Jean De La Ceppède

Groupement de texte n°2 : Le mouvement baroque Texte n°5 : O Royauté tragique! O vêtement infâme! De La Ceppède Informations générales : -Titre de l’œuvre : O Royauté tragique! O vêtement infâme! -Genre : Poésie -Auteur : La Ceppède -Eléments biographiques concernant l’auteur : Jean de la Ceppède est né à Marseille vers 1548. Apres ses étude il devient conseiller au parlement d’Aix (1578), plus tard au poste de second président de la Cour des comptes (1586 à 1608), puis jusqu’à sa mort il

Littérature Française Le Mespris de la vie et consolation contre la mort, poétique du sonnet Guillaume Hatt Mémoire de maîtrise sous la direction de M. Magnien Année 1996/97 1 Se confronter au Mespris de la vie et consolation contre la mort de Jean-Baptiste Chassignet, c’est très vite se retrouver face à une oeuvre prolifique et un appareil critique peu développé. Ce recueil de 446 sonnets et de plus de 1000 vers de pièces longues publié en 1594 ne semble pas avoir attiré beaucoup le regard jusqu’à

par l’Histoire littéraire du sentiment religieux en France (1915) de l’abbé Henri Bremond, dont le premier volume, consacré aux humanistes dévots, fait ressortir de l’oubli presque tous les poètes religieux de la future Anthologie de Jean Rousset : Brebeuf, La Ceppède, Le Moyne, Martial de Brives, Claude Hopil et bien d’autres. Célèbre pour sa défense de la « poésie pure », Bremond les lit pourtant avec une compréhension large. Au delà du « sentiment religieux », son essai met en lumière certains

Les auteurs *Baroques -Agrippa d’Aubigné (1522-1630) : « Les tragiques » en 1616 -Théophile de Viau (1590-1626) : « Œuvres » en 1621 -Jean de la Ceppède (1548-1623) : « Théorèmes spirituels » en 1622 -Saint-Amant (1594-1561) : »Œuvres » en 1629 *Classiques -Nicolas Boileau (1636-1711) : « Art poétique », « les Satires », « Les Epîtres » -Jean de La Fontaine (1621-1658) : « Conception de la fable », « L’univers poétique et morale »,  « La fable philosophique » *Modernes -Perrault (1628-1703) : « le

les Rhétoriqueurs se voulurent chroniqueurs et conseillers des princes. Ils chantaient les vertus et les victoires de leur protecteur, pleuraient leurs deuils, fêtaient leurs joies et narraient leur histoire. Jean Meschinot († 1491), Jean Molinet († 1507), André de la Vigne († 1527?), Jean Marot († 1526)... C’est surtout comme poètes qu’on admirait ces hommes, auteurs d’œuvres morales et politiques, d’épîtres ou de satires. Cependant, la critique traditionnelle reproche aux rhétoriqueurs leur manque

les Rhétoriqueurs se voulurent chroniqueurs et conseillers des princes. Ils chantaient les vertus et les victoires de leur protecteur, pleuraient leurs deuils, fêtaient leurs joies et narraient leur histoire. Jean Meschinot († 1491), Jean Molinet († 1507), André de la Vigne († 1527?), Jean Marot († 1526)... C’est surtout comme poètes qu’on admirait ces hommes, auteurs d’œuvres morales et politiques, d’épîtres ou de satires. Cependant, la critique traditionnelle reproche aux rhétoriqueurs leur manque

commence vers 1949 quand la Revue des sciences humaines lui consacre un numéro spécial. Vient l’époque des grandes synthèses, avec Marcel Raymond, préoccupé par le thème bien avant la publication de son étude, Baroque et Renaissance poétique, 1955, et Jean Rousset, avec ses deux ouvrages fondamentaux (bien qu’à présent un peu dépassés) : La Littérature de l’âge baroque en France, 1953, dans lequel il met en évidence les deux modes d’existence que sont la métamorphose et l’ostentation, respectivement

quelques textes du manuel où se manifeste la lumineuse présence du divin, notamment les romans ayant trait à la légende du Graal, reproduits dans la section « Variations ». 2. Les trois portraits de Jean le Bon, Charles VII et François Ier Daté de la deuxième moitié du XIVe siècle, le portrait de Jean le Bon constitue le premier portrait connu au Nord des Alpes qui soit autonome et affranchi de tout contexte religieux ou cérémoniel. L’homme n’est plus ici, comme par le passé, une figure abstraite

– though no text was sacrosanct, a finished creation, but an exploitable resource. Any work could be continued, augmented and even buried beneath the weight of new accretions. Le Roman de la Rose was begun by Guillaume Lorris, but became the work of Jean de Meun, who expanded it beyond recognition. By projecting the vision of the rose garden as his own dream, Lorris set an early example of how a narrator might be identified with an author. In the same way, the first person dits which emerged in the late

préparatoires M. Daniel Guillaume, Inspecteur d’académie-inspecteur pédagogique régional M. Jean-Pierre Hocquellet, Inspecteur d’académie-inspecteur pédagogique régional M. Jean-Philippe Llored, Professeur de classes préparatoires Mme Catherine Mottet, Inspecteur d’académie-inspecteur pédagogique régional M. Henri Scepi, Professeur des Universités M. Charles-Olivier Stiker-Metral, Maître de conférences M. Jean-Yves Vialleton, Maître de conférences M. Luc Vigier, Maître de conférences M. Didier Voïta