Je Suis Jean Valjean

 Resume Libéré après vingt ans de bagne , Jean Valjean est arrêté pour le vol de chandeliers chez un évêque.L'ecclésiastique déclare lui avoir donné ces objets.Jean Valjean décide de ne plus faire que le bien.Au cours de son périple il rencontre une famille d'aubergistes qui ont recueilli la petite Cosette. Fille, d'une mère célibataire malade qui avait confié son enfant en attendant des jours meilleurs.Les Ténardiers, se servent de Cosette comme "bonne à tout faire" dans des conditions déplorables

envoyée au couvent des Augustines. C'est cet événement qui, selon Sainte-Beuve, conduit Victor Hugo à se retirer chez lui[2] et à entreprendre une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849). Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de La Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables

son arrestation par Javert, Jean Valjean était parvenu à s'évader. Mais il a été repris. Il a été condamné aux travaux forcés à perpétuité et se retrouve au bagne de Toulon. Lors d'un accident sur un vaisseau de guerre rentré au port de Toulon, il sauve la vie d'un marin, ce qui lui vaut le soutien de la foule qui réclame sa grâce. il se jette à la mer et parvient à s'échapper en nageant sous le bateau. Personne ne retrouvant son corps, on le croira mort. Jean Valjean recueille Cosette Ayant retrouvé

contre Jean Valjean. Il est allé vivre chez son ami Courfeyrac. Il semble peu concerné par cette effervescence politique qui règne à Paris. Une nouvelle fois le jeune avocat a perdu la trace de Cosette. Il passe beaucoup de temps à songer à la jeune fille et ses promenades songeuses le ramènent régulièrement dans les faubourgs de la ville, au lieu-dit "Le Champ de l'Alouette"; lieu-dit dont le nom ressemble à celui qu'évoquait Thénardier lorsqu'il préparait le guet-apens contre Jean Valjean. Eponine

Victor Hugo s'inspire des figures de son époque pour camper ses personnages. Les Mémoires de Vidocq, parues en 1828, qui inspirèrent à Balzac le personnage de Vautrin, semble se retrouver en partie dans les deux personnages antagonistes que sont Jean Valjean et Javert. Le premier correspond à Vidocq l'ancien forcat et le second à Vidocq, chef de sûreté de la préfecture de police. C'est, du moins, une observation faite par de nombreuses études[15],[16],[17]. Cependant, Victor Hugo ne reconnaîtra jamais

la vie de Jean Valjean, du retour du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent des personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la miséres de ce siécle, misérables eux-même ou proche de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier ( dont Eponine et Gavroche ) ainsi que le représentant de le loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Jean Valjean, ayant purgé

On peut donc se demander comment Victor Hugo à travers le portrait de Jean Valjean nous fait ressentir l’horreur engendrée par la misère dans ce texte ? Ainsi, nous verrons dans un premier temps en quoi le portrait donne une indication sur la misère ; puis nous étudierons la situation misérable du personnage.Au commencement de ce texte, l’auteur décrit celui qui sera Jean Valjean de manière bien spécifique à travers la narration. Ce passage l’introduit et la suite fera de

le dialogue. Dans un deuxième temps, Victor Hugo présente une scène surnaturelle. Tout d'abord, dans cet extrait le premier contact entre Jean Valjean et Cosette s'établit rapidement . Le passage du vouvoiement au tutoiement, on le voit grâce a « donnez »,L6  et « Quel age-as tu ? » L9 . Le héros se sent rapidement proche de la fillette. Jean Valjean joue un rôle de protecteur dès le début de leur relation, son ton est même paternel . On le voit grâce a « Petite » et « Mon enfant » Ce sont des

nous sommes réunis en ce jour du 20 mars 1795 à Faverolles afin de débattre sur le procès de mon client, Monsieur Jean Valjean pour avoir volé du pain dans la Boulangerie de Monsieur Isabeau. Monsieur Jean Valjean est âgé de 25 ans, orphelin en très bas âge, il a été élevé par sa sœur. Aujourd'hui, celle-ci a perdu son mari et se retrouve seule avec 7 enfants. Jean Valjean malgré sa jeunesse se doit de l'aider et subvenir aux besoins de sa famille. Oui, mon client a bien volé du pain

autour de Jean Valjean, ancien forçat, depuis sa sortie de prison en 1815 jusqu'à sa mort, en 1833. L’extrait auquel nous nous intéressons fait partie du chapitre 3 du livre VII de la 1ère partie, chapitre surnommée par Victor Hugo «  Tempête sous un crâne ». PB : « Nous nous demanderons si cette appellation est justifiée. » Annonce des axes I) Le dilemme et l’état d’esprit de Jean Valjean II) Les arguments III) Le paradoxe final Etude I) Le dilemme et l’état d’esprit de Jean Valjean