Je Vis Je Meurs Je Me Brûle Et Me Noie

) » Parcours transversal : livre moral ou immoral ? Le masque, l’être et le paraître dans les Liaisons Dangereuses de Laclos Texte complémentaire 1 :  Charles Baudelaire, Les Liaisons dangereuses (Projet d'étude de 1856)   Ce livre, s'il brûle, ne peut brûler qu'à la manière de la glace.  Livre d'histoire.  Avertissement de l'éditeur et préface de l'auteur (sentiments feints et dissimulés). [...]   Au moment où la révolution française éclata, la noblesse française était une race physiquement

I, scène 8, on lit : Dans ces tendres instants j’ai toujours éprouvé Qu’un mortel peut sentir un bonheur achevé. 1 12 VOLTAIRE mortel peut goûter un bonheur achevé ; » tantôt c’est une Amestris, qui dit que ...La fille d’un grand roi Brûle d’un feu secret, sans honte et sans effroi1. Ici un Agnonide De la belle Chrysis en tout lieu suit les pas, Adorateur constant de ses divins appas. Le féroce Arminius, ce défenseur de la Germanie, proteste « qu’il vient lire son sort dans les

quotidien. Souvenirs scolaires, certaines sont enracinées dans nos esprits. Elles jalonnent notre savoir et lui servent d’ancrage. Elles illustrent des faits stylistiques comme le tétramètre qui immortalise la passion de Phèdre pour Hippolyte : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. » Elles résument pour nous une intrigue : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » Elles contribuent par leur beauté mystérieuse à fonder notre sensibilité comme ce « Soleil noir de la Mélan- © Groupe Eyrolles 7 colie »

tête des adolescents. Mais chaque cas est propre. Les histoires peuvent se ressembler mais les sentiments sont uniques à chaque personne. Première partie ...elle... Je le vis arriver mais il était trop tard pour le sauver. On dit qu'en quelques secondes on peut changer sa vie. Tout ne tient qu’à un fil. « la terre est au soleil ce que l'homme est à l'ange.» «Tout est provisoire

l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. 7 III - ÉLÉVATION

douleurs tu m’as fait parvenir. Ta haine a pris plaisir à former ma misère ; J’étois né pour servir d’exemple à ta colère, Pour être du malheur un modèle accompli. Hé bien ! je meurs content, et mon sort est rempli. Où sont ces deux amants ? Pour couronner ma joie, Dans leur sang, dans le mien il faut que je me noie ; L’un et l’autre en mourant je les veux regarder. Réunissons trois cœurs qui n’ont pu s’accorder. Mais quelle épaisse nuit tout à coup m’environne ? De quel côté sortir ? D’où

l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. – 17 – III – Élévation

maladroits et honteux, 11 Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. III – Elévation Au-dessus

l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. – 17 – III – Élévation

de l‘azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d‘eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu‘il est comique et laid! L‘un agace son bec avec un brûle-gueule, L‘autre mime, en boitant, l‘infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l‘archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l‘empêchent de marcher.  Elévation Au-dessus