Jean-François Revel

par Samuel Silvestre de Sacy, Le Livre de Poche, 1970 Descartes, Discours de la méthode, suivi des Méditations métaphysiques, avec une présentation de Jean-Paul Sartre, Verviers, Marabout, 1974 Descartes, Discours de la méthode, précédé de « Descartes inutile et incertain » par Jean-François Revel, commentaires et notes de Jean-Marie Beyssade, Le Livre de Poche, 1973 (1975) Descartes, Discours de la méthode, présentation et commentaire par Denis Huisman, avec une préface de

de Blois et d’Amboise. Chambord, château de François 1er a lui été édifié au milieu des giboyeuses forêts de Sologne. On dénombre 42 châteaux. (1000 entre le Moyen Age et le 19ème siècle). Parmi les plus célèbres, nous pouvons citer: Chambord, Chenonceau, Cheverny, Villandry, Blois, Amboise, Chaumont-sur-Loire, Azay-le-Rideau,… Les 1er châteaux de la Renaissance reposent sur d’anciennes constructions. Blois Le château de Blois, construit par François 1er, apparaît comme un prolongement incohérent

Dossier François Truffaut I. Présentation du cinéaste Biographie : François Truffaut est un réalisateur et acteur né le 6 février 1932 à Paris. Déjà tout jeune, il était passionné par la lecture et le cinéma. Il fait ses débuts dans le métier en tant que critique de cinéma à Travail et Culture. Il commence à écrire des articles en 1950 et en publie pour les Cahiers du cinéma dès 1953. Peu après, il réalise son premier court-métrage, Les mistons en 1957, Les Quatre Cents Coups en 1958. Il joue

garçon maigre et souffreteux, est le fils unique d'une mère nageuse qui le chouchoute et d'un père lutteur déçu. Il se sent seul et s'invente alors un frère imaginaire plus beau, plus fort. Lorsque François vient de se battre avec un camarade s'étant moqué des Juifs, Louise, une amie de ses parents, lui révèle un lourd secret : il est juif et a un frère, Simon, déporté et mort. Son père, Maxime, était marié à Hannah lorsqu'il tomba amoureux de Tania. Un jour il décide d'aller vivre, avec sa famille, de

caractéristiques moins aisément perceptibles, la dégradation des éléments du roman d’aventures, le sentiment de culpabilité qui empreint le récit et l’hésitation entre deux héros possibles, l’un flamboyant, Augustin Meaulnes, l’autre introverti, François Seurel, incitent à accorder au livre une dimension existentielle qui va au-delà de ce thème bien connu qu’est la difficulté, voire l’incapacité, des jeunes à entrer dans le monde adulte. Une relecture attentive, loin d’enlever à l’œuvre son caractère

François Mauriac  Pour les articles homonymes, voir Mauriac. François Mauriac François Mauriac en 1932. Données clés Nom de naissance François Charles Mauriac Activités romancier, dramaturge, critique,journaliste, poète Naissance 11 octobre 1885 Bordeaux,  France Décès 1er septembre 1970 (à 84 ans) Paris,  France Langue d'écriture Français Distinctions Grand prix du roman de l'Académie française 1926 Prix Nobel de littérature 1952 Œuvres principales Le Baiser au lépreux 1922

poétique. Elle privilégie le sonnet au détriment des formes anciennes et même de celles qu'elle vient d'acclimater en France comme l'ode antique. Les contraintes, qui sont imposées par l'étroitesse du cadre, quatorze vers, et le jeu des rimes, vont se révéler des plus fécondes : pour preuves, les cris de la passion chez Louise Labbé, la grandeur et la décadence de Rome dans Les Antiquités, la nostalgie dans Les Regrets (Du Bellay), l'amour encore et toujours, chez Ronsard (des Odes à Cassandre aux Sonnets

Piemontese collaboration artistique Thomas Boccon-Gibod assistant à la mise en scène Matthieu Roy scénographie et lumière Eric Soyer assistants lumière Gwendal Malard, Jean-Gabriel Valot costumes Isabelle Deffin assistante Claireline Gibert stagiaire costumes Karine Kindermann habilleuse Emmanuelle Thomas réalisation sonore Antonin, François et Grégoire Leymarie recherche thématiques musicales Arthur Franc, Alice Guerlot Kourouklis régie lumière Gwendal Malard régie son Grégoire Leymarie régie plateau

Jean-François Guermonprez C. Geertz, Bali. Interprétation d'une culture In: L'Homme, 1985, tome 25 n°94. pp. 182-185. Citer ce document / Cite this document : Guermonprez Jean-François. C. Geertz, Bali. Interprétation d'une culture. In: L'Homme, 1985, tome 25 n°94. pp. 182-185. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1985_num_25_94_368585 182 Comptes rendus taw ! Une note devrait expliquer pourquoi cette phrase est intraduisible. Tout se passe comme si

La tyrannie de l’apparence A l’école, à la fac, au travail… Avant même nos compétences, c’est notre physique qui est jugé. Une dictature du beau dénoncée, preuves à l’appui, par le sociologue Jean-François Amadieu. Violaine Gelly Sommaire * Au berceau déjà * A l’école du favoritisme * La tête de l’emploi * Beaux et bons Depuis l’Antiquité grecque, nous sommes victimes et vecteurs du même présupposé : ce qui est beau est bon. Aujourd’hui encore, tout le monde le pressent et personne