Jean de Sponde

Tandis que pour ternir l’éclat de tes cheveux, Louis de Gongora Intro : Ce texte est un sonnet écrit par Luis de Gongora en 1613 qui appartient à l’ensemble des Solitudes qui devaient à l’origine être composé de quatre éléments mais qui n’en contiendra finalement que deux. Dans ce poème, nous retrouvons les thèmes chers à l’art baroque dont Gongora est l’un des représentants les plus célèbres. L’amour, la mort, la fuite du temps qui passe sont traités dans ces quelques vers. Ici, l’auteur

grandes parties pour répondre à la question qui est : « Comment Sponde parvient-il à persuader les lecteurs sans émettre d’arguments ? ». La 1ere partie sera « un inventaire de vanités pour effrayer le lecteur » en nous basant sur le fait que le poète multiplie les tableaux, qu’il faut se méfier des apparences et la structure qui fait résonner la menace. La 2nd partie quand a elle sera « un prédicateur menaçant et cruel ». Tout d’abord Sponde parvient à persuader les lecteurs grâce à la multiplication

Né dans une famille liée à la cour de Navarre, élevé dans un milieu protestant et austère, brillant élève, il reçoit de Jeanne d'Albret, mère de Henri IV, une bourse d'étude. Il acquiert une parfaite connaissance du grec, et apprend la théologie réformée. Néanmoins, il se tourne vers la littérature profane : il traduit Homère en latin et compose des poésies érotiques. À Bâle à partir de 1580, il étudie sous la direction de Théodore de Bèze. Henri de Navarre lui donne un poste à sa cour. En

Jean de Sponde (1557 - 1595) Né dans le pays basque, d’un père calviniste. Jeune, il traduit Homère en latin, et compose des Amours, sonnets qui ne paraîtront qu’après sa mort.  Puis il se tourne résolument vers la foi, et compose des Méditations sur les Psaumes qu’accompagnent un Essay de quelques Poèmes Chrétiens, ensemble de stances et de sonnets d’inspiration religieuse, publié en 1588, puis oublié pendant deux siècles et demi (réédité en 1949). Introduction       Le poème « Mais si

la violence, l’illusion et aussi la métamorphose. Tous ces thèmes reflètent l incertitude et le pessimisme des hommes. II. Les auteurs principaux du mouvement Parmi les nombreux auteurs de la période baroque, nous en avons relevés deux : Jean de Sponde et Agrippa d’Aubigné 1. Vous donnerez quelques mots sur leur vie et décrirez rapidement leur œuvre majeure. Agrippa d’Aubigné (1552-1630) : Agrippa d’Aubigné était humaniste et écrivain français. Il échappa au massacre de la St Barthélemy

LECTURE ANALYTIQUE : Sponde, Essai de quelques poèmes chrétiens, "Mais si faut-il mourir..." (1588) Jean de Sponde est un poète baroque du XVIème siècle. Il est né en 1557 dans le pays basque d'une famille protestante et reçoit une éducation calviniste. Sponde fait ses études en Suisse où il se serait intéresser à l'alchimie. Il traduit et commente Homère du latin. Il est au service de

corpus est composé de 4 textes. D'abord nous avons « Que philosopher, c'est apprendre à mourir », 20ème essai appartenant au livre I d'Essais de Michel de MONTAIGNE, publié en 1580. Ensuite, le sonnet II de Essai de quelques poèmes chrétiens, de Jean de SPONDE publié en 1588. Puis, vient le poème 16 du livre I de Fables intitulé « La Mort et le Bûcheron ». Enfin, nous avons un extrait de Pensées de Blaise PASCAL publié en 1670. Ces 4 texte de genres différents traitent de la mort. Ainsi, nous pouvons

DAMIER 20 Septembre 2010 Gwenoline 1ere S3 Rédaction d'une des trois parties du commentaire du sonnet de Jean de Sponde Je vais rédiger la première partie du commentaire. Avant de chercher quels sont les moyens mis en oeuvre par le poète pour persuader le lecteur, nous nous demanderons quel est le but du poème. Dans ce sonnet, les destinataires apparaissent tardivement. En effet ce n'est qu'au dernier vers que le poète apostrophe les lecteurs : « hommes ». De plus il fait appel à

sans au‐delà D’autres la considèrent comme un rite de passage, où  chaque homme doit surmonter sa peur et faire le  jugement de sa vie pour accéder à un autre monde. jugement de sa vie pour accéder à un autre monde • « Mais si faut‐il mourir » – Jean de Sponde • « Demain dès l’aube » – Victor Hugo • « La mort des amants » – Charles Baudelaire • « La mort fervente » – Anna de Noailles • « Si je mourais là‐bas » – Guillaume Apollinaire là bas 18 3 PREFACE La littérature française comprend de

d’enfance, on allait ». Ce poème me donne l’impression d’être comme une berceuse. Les images et les sons qu’il met en tête sont reposants, comme « la campagne alentour », « la vibration régulière », « ronronnant »… « Mais si faut-il mourir... » Sponde. Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse, Qui brave de la mort, sentira ses fureurs, Les Soleils hâleront ces journalières fleurs, Et le temps crèvera cette ampoule venteuse. Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse, Sur le vert