Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

que toute chose au monde : il vous faut mourir pour réparer votre faute. Je ne vous donne qu’un quart d’heure pour demander pardon à Dieu. » Le marchand se jeta à genoux et dit à la Bête, en joignant les mains : « Monseigneur, pardonnez-moi, je ne croyais pas vous offenser en cueillant une rose pour une de mes filles, qui m’en avait demandé. – Je ne m’appelle point Monseigneur, répondit le monstre, mais la Bête. Je n’aime pas les compliments, moi, je veux qu’on dise ce qu’on pense ; ainsi ne croyez

THEATRE ET REPRESENTATION Etude d'une œuvre complète : Don Juan de Molière Les 4 extraits sont étudiés en lectures méthodiques. - Acte I scène 2, "Quoi tu veux qu'on se lie ... et vous parlez tout comme un livre." - Acte III scène 1, "Mais laissons-là la médecine" jusqu'à la fin de la scène. - Acte III scène 2 - Acte V scènes 5 et 6 Etude comparative de quelques mises en scène de Don Juan - Bluwal (la réalisation de Bluwal est visible sur YouTube), Mesguich, Lassalle, etc. - Réflexions sur quelques

que toute chose au monde : il vous faut mourir pour réparer votre faute. Je ne vous donne qu'un quart d'heure pour demander pardon à Dieu. » Le marchand se jeta à genoux et dit à la Bête, en joignant les mains : « Monseigneur, pardonnez-moi, je ne croyais pas vous offenser en cueillant une rose pour une de mes filles, qui m'en avait demandé. – Je ne m'appelle point Monseigneur, répondit le monstre, mais la Bête. Je n'aime pas les compliments, moi, je veux qu'on dise ce qu'on pense ; ainsi ne croyez

ma maîtresse ? Ô grand beauté remplie de soucis, Ô grand beauté pleine de grand liesse ! Ô douce, belle, honnête cruauté, Qui doucement me contraint de te suivre, Ô fière, ingrate, et fâcheuse beauté, Avecque toi je veux mourir et vivre. Amourette Marie, à tous les coups vous me venez reprendre Que je suis trop léger, et me dites toujours, Quand je vous veux baiser, que j'aille à ma Cassandre, Et toujours m'appelez inconstant en amours. Je le veux être aussi, les hommes sont

qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Joachim du Bellay Joachim du Bellay est né vers 1522 à Liré en Anjou, et est mort en 1560, à Paris.il fut l un des principaux fondateur de la pléiade. Un des plus célèbres poèmes de Joachim du Bellay Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau

montrant : − Pauline, belle image de ma vie, disons−nous adieu, dit−il. − Adieu ? répéta−t−elle d'un air surpris. − Oui. Ceci est un talisman qui accomplit mes désirs, et représente ma vie. Vois ce qu'il m'en reste. Si tu me regardes encore, je vais mourir... La jeune fille crut Valentin devenu fou, elle prit le talisman, et alla chercher la lampe. Eclairée par la lueur vacillante qui se projetait également sur Raphaël et sur le talisman, elle examina très attentivement et le visage de son amant

plus célèbre écrivain et compositeur français du XIVe siècle Dans ce poème, l’auteur déclare son amour a sa bien-aimée . douce dame, que j’aime tant et désire de sorte que jour et nuit je ne pense ailleurs je ne veux pas vous prier ni requérir que vous m accordiez la grâce ni votre amour ni rien qui puisse alléger ma douleur à part sans plus que vous daigniez savoir que je vous aime de cœur, sans décevoir (sans tromperie) car je ne pourrai nullement arriver

belles,Ne sont plus que des cailloux ;Et, dans les charmilles vertes,Les roses dorment debout,Et sont des bouches ouvertesPour ne rien dire du tout.Tout objet qui charme ou rêveTient des femmes sa clarté ;La perle blanche, sans Ève,Sans toi, ma fière beauté,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit,N'est plus que la maladieD'une bête dans la nuit. Victor Hugo (1802-1885), extrait de « Les Contemplations », 1856 Invitation au voyage Mon enfant, ma soeur,Songe à la douceurD'aller là-bas

que la vie c'est comme ma télé, c'est mieux en couleur. Je veux revenir à l'époque où mon seule soucis était de savoir de quelle couleur j'allais colorier mon dessin. Je suis toujours, malgré moi, la petite fille niaise qui souris lorsque le prince charmant embrasse la princesse. Je suis un être paradoxal, je déteste la sensation d'être un pion sur un échequier mais j'aime laisser le destin jouer. Si un jour je devait mourir sans te dire je t'aime, alors pour moi le paradis serait l'enfer

peut être produite soit par son physique ou par sa personnalité. C' est justement ce qui m'est arrivé lorsque j'étais au lycée avec une de mes camarades de classe. Elle s'appelait Samira. Personne ne pouvait nier sa beauté angélique. Elle n'avait rien à envier aux reines de la beauté. Elle était d'une taille moyenne, ses cheveux dorés encadraient son petit visage rond. Son minuscule front, à peine visible, était recouvert d'une frange tombant sur des sourcils relativement épais, et d'une courbe presque