Je Suis Venu Calme Orphelin

toisant d’un petit air de tête, s’éclaircissant la voix il vous eût froidement demandé à quelle confession vous apparteniez. Et à votre tour vous eussiez rougi, regardé les marronniers du soir et parlé de Sedan. Ce n’est d’ailleurs pas Sedan qui serait venu sur vos lèvres : vous êtes dans cette classe trois ou six mois avant Sedan, avant que Sedan ne soit ce poing fermé dans l’histoire, quand ça n’est encore qu’une garnison des Ardennes; vous auriez parlé de Solferino ou de Sébastopol, une quelconque

promenade. Il était midi moins un quart. Quelque matinale que fût cette heure, plusieurs femmes, qui toutes avaient voulu se montrer en toilette, revenaient du château, non sans retourner la tête d’un air boudeur, comme si elles se repentaient d’être venues trop tard pour jouir d’un spectacle désiré. Quelques mots échappés à la mauvaise humeur de ces belles promeneuses désappointées et saisis au vol par la jolie inconnue, l’avaient singulièrement inquiétée. Le vieillard épiait d’un œil plus curieux que

promenade. Il était midi moins un quart. Quelque matinale que fût cette heure, plusieurs femmes, qui toutes avaient voulu se montrer en toilette, revenaient du château, non sans retourner la tête d’un air boudeur, comme si elles se repentaient d’être venues trop tard pour jouir d’un spectacle désiré. Quelques mots échappés à la mauvaise humeur de ces belles promeneuses désappointées et saisis au vol par la jolie inconnue, l’avaient singulièrement inquiétée. Le vieillard épiait d’un œil plus curieux que

Elvire, Près de l'époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. XVI – CHÂTIMENT DE L’ORGUEIL En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d'énergie, On raconte qu'un jour un docteur des plus grands, - Après

Il fait suite au mouvement littéraire baroque, majoritaire dans la première moitié de ce siècle. Le baroque, c'est  l'imagination, la fantaisie, l'invention, l’apparence et la recherche des contrastes. Le classicisme, en opposition au baroque est venu pallier ce manque évident de règles claires et précises. Les thèmes respectés à cette époque sont : la séparation des genres, le respect des règles (règles des trois unités, vraisemblance et bienséance), l’équilibre, l’ordre, la simplicité et le naturel

Elvire, Près de l’époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. – 32 – XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus

Elvire, Près de l’époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus grands, – Après

Elvire, Près de l’époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. – 32 – XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus grands

par des textes de comédie parlée. De la même façon, le mélodrame, autre foyer d’attraction du public ordinaire est, d’après Diderot, issu des évolutions de la comédie et tragédie. On peut y voir représentés, des personnages types tels que l’enfant orphelin ou victime, la mère perdue et persécutée, le traitre puni, le niais divertissant ainsi que des révélations et reconnaissances finales qui assurent le triomphe de la stabilité sociale. Le drame romantique connaît une très courte existence scénique

Elvire, Près de l‘époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir.  Châtiment de l‘Orgueil En ces temps merveilleux où la éologie Fleurit avec le plus de sève et d‘énergie, On raconte qu‘un jour un docteur des plus grands, - Après