Jean Ier de Bourgogne

sur l’emplacement du tombeau de St-Pierre. La politique impériale ne cesse de favoriser la religion chrétienne et en 380 le christianisme deviendra la religion d’état de l’empire. Cela en fait par l’édit de Thessalonique de 380, l’empereur Théodose Ier déclare le christianisme religion d’état, c'est-à-dire comme la seule religion officielle de l’état romain. Les autres religions comme celle des païens, des juifs sont condamnées. Dans cet empire, le paganisme sera particulièrement combattu. La diffusion

car généralement chaque héritier tente d’éliminer les rivaux si bien que peu à peu, au fil des générations, on va voir se dessiner trois grandes zones elles-mêmes non partageables. C’est la Neustrie à l’ouest, l’Austrasie à l’est et enfin la Bourgogne (ou aussi nommée la Burgondie). Ces blocs vont conserver leur unité jusqu’à la fin de l’époque mérovingienne. Il n’y a donc pas de conception patrimoniale à l’infini. De plus les quatre fils de Clovis prendront soin d’adopter des capitales proches

processus au cours duquel différentes populations, qui se forment et se modifient sous l’emprise de multiples facteurs, déferlent en vagues successives sur l'Empire romain, moins affecté au niveau du climat. Après la mort de l’empereur Théodose Ier en 395, l’empire fut de facto séparé en deux parties, chacune d’elles régie par un coempereur dont les édits étaient supposés s’appliquer dans les deux parties de l’empire. En 382 et en 418, des accords furent conclus entre les autorités de l’empire

généraux. 29 § 3 : L’absolutisme monarchique. 31 § 4 : L’instauration de l’absolutisme de Louis XIV. 35 SECTION 3 : Les théories absolutistes au XVIIIème siècle. 36 SECTION 4 : L’expérience de la révolution française et du Ier empire. 37 § 1 : Constitution du 3 septembre 1791. 37 § 2 : La terreur. 38 § 3 : Le directoire. 39 § 4 : Le césarisme napoléonien. 39 § 5 : L’expérience de la restauration et la monarchie de juillet. 41

Introduction historique au droit Bibliographie : - Jean Marie Carbasse, Manuel d’introduction historique au droit, publié à paris au PUF, collection : droit fondamental 3ème édition - Norbert Rouland : Introduction historique au droit - Jean Gaudemet : Introduction histoire au droit, dernière édition 2010 publié à la LGDJ - André Castaldo : Introduction historique au droit, chez Dalloz 3ème édition 2006 INTRODUCTION 7 octobre 2010 : Le Conseil Constitutionnel adopte la loi

Lyonnaise. Les chrétiens qui s'installent viennent d'Orient. Ils sont de langue et de culture grecque. Leur présence est attestée dès le 2ème siècle. Le premier chrétien dont on ait gardé trace est Irénée, le 1er évêque chrétien. Il aurait évangélisé la Bourgogne. Au cours du 3ème siècle, les églises se multiplient et Reims possède un évêque au milieu du 3ème siècle. Dès lors Rome commence à réagir et organise des persécutions officielles. La première est due à l'empereur Valérien en 257-258. En 303,

INTRODUCTION L’histoire du droit est enseignée depuis 1997 dû à un arrêté. Son enseignement fut mis en place par Napoléon Ier tel est le cas à Dijon avec comme premier doyen Proudhon, c’est vers 1820 que les connaissances de l’histoire du droit deviennent stables et c’est à partir de 1896 que les premiers professeurs spécialisés furent mis en place .L’histoire du droit à 2 buts principaux : _ Faire connaître les origines du droit, soit directement par la règle de droit ou par opposition. _ Pour

veillent au maintien de la paix, ils vont même jusqu’à légiférer en leur nom et enfin, ils battent monnaie à leur effigie.  C’est ainsi que progressivement se forme trois grands ensembles de principautés : au nord on trouve la Flandre, à l’est la Bourgogne, au sud la Gasconne et l’Aquitaine et à l’ouest se constitue progressivement les principautés de Normandie et de Bretagne.  En Normandie, c’est le traité de Saint-Clair-sur-Epte (911) qui est à l’origine du duché de Normandie. En réalité, le roi

présence de classes sociales et d’un développement général des arts et des sciences. - Toutes les cinq s’organisent au sein d’une structure politique : l’Etat. Les constitutionnalistes définissent l’Etat à partir d’un juriste français (fin XVIe), Jean Bodin, par la présence simultanée d’un territoire, d’une population et de la mise en place d’une souveraineté, principe qui se compose de sous-principes : elle est illimitée dans le temps et en son pouvoir (perpétuel et absolu), et elle est exclusive

communales des villes du nord du royaume derrière le pouvoir unique du roi Philippe-Auguste. Jean Favier, historien médiéviste, consacre Bouvines comme « l'une des batailles décisives et symboliques de l'histoire de France ». Cette adhésion à un seul roi et une seule nation permet aux troupes françaises de battre l’alliance de l’empereur germanique Otton IV, du comte de Flandres Ferrand, et du Roi d’Angleterre Jean-Sans-Terre. Le souverain français, jusque là qualifié officiellement de « régnant en France »(