Jean Drapeau

NATIONALITE ET CITOYENNETE La carte nationale d’identité : Questions 1, 2 et 3p376 : 1) Les symboles qui apparaissent sur ces documents et qui ont été rencontrés dans le chapitre précédent sont le drapeau tricolore, la devise de la république « liberté, égalité, fraternité » et Marianne. 2) Le droit fondamental attaché à la citoyenneté française est le droit de vote. 3) Le traité de Maastricht en 1992 instaure la citoyenneté européenne. La carte d’identité existe dans tous les pays de l’Union

(uniforme : pantalon rouge et képi => début de la guerre) -sale : pas rasé, lunettes cassées, traits creusés, boue (mauvaise conditions de vie) Les soldats partaient « la fleur au fusil », confiants et se sont trompés. Derrière le drapeau français, taché de sang (=> hommage aux victimes de la guerre, « poilus »). b. Les couleurs sont froides (bleu et blanc domine). Les trois dernières vignettes s’assemblent : Brindavoine s’interpose entre les deux camps (pacificateur, antimilitariste)

une femme, qui représente la liberté en la personnifiant ; elle a une longue robe jaune , mais elle n’est pas fermée en haut, laissant apparaître ses seins nus. Celle-ci est pieds nus, et tient de la main gauche un fusil, et dans la droite, le drapeau de la France qu’elle lève haut. Elle regarde les guerriers à sa droite. -Le cinquième personnage est un jeune garçon, dont le bras droit est pointé vers le haut, tenant un pistolet dans chaque main. Il a lui aussi l’air bien habillé. On pourrait

de celui-ci. III- LES SYMBOLES DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE : Pour présenter ses valeurs et ses principes en permanence aux citoyens et au reste du monde, la France a ses symboles républicains : Certains sont des héritages de la Révolution : Le drapeau tricolore français : il réconcilie les couleurs de la monarchie (blanc) et de la ville de Paris (bleu et rouge) en 1789. L'hymne national :  La Marseillaise, chant révolutionnaire. La langue française. La devise française : « Liberté, Egalité,

afin de donner de l’entrain aux soldats. Les propositions de réécriture du texte ont été nombreuses : Lamartine, Victor Hugo, Mireille Mathieu, Serge Gainsbourg et Yannick Noah ont tous proposés des nouvelles versions. L’hymne nationale, le drapeau tricolore, Marianne, la fête nationale (14 juillet), le bonnet phrygien et le Panthéon sont tous des symboles de la république française. Enfin ayant évoqué les symboles républicains durant les cours d’éducation civique nous avons jugé pertinent

Pourquoi ce tableau est-il devenu une œuvre universelle, symbole de l'histoire en France ? MEMO : Description (ce que je vois/ ce que j’entends) : parties, éléments attirant le regard, sons, paroles… Je vois une femme et des hommes. La femme a le drapeau tricolore dans la main droite, …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… un bonnet phrygien et un fusil avec une baïonnette au canon dans la main gauche. La femme ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

collaboration est définit par l'armistice franco-allemand le 22 juin 1940. Il y a l’avancée des troupes américaines après le débarquement. Le centre ville de Chartres est libéré mais les combats sont toujours la dans les campagnes aux allant tours. Mais le drapeau français flotte à nouveau sur le portail de la Préfecture. Analyse de l'imagine : La scène est en mouvement, les personnages marchent dans la rue et la quitte. La foule suit la scène Un autre policier qui rigole Un groupe de' femmes et

est d'abord proclamée le 4 septembre 1870 alors que le pays subit le désastre d'une guerre contre la Prusse. Mal affermie après la guerre, elle ne doit son salut qu'à une histoire de drapeau (le Comte de Chambord ayant réussi à rassembler les monarchistes et l'assentiment d'une partie de la droite refuse le drapeau tricolore). Sans candidat à la couronne, la droite laisse voter trois lois constitutionnelles en 1875 qui installent de fait et dans le droit un régime républicain. -En 1940, la débâcle

représente une scène de révolution. L’auteur utilise des tons sombres et une lumière jaune et poussiéreuse recouvre la scène. Le personnage central est une femme en robe, pieds et seins nus. Celle-ci porte une baïonnette dans la main gauche et à l’aide du drapeau français qu’elle tient dans la main droite, elle mène une foule sombre de personnes armées, issus de toutes classes sociales, marchant sur des piles de cadavres. A côté du personnage principal se trouve un enfant qui court, armé d’un pistolet dans

maîtrise sa monture en train de se cabrer. Tout en se tournant vers le spectateur, il indique une direction de la main droite. En arrière plan, des soldats gravissent les flancs de la montagne et acheminent des canons. En bas à droite, on voit le drapeau tricolore qui flotte. Au premier plan, les noms de BONAPARTE, ANNIBAL et KAROLVS MAGNVS IMP. sont gravés sur des rocs. L’œuvre est signée et datée L. DAVID AN IX sur la sangle qui enserre le poitrail du cheval. Analyse Napoleon parait fier puissant