Jean-François Copé

juillet à l'Assemblée nationale s'achèvent sans consensus, les députés PS ayant annoncé jeudi qu'ils ne prendraient pas part au vote de ses conclusions pour protester contre un débat «pollué par celui sur l'identité nationale et l'initiative de Jean-François Copé», patron des députés UMP. Ce dernier avait proposé dès décembre une loi d'interdiction générale dans l'espace public, une position partagée par bon nombre de députés UMP --notamment des membres de la mission-- ainsi que le président de la mission

capitalisme en développant les mesures liées à la solidarité, par exemple, sans pour autant vraiment remettre en cause le fonctionnement du système économique.Le Parti socialiste a vu deux fois son candidat François Mitterrand élu Président de la République en 1981 et en 1988, puis son candidat François Hollande élu en 2012.   LE MODEM ET L’UDF (UNION POUR LA DEMOCRATIE FRANCAISE). Créée en 1978, l’UDF regroupe un grand nombre de petits partis : le Parti Républicain, le parti radical valoisien, le

élections municipales de 1983, une liste réunissant centristes, chiraquiens et lepénistes l'emporte à Dreux : l'alliance, largement soutenue à droite, est publiquement approuvée par Jacques Chirac, Valéry Giscard d'Estaing, Alain Juppé, Michel Poniatowski, Jean-Claude Gaudin, Bernard Pons ou encore Claude Labbé. Seuls Simone Veil et Bernard Stasi manifestent leur désapprobation1,15,24,25. C'est pourtant à cette occasion que se forge le principe du front républicain d'après le politologue Pascal Perrineau16

des milliers de Meldois d’y travailler. 4. Urbanisation à venir Le plan marshal de Meaux.( Magazine Capital ) La rénovation urbaine de Meaux s’est appuyée sur un projet ambitieux d’aménagement et de développement durable. L’objectif de Jean-François Copé est d’investir pour valoriser le patrimoine de Meaux , après l’investissement de plus de 230 millions d’euro ( Chiffres Capital ) de l’état pour détruire certaines tours du quartier de Beauval pour les remplacer par des logement individuel la

écologique de ce qu'ils considèrent comme un impôt déguisé. Le chef de l'Etat dévoilera les modalités de la "contribution énergie-climat" lors d'un déplacement à Culoz, dans l'Ain, en compagnie notamment de Jean-Louis Borloo (Ecologie) et Christine Lagarde (Economie). Le Premier ministre, François Fillon, interviendra le soir même au journal de 20h00 de TF1 pour faire oeuvre de pédagogie. "Que ça fasse débat, heureusement, la seule question qui se pose est 'Est-ce que face au désastre environnemental

situation aussi grave que pourraient le laisser penser certains commentaires de presse ou certains reportages télévisés que l'on peut lire ou voir à l'étranger." DOC.5 : REACTION EN FRANCE GOUVERNEMENT. Le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, devrait rassembler les représentants des médias étrangers, lundi à Paris, pour les convaincre que la France n'est pas à feu et à sang. Depuis le début de la crise, télévisions et journaux européens et étrangers ont tendance à présenter le pays

n'entend pas reprendre cette proposition à son compte. C'est ce qu'il a signifié lundi soir au patron du parti majoritaire Jean-François Copé, et à Bruno Le Maire, le responsable du projet, lors d'une réunion d'arbitrage du projet à l'Élysée. "Ce point a suscité un débat. Nicolas Sarkozy a argumenté, chacun s'est exprimé", reconnaît Valérie Rosso-Debord, députée proche de Jean-François Copé. Même si le président n'a pas souhaité aller jusqu'au veto, l'Élysée confirme son scepticisme. "Nicolas Sarkozy est

différente puisque la suppression de certains avantages fiscaux - les fameuses "niches", point fort du budget de l'an prochain - correspond bien à une progression de la ponction fiscale de 10 milliards d'euros en 2011. Au sein de l'exécutif, seul François Fillon, le Premier ministre, le reconnaît.   Il faudra aller plus loin avec une chasse aux niches plus sévère et/ou une augmentation générale de certains impôts, pensent nombre d'élus de la majorité (Alain Juppé, Philippe Marini, Gilles Carrez)

d’autre nom que celui, très tabou, de politique de rigueur. Le terme est lâché par celui-même qui, il y a quelque temps encore, était porte-parole du gouvernement et qui selon ses propres mots « a abandonné la langue de bois ». Pour le coup, Jean-François Copé aura, à nouveau, jeté un pavé dans la mare… La rigueur donc… Celle qui casse les services publics, bloque les salaires des fonctionnaires – au point que le 13 mai dernier, Luc Chatel se voit obligé de démentir la rumeur selon laquelle ceux-ci

ras-le-bol général. Il sera simplement au mauvais endroit au mauvais moment, comme souvent il est vrai. Et là qui pour prendre sa place ? Copé ? Ce sioniste maléfique assoiffé de pouvoir dont l’honnêteté est aussi notoire que la bonté d’un officier SS ? Non Copé ment comme il respire, n’a aucun programme mis à part celui du FN, voire pire. Parlez-nous d’économie Jean-françois au lieu de toujours ressasser les vieilles rengaines du Front. Le terroriste musulman vole des pains au chocolat. Le Rom est un sale