Jean Duns Scot

individuelle qui fait exister le Monde. L'idée de St Jean Duns Scot et Guillaume D'Occam (2 moines). Au XIIIème siècle, en Europe chrétienne, c'est la philosophie officielle qui vient du catholicisme. Selon Platon, il y a des idées pures, ce que nous voyons n'est que la représentation de celles-ci. La réalité que je vois est vraie si j'arrive à la relier aux idées pures. Le monde que je vois existe en lui même et j'en suis uniquement l'observateur. Duns Scot va plus loin, il fait de la conscience individuelle

calcul infinitésimal Œuvres principales Discours de métaphysique, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, Essais de Théodicée, Monadologie Influencé par Platon, Aristote, Augustin d'Hippone, Proclos, Scolastique (Lulle, Thomas d'Aquin, Duns Scot), Nicolas de Cues, Pic de la Mirandole, Suárez, Descartes, Grotius, Pascal, Thomasius, Hobbes, Gassendi, Huygens, Stensen, Malebranche, Bayle, Locke, philosophie chinoise A influencé Famille Bernoulli, Wolff, Maupertuis, Vico, Diderot, Bonnet,

A cette question, des réponses diverses. D’ordre intellectuel et événementiel après. - D’ordre intellectuel d’abord. Ce sont les premiers coups de boutoir portés à la tradition scholastique et à la philosophie d’Aristote par des hommes tels que Duns Scot ou Guillaume d’Occam. - D’ordre événementiel. Il s’agit des différentes crises qui secouent l’univers de la fin du 14ème siècle, et on trouve leur répercussion dans le cadre du royaume de France. - L’univers médiéval est en effet gravement secoué

d'une part, d'autre part avec le dogme du concours divin, de la grâce et de la prédestination; elle se trouve ainsi intimement liée au problème de la liberté, humaine et divine, et chez tous les grands penseurs de la scolastique, de saint augustin à Duns Scot et à saint Thomas, elle tient une place éminente, ainsi que dans la plupart des grandes querelles religieuses : pélagianisme et manichéisme, socinianisme et protestantisme, molinisme et jansénisme. La philosophie cartésienne rend au problème toute

Paul Diacre (730-799) : historien (Histoire des Lombards) * Théodulfe d’Orléans (760-821) : Ecclésiastique, évêque d’Orléans et abbé de plusieurs monastères. A la mort d’Alcuin, il lui succède, dans son rôle de conseiller théologique. * Jean Scot Erigène (810-877), irlandais à la cour de Charles le Chauve. Premier grand philosophe médiéval, helléniste, métaphysicien. Il écrit « periphyseon ou De divisione naturae » sur le rapport, l’unité et la pluralité des créatures. Il essaie de relier

sont pas, c'est prace que'elles dépendent, dans l'être univoque, d'un non-être sans négation. » « C'est l'être qio est Différence, su sens où il se sit de la différence. » # Les moments de l'univoque : Scot, Spinoza, Nietzsche trois moments principaux dans l'élaboration de l'univosité de l'être Dunc Scot: univocité de l'être, neutre, abstrait deux types de distinction, la distinction formelle et l'univosité des « attributs »/distinction modale Spinoza : objet d'affirmation pure une admirable répétition

| | | |Lucien Febvre et Henri-Jean Martin | | | |

qui, rejetant toute sujétion à quelque ordre ontologique que ce soit, se proclame seul maître de sa destinée. Conception dite prométhéenne ou faustienne dont Burckhardt décèle les prodromes dès le Quattrocento . Burckhardt fait d'ailleurs appel à Jean Pic pour symboliser la spécificité et diversité de ce courant humaniste, dont il fait un idéal exemplaire et un prototype de l'humaniste du Quattrocento. Eugenio Garin, maître incontesté des études rinascimentales en Italie avait fait de l'Oratio

réalistes et nominalistes (12ème et 13ème siècle) Partie I : Les controverses fondatrices de la pensée monétaire classique 1. La controverse Bodin / Malestroit et la théorie quantitative de la monnaie 1.1 La thèse de Malestroit 1.2 La réplique de Jean Bodin 1.3 Bodin, précurseur de la théorie quantitative de la monnaie 2. Des controverses autour de la valeur de la monnaie 2.1 La controverse bullioniste 2.1.1 Le contexte 2.1.2 L’enjeu et les arguments 2.1.3 Fin de la controverse 2.2 Le principe de

de l'Occident et de la philosophie aristotélicienne, c'est une crise du dogme qui émerge et que tente de résoudre les grandes sommes théologiques. Albert le Grand (vers 1200-1280), saint Thomas d'Aquin (1225-1274), saint Bonaventure (1221-1274), Duns Scot (vers 1266-1308) font la théorie d'un christianisme logique, universaliste et réaliste, intellectuel et savant, augustinien et aristotélicien, dont les cathédrales gothiques sont les illustrations de pierre et de verre. E.Panovski fait même remarquer