Jean-Antoine de Baïf

sept poètes ambitieux et qui cherche à mettre en avant la langue française ; elle participe à l’unification de la France. La Pléiade était alors composée de 7 auteurs : Joachim Du Bellay, Jacques Peletier, Pierre de Ronsard, Pontus de Tyard, Jean-Antoine de Baïf, Rémi Belleau et Etienne Jodelle. Ils valorisaient la langue française en s’inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecques et latines). En 1550, Du Bellay publie sa première œuvre

Moyenâgeux. On crée quantité de nouveau mots, afin de permettre aux poèmes français d'être plus expressifs. On invente ces mots grâce au latin, grec... Les poètes qui forment la pléiade sont: Ronsard, Du Bellay, Jean Dorat, Rémi Belleau, Étienne Jodelle, Pontus de Tyard et Jean Antoine de Baïf. Amourette Or que l'hiver roidit la glace épaisse, Réchauffons-nous, ma gentille maîtresse, Non accroupis près le foyer cendreux, Mais aux plaisirs des combats amoureux. Assisons-nous sur cette molle couche

cousin est comte du Piémont) se passe heureusement, au contact de la nature. C'est à la faculté de droit de Poitiers que du Bellay rencontre Pierre de Ronsard, qu'il suit au collège de Coqueret. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décident de former un groupe de poètes appelé la Pléiade. Jacques Pelletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay écrit alors une thèse :Défense et illustration de la langue française. En effet, l'objectif de la

l'oracle de la "dive bouteille". 1562 : Le Cinquième Livre : parution posthume et d'authenticité discutée. Clément Marot 1496-1544 ------------------------------------------------- Il connut, dans son enfance, l'enseignement du Moyen-âge : son père, Jean, faisait partie de l'école des Grands Rhétoriqueurs ; après des débuts littéraires dans la lignée de son père, il s'en écarta bientôt, et devint poète de Marguerite de Navarre, sœur de François Ier. Tout en gardant les structures poétiques traditionnelles

Garnier-Flammarion 1967) Manilius: Les Astronomiques (extraits des livres V et I; trad. G.Pingré, Paris 1786) Ronsard : Hymne des Étoiles, 1555 (extrait, Premier livre des Hymnes) Georges Buchanan : La Sphère (extrait du Livre III, vers 383 à 412) Jean-Edouard Du Monin: L'Uranologie, ou le Ciel (extrait, Paris, 1583) Guy Lefèvre de la Boderie : Cantique sur la nouvelle étoile (Divers Mélanges Poétiques) Alphonse de Lamartine : Les Étoiles (extrait, Nouvelles Méditations Poétiques, 1823) Alexeï

calme l'âme. Par la muse, passage obligé, on accède au ciel. 2ieme fureur : fureur magique. Excitation de l'esprit. Elle a écarter tout les soucis de la vie quotidienne. 1552 : Ronsard, publie les Amours, 185 sonnets amoureux en décasyllabe. Baif Jean Antoine, essai de créer un vers français rythmé, on touche au cœur de la poésie française. Du Bellay écrit Invention, avec 13 sonnets de l'honnête amour, en décasyllabe. 1553 : Publication de sonnet satirique et rimés par Burchillo 1554 : Palladio

Bresse, & arrive à Lyon, Ville qui lui plut beaucoup à la voir: c'est le seul mot qu'il en dit. De Lyon, il traverse l'Auvergne & le haut Limousin pour entrer dans lePérigord; & il se rend par Périgueux au Château de Montaigne . JEAN-ANTOINE de BAÏF (1532-1589) La Rose Durant cette saison belle Du renouveau gracieux, Lorsque tout se renouvelle Plein d'amour delicieux, Ny par la peinte prérie, Ny sus la haye fleurie, Ny dans le plus beau jardin, Je ne voy fleur si exquise

 » « Ô merveille profonde ! » « Que chacun va pillant : comme on voit le glaneur Cheminant pas à pas recueillir les reliques De ce qui va tombant après le moissonneur. » Divers jeux rustiques A Bravime esprit « Docte, doctieur et doctime Baïf » A Phoebus « Fais que l’humeur savoureuse De la vigne plantureuse, Aux rais de ton œil divin, Son nectar nous assaisonne, Nectar, tel comme le donne Mon doux vignoble angevin. » D’un vanneur de bled au vent « À vous, troupe légère Qui

 » « Ô merveille profonde ! » « Que chacun va pillant : comme on voit le glaneur Cheminant pas à pas recueillir les reliques De ce qui va tombant après le moissonneur. » Divers jeux rustiques A Bravime esprit « Docte, doctieur et doctime Baïf » A Phoebus « Fais que l’humeur savoureuse De la vigne plantureuse, Aux rais de ton œil divin, Son nectar nous assaisonne, Nectar, tel comme le donne Mon doux vignoble angevin. » D’un vanneur de bled au vent « À vous, troupe légère Qui

est rapidement promu médecin et attaché, le 22 décembre, au service de l'armée du Rhin [2] . Le 29 novembre 1810, sa mère meurt à Glogau, en Silésie alors qu’elle accompagnait son mari. De 1808 à 1814, Gérard est élevé par son grand-oncle maternel, Antoine Boucher, à Mortefontaine, dans la campagne du Valois, à Saint-Germain-en-Laye et à Paris. Au printemps 1814, le docteur Labrunie retrouve la vie civile et s'installe avec son fils à Paris, au 72, rue Saint-Martin [3] . Gérard reviendra régulièrement