j’avais baillé Des coups à trancher des montagnes, Et comme Achille ferraillé. Farouche ami qui m’accompagnes, Tu le sais, courage païen

ressemble……………………………………….7 Paul-Jean TOULET…………………………………………………………………………………………8 Toute allegresse a son defaut………………………………………………………………….9 Paul FORT…………………………………………………………………………………………………...10 Ronde autour du monde…………………………………………….………………………..11 Paul VERLAINE……………………………………………………………………………………………12 Il pleure dans mon cœur………………………………………………………………….……13 Victor HUGO………………………………………………………………………………………………..14 Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange… » Les Misérables…………15 Charles BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………

corps jeté dans la lumière. Je pars nous mettre à l’abri de ce temps. Je donne ton sourire à une bouche d’or, Je laisse tes cheveux recoudre l’infini, J’attache à ton désir un désir absolu, J’appelle de ton nom le chant des solitudes. Il y a je le sais des traces sur le vide, Des blessures qui dessinent le chaos de mon cœur. Je suis au labyrinthe où je me suis perdu, En rêvant de me perdre sans retour avec toi. Je te veux dans mes bras comme au ciel, Je te veux à tous les échos essoufflés, Je te

Vous n’avez sans doute pas l’habitude de fréquenter les recueils poétiques des siècles passés, c’est pourquoi j’ai sélectionnée quelques pièces, connues ou parfois oubliées, mais toutes, vibrantes et émouvantes. Ce recueil se compose de cinq poèmes d’auteurs et d’époques différentes, qui a donc mené, d’une manière spécifique à chacun, l’écriture de ces poésies. Si nous parlions de l’époque des poètes, nous remarquerions la présence de dates communes entre certains, Arthur Rimbaud (1854-1891)

Le Héron, la Fille [pic] Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où, Le Héron au long bec emmanché d'un long cou. Il côtoyait une rivière. L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ; Ma commère la carpe y faisait mille tours Avec le brochet son compère. Le Héron en eût fait aisément son profit : Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à prendre ; Mais il crut mieux faire d'attendre Qu'il eût un peu plus d'appétit. Il vivait de régime, et mangeait à ses heures