Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

insuffisance. 3 Scène I Vérone. Une place publique. Entrent Samson et Grégoire, armés d’épées et de boucliers. SAMSON Grégoire, sur ma parole, nous ne supporterons pas leurs brocards. GRÉGOIRE Non, nous ne sommes pas gens à porter le brocart. SAMSON Je veux dire que, s’ils nous mettent en colère, nous allongeons le couteau. GRÉGOIRE Oui, mais prends garde qu’on ne t’allonge le cou tôt ou tard. SAMSON Je frappe vite quand on m’émeut. GRÉGOIRE Mais tu es lent à t’émouvoir. SAMSON Un chien de la maison de

navire élançant :Je pense être échappé quand je suis périssant, Et quand j'ai tout perdu, je chante ma conquête.De ce qui plus me plait, je reçois déplaisir ;Voulant trouver mon cœur, j'égare mon désir ;J'adore une beauté qui m'est toute contraire ;Je m'empêtre aux filets dont je me veux garder :Et voyant en mon mal ce qui me peut aider,Las! je l'approuve assez, mais je ne le puis faire. Philippe DESPORTES 2) D'un sommeil plus tranquille à mes Amours rêvant: D'un sommeil plus tranquille

PREMIERE Vérone. - Une place publique. Entrent Samson et Grégoire, armés d'épées et de boucliers. SAMSON. - Grégoire, sur ma parole, nous ne supporterons pas leurs brocards. GRÉGOIRE. - Non, nous ne sommes pas gens à porter le brocart. SAMSON. - Je veux dire que, s'ils nous mettent en colère, nous allongeons le couteau. GRÉGOIRE. - Oui, mais prends garde qu'on ne t'allonge le cou tôt ou tard. SAMSON. - Je frappe vite quand on m'émeut. GRÉGOIRE. - Mais tu es lent à t'émouvoir. SAMSON. - Un chien de

Chère Antigone, Mes sanglots coulent chaudement sur mes joues au moment que je t’écris ces lignes . Je ne te laisserais pas mourir. Comment peux-tu avoir le courage de me laisser seul ? Le monde me paraîtra si lugubre et triste. Ma belle, tu as une grande place dans mon cœur et je ne pourrai jamais supporter de ne pas avoir tout fait pour te faire revenir à la raison. Pense à tout ce qu'on peut faire ensemble, à notre enfant, qui naîtra de notre amour, quel profond sentiment de joie, n'est-ce

COELIO. – J'ai un service à te demander. OCTAVE. – Parle, Cœlio, mon cher enfant. Veux-tu de l'argent ? Je n'en ai plus. Veux-tu des conseils ? Je suis ivre. veux-tu mon épée ? voilà une batte d'arlequin. Parle, parle, dispose de moi. COELIO. – Combien de temps cela durera-t-il ? Huit jours hors de chez toi ! Tu te tueras, Octave. OCTAVE. – Jamais de ma propre main, mon ami, jamais; j'aimerais mieux mourir que d'attenter à mes jours. COELIO. – Et n'est-ce pas un suicide comme un autre que la

en pensent que lui ne devait pas mourir mais les autres si , ce comdamné devait représenté tout ces autres , inocent ou coupable , la peine de mort pour l'auteur est un acte abominable comme le démontre cette extrait (page 64 de l'edition librio) :"le nom de cette chose est effroyable [...] plus sinistre [...]monstrueuse charpente " . la culture du jeune homme et sa beauté contraste a celle des prisionier qui approuve le fait que cette homme ne devrait pas mourir . l'auteur nous plonge dans sa toumante

 quelqu'un  des  miens  qu'il  veuille  encor  séduire  ?   Qu'il  joigne  à  ses  efforts  le  secours  des  enfers  ;   Je  suis  maître  de  moi  comme  de  l'univers  ;   Je  le  suis,  je  veux  l'être.  Ô  siècles,  ô  mémoire  !   Conservez  à  jamais  ma  dernière  victoire  !   Je  triomphe  aujourd'hui  du  plus  juste  courroux   De  qui  le  souvenir  puisse  aller  jusqu'à  vous

Philis, demandez aux campagnes, Aux humbles vallons, aux côteaux, A ces orgueilleuses montagnes, A ces forêts, à ces ruisseaux. Ce sont là tous mes secrétaires : Mais je peux vraiment vous jurer, Qu'ils ne savent pas les affaires Que je veux moi-même ignorer. Et toutefois je viens d'apprendre Que vous m'appelez indiscret, Et que vous dites que Silvandre Ignore les lois du secret. Nous n'avons eu pour témoignage De nos saints et chastes amours, Que les buissons de ces bocages

Tu es celle que j'ai toujours recherché Celle que mon cœur a toujours désiré La lumière comme dans le noir je me perds Graver le temps Toujours ensemble EternellementJ'ai fais mon choix Il ne reste que toi Déclarer ma flamme Ne suffirais pas Je veux te montrer tout c'qu'il y a en moi Tu as bouleversé Toute mon existence Je n' peux pas demeurer dans le silence Quand je te verrai Il me faudra trouver la force De te dire tout ça ... {au Refrain}Prends le même chemin que moi Jamais se séparer Vieillir

insuffisance. les –6– ACTE PREMIER –7– SCÈNE PREMIÈRE Vérone. – Une place publique. Entrent Samson et Grégoire, armés d'épées et de boucliers. Samson. – Grégoire, sur ma parole, nous ne supporterons pas leurs brocards. cart. Samson. – Je veux dire que, s'ils nous mettent en colère, nous allongeons le couteau. Grégoire. – Oui, mais prends garde qu'on ne t'allonge le cou tôt ou tard. Samson. – Je frappe vite quand on m'émeut. Grégoire. – Mais tu es lent à t'émouvoir. Samson. – Un chien de