Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

leurs morts. Beaucoup d'éléments au niveau des personnages peuvent nous laisser repenser aux personnages de Roméo et Juliette. Dona Sol est une jeune femme noble, décrite dans la pièce comme une femme au yeux noirs et d’une beauté qualifiée de « venus » (V,1). Sa beauté va la mener, au tout début de la pièce, à devoir épouser Don Ruy Gomez de Silva, qui n'est autre que son oncle, bien plus âgé qu'elle. Son caractère pourrait faire d'elle une jeune innocente, mais c'est là bien le contraire : elle

poèmes qui paraissent le mieux incarner l'idéal selon moi sont '' Hymne à la beauté '' (poème XXI) ou l'auteur fait un éloge de la beauté. Il s'interroge sur la beauté : il ne sait pas si elle est du côté du bien ou du mal et se questionne sur son origine et lui attribue des bienfaits agréables car il échappe au Temps, à l'ennui et au spleen. La Beauté exerce alors un rôle de consolatrice. Personnellement je pense que la beauté est du côté du bien car quand nous voyons quelque chose de beau nous ressentons

l’on tombe en “profonde depression”. Phrases: -La vie c’est le regret de la naissance. -La vie c’est un mystere ou se cache la joie,la beaute,l’amour,la gaiete mais surtout le regret. -Le talent c’est ce qu’il reste apres avoir tout perdu. -Le temps s’ecoule a la maniere don’t le sang circule dans nos veines. -Le desire de vivre vient de la peur de mourir. -L’imagination n’est que le fruit de l’irealite et le desire du reel. -Tout moment peut etre le dernier mais aucun ne pourra etre le premier

augmente sensiblement en temps de guerre. * Si vous arrivez en retard, dites : "C'est que je ne suis pas le premier venu !". * J'ouvre une parenthèse. Si vous avez un peu trop d'air, je la refermerai tout de suite. * Partir, c'est mourir un peu, mais mourir, c'est partir beaucoup. * L'Angleterre, c'est un pays extraordinaire. Tandis qu'en France nous donnons à nos rues des noms de victoires : Wagram, Austerlitz..., là-bas on leur colle des noms de défaites : Trafalgar Square, Waterloo Place

8, extrait, 1937 Annexe : D. Diderot, Paradoxe sur le comédien, 1773 TEXTE 1 – Pierre Corneille, Horace, acte IV, scène 5, extrait, 1640 Camille, romaine et sœur d’Horace, aime Curiace qui vient de mourir de la main d’Horace. CAMILLE Donne-moi donc, barbare, un cœur comme le tien ; Et si tu veux enfin que je t’ouvre mon âme, Rends-moi mon Curiace, ou laisse agir ma flamme : Ma joie et mes douleurs dépendaient de son sort ; 5 Je l’adorais vivant, et je le pleure mort. Ne cherche plus ta sœur où

plus durs, qui finissent par participer à la beauté de l’œuvre. Purement consonante, l’œuvre nous ennuie. Purement dissonante, elle nous casse les oreilles. La beauté résulte de l’harmonie qui réconcilie les deux, comme la sagesse réconcilie bonheur et malheur. Si nous écoutons le Requiem de Mozart, nous faisons face au malheur de la mort, puisqu’il s’agit d’une messe d’enterrement (Requiem = repos éternel), mais nous jouissons pourtant de la beauté, nous éprouvons le bonheur dans l’œuvre. La

d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes, Belle, sans ornement, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil. Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence, Les ombres, les flambeaux, les cris et le silence, Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Relevaient de ses yeux les timides douceurs. Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue

le poète voyait l'un des principes de la modernité, en associant un dessin à des mots, donc à des harmonies sonores. Lecture   La cravate douloureuse que tu portes et qui t'orne, o civilisé, Ote-la si tu veux respirer.   Comme l'on s'amuse bien ! Tircis, la beauté de la vie Passe la peur de mourir. Mon cœur, les yeux, l'enfant, Agla, la main, L'infini redressé par un fou philosophe Les Muses aux portes de ton corps Le bel inconnu Et le vers dantesque luisant et cadavérique. Les heures, semaine. Il

Dés 1887, certains artistes publient ,dans le journal "Le Temps,une lettre ouverte adressée a Monsieur Alphand,Directeur général des travaux de l’exposition. « Nous venons, écrivains, peintres, sculpteurs, architectes, amateurs passionnés de la beauté jusqu’ici intacte de Paris, protester de toutes nos forces, de toute notre indignation, au nom du goût français méconnu, au nom de l’art et de l’histoire française menacés, contre l’érection, en plein cœur de notre capitale, de l’inutile et monstrueuse

face, Qui en leur beau toutes beautés efface, Je la cuidais au soleil comparer.S’il fait