Je Veux Mourir Pour Tes Beautés Maîtresse

reine Catherine de Médicis pour sa protégée, Hélène de Surgères, afin de consoler cette dernière de la perte de son amant à la guerre. Ronsard, qui était bien plus âgé que la jeune femme, a entrepris de lui écrire un recueil de sonnets où il loue sa beauté et la compare avec la belle Hélène, héroïne de la guerre de Troie. Quand vous serez bien vieille Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant :  Ronsard

elle devient maîtresse de son Destin ; en tragédie la parole vaut acte et ici la PDC scelle le Destin des personnages en avouant.Elle insiste sur le fait que -sa démarche est celle d'une femme innocente (se déculpabilise) après la conj de coordinat° d’opposition « MAIS » :« l'innocence de ma conduite et de mes intentions » + Champ lexical de la vertu : « innocence ; force ; nulle faiblesse ; digne, amitié, estime… »,« Il est vrai que j'ai des raisons de m'éloigner de la cour et que je veux éviter les

mon sang, Avant que je m'abaisse à démentir mon rang. Je te répondrais bien que dans les belles âmes Le seul mérite a droit de produire des flammes ; Et si ma passion cherchait à s'excuser Mille exemples fameux pourraient l'autoriser : Mais je n'en veux point suivre où ma gloire s'engage ; La surprise des sens n'abat point mon courage ; SCENE II 7 Le Cid Et je me dis toujours qu'étant fille de roi Tout autre qu'un monarque est indigne de moi. Quand je vis que mon coeur ne se pouvait défendre

sur l’excellent goût de sa toilette, sur la blancheur de sa main, sur la beauté de son bras, sur la disinvoltura de tous ses mouvements, qu’il se trouvait amoureux.” Et après une cour compliquée et pleine de défiance mutuelle, la froide Mathilde de la Mole lui cède à son tour, en l’implorant de la manière la plus abandonnée pour elle : “Ah ! Pardon, mon ami, ajouta-telle en se jetant à ses genoux, méprise-moi si tu veux, mais aime-moi, je ne puis plus vivre privée de ton amour. Et elle tomba tout

mienne. Lorsque je lus la citation du poète Rilke “Le beau est le premier degré du terrible”, une fois de plus je ne me senti inférieur, me plaçant à ses pieds, ne pouvant supporter une minute de plus d’être un infime homme devant cette beauté divine, ma beauté divine, qui serait si l’on en croit le poète autrichien, monstrueuse… Derrière chaque poème, le cœur d’un être humain, d’un séducteur, d’une séductrice bats, un homme qui éprouve un amour, partagé ou non. Et chaque histoire n’est-elle

pris plaisir à placer ce qu'elle donne de plus beau, dans les plus grandes princesses et dans les plus grands princes. Madame Élisabeth de France, qui fut depuis reine d'Espagne, commençait à faire paraître un esprit surprenant et cette incomparable beauté qui lui a été si funeste. Marie Stuart, reine d'Écosse, qui venait d'épouser monsieur le dauphin, et qu'on appelait la reine Dauphine, était une personne parfaite pour l'esprit et pour le corps : elle avait été élevée à la cour de France, elle en

où le prince relate à la princesse l’histoire de Mme de Tournon. Il lui raconte ce qu’il conseille à son ami Sancerre, effondré par la découverte des tromperies de sa maîtresse :  “Je vous donne, lui dis-je, le conseil que je prendrais pour moi-même; car la sincérité me touche d’une telle sorte que je crois que si ma maîtresse, et même ma femme, m’avouait que quelqu’un lui plût, j’en serais affligé sans en être aigri. Je quitterais le personnage d’amant ou de mari, pour la conseiller et pour

rechercher dans le prolétariat – c'est là qu'il est un romantique et non quelqu'un ayant le même parcours que Karl Marx (né en 1818, Charles Baudelaire étant né en 1821). Charles Baudelaire explique ainsi que : « Le beau est toujours bizarre. Je ne veux pas dire qu'il soit volontairement, froidement bizarre, car dans ce cas il serait un monstre sorti des rails de la vie. Je dis qu'il contient toujours un peu de bizarrerie, de bizarrerie non voulue, inconsciente, et que c'est cette bizarrerie qui le

faire, l'a priée de repasser un autre jour. GIOMO. Et alors, qu'a fait le duc? LE HONGROIS. Et alors, pour ne pas avoir perdu tout à fait notre temps, il s'est décidé, se trouvant tout porté, à faire une visite à la Térésa Sacchetti, son ancienne maîtresse, et, sans doute pour donner plus de piquant à l'aventure, il m'a fait jeter l'échelle de cordes, sans laquelle nous ne marchons jamais, sur le mur de son jardin, et il est entré par escalade, ni plus ni moins qu'un Florentin du temps de Buondelmonte

ouverte. Pléiade = roman Le personnage de Meursault quelque innocent voire christique ou qu’il soit : résiste à l’interprétation. On le garde pour la fin. Nommons les personnages secondaires un souteneur= condamnes a voir les personnages par les veux de Meursault, nous avons du mal à nous faire une opinion de ses amis. Nous ne savons pas si Raymond fait appel à Meursault p. 51, ligne 21 parce qu'il n’est pas, comme il le dit, « capable de faire la lettre » ou parce qui ne veut pas se compromettre