Jean Cocteau Les Parents Terribles

France En France, la tragédie se développe au XVII e siècle, décline au XVIII e siècle, disparaît au XIX e siècle pour réapparaître sous des formes hybrides au XX e siècle. La tragédie classique est dominée par deux auteurs, Pierre Corneille et Jean Racine. Corneille appuie davantage sur la grandeur de l’homme et son honneur, alors que Racine montre l’homme (ou la femme) ravagé par ses passions destructrices, victime impuissante de la fatalité, placée devant des dilemmes impossibles à résoudre

tomba amoureux du jeune fils de son hôte, le roi Pélops, et l'enlèva. Cet acte provoqua la colère d'Héra et entraîna une longue série de drames, qui marqueront le destin Oedipe et de toute la lignée des Thébains. Lorsque Oedipe vint au monde, ses parents prirent une décision déchirante. En effet, quelques années auparavant, Laïos et sa femme Jocaste avaient consulté la Pythie (l'oracle d'Apollon) qui leur prédit que le fils du couple tuerait son père (Laïos) et épouserait sa mère (Jocaste). Pour remédier

[pic] Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise «Ego Hugo», qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que «Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo.». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique, et qu’à cinquante ans

et ballades (1826) Les Orientales (1829) Les feuilles d'automne (1831) Les chants du crépuscule (1835) Les voix intérieures (1837) Les rayons et les ombres (1840) Les contemplations (1856) Les chansons des rues et des bois (1865) L'année terrible (1871) L'art d'être grand-père (1877) Les quatre vents de l'esprit (1881) Poésie satirique :Les châtiments (1853) Poésie épique :La légende des siècles (1859,1876,1883) Théâtre :Cromwell (1827) Hernani (1830) Ruy Blas (1838) Les Burgraves (1849)

Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise «!Ego Hugo!», qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que «!Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo.!». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique, et qu’à cinquante ans il

poésie avec des auteurs comme André Breton, Louis Aragon, Paul Éluard ou Robert Derhou mais également à la peinture au travers d'artistes comme Joan Miró, Salvador Dalí, Francis Picabia, à la sculpture avec Jean Arp, Germaine Richier, et même à la cinématographie avec René Clair et Jean Cocteau. C'est là que se retrouvent des communautés d'artistes américains, comme Hemingway, Miller, Fitzgerald ou Joséphine Baker. C'est là que sont organisés les Jeux olympiques en 1924 ou plusieurs expositions au

funérailles.. Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise «!Ego Hugo!», qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que «!Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo.!». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique, et qu’à

des caves ou le siège de Paris raconté par une petite fille de huit ans E005 # BEAUVOIR (Simone de), La cérémonie des adieux E006 # BEAUVOIR (Simone de), SARTRE (Jean-Paul), Entretiens avec Jean-Paul Sartre : août-septembre 1974 E007 # CHAR (René), Fureur et mystère E008 # LAGARCE (Jean-Luc), Juste la fin du monde E009 # LAGARCE (Jean-Luc), Derniers remords avant l'oubli E010 # SAINT-SIMON, DUC DE, Intrigue du mariage de M. le duc de Berry : Mémoires, avril-juillet 1710 E011 # SAINT-SIMON, DUC

beaucoup de gens dont la facilité de parler ne vient que de l'impuissance de se taire." Cyrano de Bergerac. "L'ambition enivre plus que la gloire." Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours. "On se voit d'un autre oeil qu'on ne voit son prochain." Jean de La Fontaine, La besace. "Mon objectif, ce n'est pas de construire la société de demain, c'est de montrer qu'elle ne doit pas ressembler à celle d'aujourd'hui." Albert Jacquard. "La vérité doit s'imposer sans violence." Léon Tolstoï, Guerre

tableau d’une société corrompue. La marginalité des deux protagonistes est à l’origine des nombreux rebondissements de l’intrigue. Manon est une aventurière, une femme libre. Elle n’est ni sous la coupe d’un mari, ni sous celle d’un frère ou de ses parents. Simple roturière, elle se fait courtisane pour accéder aux plaisirs qui la tentent (les bijoux, l’opéra…) en séduisant uniquement des aristocrates. Elle dit qu’elle aime D.G. , mais sans fidélité de corps. « ...dans l’état où nous sommes réduits