Je veux

plus sortir du vide noir qu’il y a dans tes Yeux. Etre avec toi c’est comme sauté en parachute. Je ne te mens pas au contraire je te dis tout ce que je pense, tout ce que je ressens au fond de moi. Je ne veux pas que tu me quitte, si tu t’en vas je m’étoufferai et je mourrai lentement. Je veux tout partager avec toi tant qu’il nous reste des secondes à vivre ensemble… Nous n’avons qu’une seule vie. Je suis pressée de vivre avec toi, de faire ce que font les couple, d’avoir une famille avec toi,

se vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ? CRÉON, hausse les épaules. − Tu es folle, tais-toi. ANTIGONE. − Non, je ne me tairai pas! Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Tout de suite, puisque c'est tout de suite qu'il faut choisir. Vous dites que c'est si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre. CRÉON. − Tu aimes Hémon ? ANTIGONE. −  Oui, j'aime Hémon. J'aime un Hémon dur et jeune; un Hémon exigeant et fidèle, comme

vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ? CREON, hausse les épaules. : - Tu es folle, tais-toi. ANTIGONE : - Non, je ne me tairai pas ! Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Tout de suite, puisque c'est tout de suite qu'il faut choisir. Vous dites que c'est si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre. CREON : - Tu aimes Hémon ? ANTIGONE : - Oui, j'aime Hémon. J'aime un Hémon dur et jeune ; un Hémon exigeant et fidèle,

Je me permets de vous écrire cet article pour répondre au procès de 20 août 1857, en ce qui concerne mon recueil Fleurs du Mal. Je veux tout d'abord répondre à l’E. Pinard (procureur général) qui accuse ma poésie de manquer « au sens de la pudeur », de multiplier « les peintures lascives ». En effet, ces arguments qui ne sont pas convaincantes lesquelles disent que mon livre est condamné pour «délit d’outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs », à cause de «passages ou expressions obscènes

son frère (elle va se marier avec Hémon). Mais Antigone se rétracte aussitôt, par fierté et par principe. « Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte... Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et de me contenter d'un petit morceau, si j'ai été bien sage. » Créon est à court d'arguments et devant l'emportement grandissant de sa nièce qui menace d'ébruiter l'affaire, il cède... «

sur le seuil de ma maison. _ Entrez; venez vous installer au salon. Dans la cheminée, pétille un bon feu de bois qui nous replonge tous les deux 10ans en arrière quand il venait se réchauffer à la flamme.Nous sommes aussi émus l'un que l'autre. Je veux tout savoir. Comment, pourquoi? Nous nous asseyons et Werner parle. _ J'ai survécu aux conditions difficiles du front russe. Il reste très pudique sur cet épisode. Je suis heureux d'être libéré et de pouvoir venir en France. J'attendais ce moment

notre privilège - ce qui nous distingue du profane qui n’a pas franchi la porte du temple … je veux parler du plaisir que nous ressentons et qui se dégage de nos personnes lorsque nous nous retrouvons pour partager LA Connaissance. Alors ? ! ? Alors, ce plaisir … ce plaisir d’être là … en harmonie avec ce lieu, en synergie avec vous … en communion entre nous … je ne veux pas m’en priver et je ne veux surtout pas NOUS en priver ! ! ! Ce sentiment est tellement ancré en moi que je ressens comme

P17 : Alors c’est 10 ans de mariage ne valait rien à tes yeux ? P18 : Je ne sais pas ce qu’il ma prit. P19 : Moi si je le sais, tu n’as pas pu garder ta ceinture fermé. P20 : Vas-tu m’en vouloir? Ou même demandé le divorce? P21 : Je veux tout savoir. P22 : Tu veux savoir quoi? P23 : Tout les détails. P24 : Quelles détails? Je ne comprend pas. P25 : Qui elle est, son âge , son travaille , où est-ce que tu l’a connue, où est-ce que tu couchais avec, quand, pourquoi, TOUT, TOUT ET TOUT MOMO TOUT

même parti en croisière… Je ne veux pas la critiquer car je la respecte beaucoup, mais cette femme n’était jamais contente. Pour elle  elle trouvait toujours l’herbe plus verte chez le voisin. C’est une expression Française pour désigner quelqu’un qui n’est jamais satisfait de ce qu’il a… Depuis le me suis entièrement consacrer à ma carrière et tu es la première femme pour qui mon cœur a des sensations. Il ne se passe pas un jour sans que je pense à toi, moi aussi je veux tout savoir de toi. Envois aussi

Reponds en étant tous content -ah ok mais quel genre de péripéties ? Avant que nous continuons notre discussion je t'invite à prendre un verre ! Dis sal avec excitation Ils s'installèrent dans un bar qui était proche d'eux. -Alors Remi raconte moi je veux tous savoir ? -Dans un premier temps après ta lettre j'ai préparé mes affaires et je suis parti en direction de chicago mais il y a eu un malentendu car je suis arrivé à Bear Mountain Bridge en bus . J’étais triste car je ne suis pas arrivé où je