Jean Baptiste Say Et La Répartition

système dans sa globalité. C. Les erreurs des néoclassiques selon Keynes. Keynes dit qu’il n’y a rien eu de nouveau en économie depuis 100 ans dans son livre de 1936. Pour lui il n’y a rien eu de nouveau depuis les classiques (Ricardo, Smith, Say) alors qu’entre temps il y a eu Marx et les néoclassiques. Pour Keynes ils n’ont aucuns intérêts. Il va parler seulement des erreurs des classiques. Selon Keynes il y a 6 erreurs chez les néoclassiques : * L’emploi : les néoclassiques quand ils

libre-échange empêche le développement des politiques économiques nécessaires au bien-être. Comme pour la politique des revenus visant à assurer à tous des ressources décentes, ou la politiques d’aménagement du territoire se donnant pour l’objectif une répartition géographique équilibrée des activités, ou celle de la politique industrielle du maintien des PME. ▪ Des économistes prônant le libre-échange recommandent le protectionnisme pour une situation précise. Même s’il est opposé aux thèses mercantilistes

économique. Pour calculer la croissance on utilise le PIB (France 2010 2mlrd : 2mlrd de richesses créées). La croissance économique est un indicateur purement indicatif, càd, en aucun cas la croissance économique n’est l’indicateur de bien-être. La répartition de richesses n’est pas montrée par le PIB. Il peut y avoir aussi une forte activité économique, mais elle est polluante (p.ex. Chine). Notion de « qualité de vie » est importante. 4) La recherche du plein emploi ou la lutte contre le chômage :

économique. Pour calculer la croissance on utilise le PIB (France 2010 2mlrd : 2mlrd de richesses créées). La croissance économique est un indicateur purement indicatif, càd, en aucun cas la croissance économique n’est l’indicateur de bien-être. La répartition de richesses n’est pas montrée par le PIB. Il peut y avoir aussi une forte activité économique, mais elle est polluante (p.ex. Chine). Notion de « qualité de vie » est importante. 4) La recherche du plein emploi ou la lutte contre le chômage :

techniques, démographiques et institutionnels. B – Comment mesurer le développement ? Le développement d’un pays est souvent assimilé à sa richesse : les pays riches sont les pays développés et les pays pauvres sont les pays sous-développés. Or la répartition des richesses n’est pas toujours égalitaire. L’Indicateur de Développement Humain (IDH), créé en 1990, sert à mesurer le développement. Il est calculé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et prend en compte 3 facteurs

qu'ils effectuent dans le processus de production) et les travailleurs productifs (produisant des marchandises reproductibles par le travail et percevant en contrepartie un salaire). Ces trois classes sont en relation conflictuelles en matière de répartition des richesses : l'augmentation d'un type de revenu ne peut avoir lieu sans provoquer la diminution d'au moins l'un des deux autres. - Selon Marx, le mode de production capitaliste est caractérisé par la lutte entre deux classes sociales : les capitalistes

productivité et la richesse des nations, 1776). Travail productif (manufacturiers) ≠ travail improductif (services) • K. Marx (1818-1883), « dernier des classiques » : déf. similaire. Médiation matérielle centrale (commerce improductif ≠ Smith) • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur de la théorie néoclassique : sphère productive identifiée à sphère marchande : la production n’est pas création de biens ou de matière, mais création d’utilité pour les agents. Cette utilité doit être validée socialement

croissance, dépassant celle-ci nous pouvons nous demander s'il faut limiter la croissance et si elle peut être amenée à rencontrer ses propres limites. * I. Facteurs de production et productivité * A. Produire plus * Reprenons l'exemple de Jean-François, nous nous rappelons que celui-ci s'était improvisé cuisinier et avait choisi de vivre de ce métier. Sa spécialité c'est les pizzas, mais il les produit lentement et elles ne sont pas excellentes. La valeur ajoutée qu'il crée contribue à la

évolution économique tout aussi importante. Sous le régime monarchique prévalait en effet une économie naturelle. BONCOEUR et THOUEMENT, Tom 1 de HPE, De Platon à Marx. « L’économie naturelle est une économie dans laquelle la production et la répartition sont organisées directement en quantité physique (en nature). La régulation de ce type de société est régie par les coutumes et l’autorité repose largement sur la logique du statut qui, hérité à la naissance détermine la place de chaque individu

à 1830 et comprend notamment :James Mill, David Ricardo qui a écrit en 1817 ses Principes d'économie politique, Thomas Malthus qui a écrit en 1798 son Essays on Population, Robert Torrens, Thomas Tooke]20 , À ces économistes on peut ajouter Jean-Baptiste Say qui fut élu en 1822 membre étranger honoraire du Political Economy Club de Londres fondé en 1821 et dont furent membres l'essentiel des économistes politiques anglais de l'époque21 ainsi qu'une vulgarisatrice influente Mrs Marcet qui a écrit