Jean Jacques Rousseau Du Contrat Social Livre 1 Chapitre 4

savoir plus... [Réduire] Jean-Jacques Rousseau Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Rousseau (homonymie) et Jean-Jacques Rousseau (homonymie). Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (août 2007). Si vous connaissez le thème traité, merci d'indiquer les passages à sourcer avec {{Référence souhaitée}} ou, mieux, incluez les références utiles en les liant aux notes de bas de page. (Modifier l'article) Jean-Jacques Rousseau Philosophe occidental Époque

Article « Rousseau  : le contrat social en question » Etane Yombo Laval théologique et philosophique, vol. 55, n° 3, 1999, p. 477-489. Pour citer la version numérique de cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/401257ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est

Quelles sont les positions de philosophes des Lumières par rapport aux pouvoirs religieux? Rousseau et La religionRousseau se méfie beaucoup de la religion telle que révélée par les témoignages des hommes (l'Église) et les livres sacrés (tous traduits). Il affirme : « Dieu lui-même a parlé : écoutez sa révélation. C’est autre chose. Dieu a parlé ! Voilà certes un grand mot. Et à qui a-t-il parlé ? Il a parlé aux hommes. Pourquoi donc n’en ai-je rien entendu ? Il a chargé d’autres hommes de vous

Jean-Jacques Rousseau Par Jean-Hugues Déchaux pour SES-ENS, Mars 2008* Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) n’est pas un sociologue, loin s’en faut, mais c’est un penseur immense et iconoclaste dont la postérité sera considérable, y compris dans le domaine des sciences sociales, ce qui est trop rarement souligné. Durkheim ne s’y est pas trompé : il lui a consacré un article très dense en 1918, repris dans l’ouvrage paru en 1966 sous le titre Montesquieu et Rousseau. Précurseurs de la sociologie. 1

1 Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) Rousseau nous tient sous le charme, un charme familier et comme enveloppant : est-ce pour rien que l’usage veut que, seul de nos écrivains, on l’appelle par son prénom : Jean-Jacques? (J. Dubosclard). chapitre 1 : sa vie Jean-Jacques Rousseau naquit à Genève en 1712 d'une famille protestante d'origine française. Orphelin de mère peu après sa naissance, négligé par son père, il est mis en

Commentaire de Jean Bodin, Les Six livres de la République, Paris, Livre de poche, 1993, Livre I Ch. I, p. 57 et Ch. VIII, p. 111-112 (document n° 2, dossier n° 2) Exposé individuel n° 8: Commentaire de Thomas Hobbes, De Cive, Paris, Garnier Flammarion, Ch. VI § VI-XII, p. 151-155 et § XVIII-XIX, p. 163-164 (document n° 3, dossier n° 2) ; et Le Léviathan, Paris, Dalloz, Ch. XVII, p. 173-178, Ch. XVIII, p. 179-191 (document n° 4, dossier n° 2) Séance n° 5 : Doctrines de l’Etat Exposé collectif n° 1: La notion

PHILOSOPHIE POLITIQUE Séance n°6 : Commentaire de texte Rousseau (1712-1778), Du Contrat social (1762) Jean Jacques Rousseau naquit à Genève dans une famille modeste. Sa famille, d’origine française s’était exilée à Genève en 1549 à cause des persécutions religieuses. A l’âge de seize ans, il quitta le foyer de ses parents pour s’installer en France chez Mme de Warens. Elle assura son éducation, son instruction. Rousseau apprit la musique, le latin, s’intéressa à la philosophie. En 1741 il

religion Les Lumière les plus illustres sont, en France, Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau, d'Alembert, Helvétius, d'Holbach ; en Angleterre, Toland et Hume; en Allemagne : Wollf, Lessing et Kant J’aime mieux être homme à paradoxes qu’homme à préjugés Biographie Jean-Jacques Rousseau Fils d'un horloger et orphelin de mère, Jean-Jacques Rousseau[->0] est mis sous la protection de Madame de Warens[->1], à l'âge de 16 ans. Elle devient pour lui une bienfaitrice et une mère bien qu'elle ne

principale du souverain d’après Rousseau est de décider des règles sous lesquelles il veut vivre, c’est-à-dire de voter les lois14. Comment la mener à bien ? Tout citoyen qui fait partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter les lois ? (début du livre I). Avançons quelque peu

purement civile » : tel est l’énoncé emblématique du chapitre intitulé « De la religion civile » sur lequel, juste avant une courte conclusion, s’achève Du contrat social. C’est là, à coup sûr, un énoncé dont on ne peut contester à Rousseau la paternité. Il porte en effet toutes les marques de son style. Outre l’évocation d’une « profession de foi », le paradoxe qui consiste à la qualifier de « purement civile » fait partie des procédés habituels de Rousseau, ainsi que l’usage de l’adverbe « purement » qui