Jean-Claude Michéa

Rédaction d'une critique littéraire. No et moi de Delphine de Vigan Editeur : JC Lattès Parrution: 22 aôut 2007 Delhpine de Vigan se glisse dans la peau d'une jeune adolescente surdouée, bouleversée par la dérive d'une jeune SDF. Celle-ci, malgré son jeune âge, collectionne les mots et les expériences scientifiques ainsi que les difficultés de communication avec son entourage. Très renfermé mais à la fois ouverte d'esprit, apprivoise No, une jeune SDF rencontré

JOSEPH JOFFO Un sac de billes POSTFACE DE L’AUTEUR JC LATTÈS © Éditions Jean-Claude Lattès, 1973. ISBN : 978-2-253-02949-6 – 1 re publication LGF A ma famille. Je tiens à remercier mon ami l’écrivain Claude Klotz, qui a bien voulu relire mon manuscrit et le corriger de sa main si sûre. Prologue Ce livre n’est pas l’œuvre d’un historien. C’est au travers de mes souvenirs d’enfant de dix ans que j’ai raconté mon aventure des temps de l’occupation. Trente années ont passé. La mémoire comme

------------------------------------------------- Fiche de lecture, No et moi Auteur : Delphine de Vigan Titre : No et moi Editions : JC Lattès Collection : Littérature française Delphine de Vigan est une romancière française née le 1er mars 1966 à Boulogne-Billancourt. Elle est l'auteur de sept romans dont No et moi en 2007 qui a été couronné par le prix des libraires. Explorant une thématique nouvelle, No et moi est paru en 2007 aux éditions Lattès. Ce « roman moral » à succès sur une

Jean-Dominique Bauby est né le 23 avril 1952 à Paris, et mort le 9 mars 1997 à Berck (Pas-de-Calais). Il était rédacteur en chef d'un magazine féminin « Elle ». C’est l’auteur de deux œuvres, qui sont, Raoul Lévy, un aventurier du cinéma, des Éditions Lattès, en 1994, et Le Scaphandre et le Papillon, des Éditions Robert Laffont, sorti le 6 Mars 1997. Ce dernier comporte 137 pages. L’ouvrage « Le scaphandre et le papillon » est organisé en 29 paragraphes dont un prologue, c’est une accumulation

FICHE DE LECTURE Auteur : Jean-Claude Michéa Titre : Les intellectuels, le Peuple et le ballon rond Date de publication : mai 2010 Editeur : Climats Introduction : Jean-Claude Michéa né en 1950 est un professeur de philosophie aujourd'hui à la retraite il passe l'agrégation de philosophie en 1972 à l'âge de vingt-deux ans. Engagé au Parti communiste français, il s'en écarte en 1976. Auteur de plusieurs ouvrages, tous publiés aux éditions Climats, parmi lesquels : Orwell, anarchiste

annexe de la vente, elle est devenue le moteur de tout le système », et qu'elle apparaît finalement comme « la dictature invisible de notre société » en modifiant radicalement les comportements des individus48. C'est également la position de Jean-Claude Michéa qui affirme que le « dressage capitaliste des humains resterait un vain mot » sans « cette omniprésente propagande publicitaire »49. Martelant des messages d'importance mineure, elle conduit inconsciemment à percevoir comme mineurs les sujets

conditionnent en grande partie la prise de conscience politique, la capacité à se rebeller, etc. _L’indicible, l’innommable et la conscience (politique) de soi : l’alexithymie selon Michel Bounan, « l’enseignement de l’ignorance » chez Jean-claude Michéa, la fonction politique de la méthode globale (création des illettrés qui en savent juste assez pour répondre aux besoins du marché) selon Brighelli (« La fabrique du crétin ») _Le langage totalitaire (Orwell, Langue du IIIe Reich, Hazan) _Révolution

procédures neutres et objectives – dont le marché et le droit sont les principales incarnations – qui permettent de faire fonctionner la société toute seule, indépendamment des motivations bonnes ou mauvaises des hommes ». Dans cette perspective Michea souligne cette congruence entre le marché et le droit , le "doux commerce" a pour rôle de pacifier non seulement parce que le commerce, posé comme une caractéristique humaine appelé par Smith " la propension au trafic" est censé permettre de par sa

par Jeremy Bentham, et qui entend construire par la raison, sur les décombres d’un passé méandreux, une société rationnelle apportant le plus grand bonheur au plus grand nombre, répond l’idéal d’une architecture rationnelle parfaitement exposé par Jean-Nicolas-Louis Durand, nommé professeur d’architecture à l’École polytechnique en 1795 et dont les cours seront maintes fois réédités tout au long du XIXe siècle. Qu’il s’agisse de théorie morale, d’économie politique ou de théorie architecturale, les

général de cette œuvre monumentale que La ferme des animaux et 1984, dans doute parce que, dans ces livres, Orwell « parvint à saisir avec une acuité stupéfiante la nature exacte, et alors historiquement inédite, de l’oppression totalitaire » (Jean-Claude Michéa, Orwell éducateur, éd. Climats). 1984 est paru un an avant la mort d’Orwell. On ne peut parler de ce roman sans évoquer le cheminement qui a amené Orwell à l’écrire. Les six années qu’il passe dans un internat, de huit à treize ans, marquent