Jean Jaurès Discours

partie de la population ne veut pas de la guerre, notamment les ouvriers. En 1907, l’internationale ouvrière décide de mener une grève générale car sans mines, sans trains, sans armes, la guerre ne peut pas éclatée. Grève poussée par la SFIO (Jean Jaurès) et la CGT (Jouhaux). Grève n’a pas réussie. En parallèle une autre partie de la pop est favorable à la guerre : le courant nationaliste. En 1913 le président Poincaré (libéral) décide d’allonger le service militaire à 3 ans au lieu de 2. En Allemagne

juif; à leurs yeux, la lutte contre le capitalisme doit avoir pour cible le capital juif ou le caractère capitaliste du judaïsme. Ces tendances se manifestant au sein des partis socialistes sont en général combattues par les dirigeants, notamment Jean Jaurès en France et Karl Kautsky en Allemagne. C’est donc dans un contexte bien particulier à l’égard des juifs que l’Affaire va éclater. En dépit de l'égalité conférée par les lois et de l'intégration croissante des juifs dans les sociétés occidentales

La démocratie et la Première Guerre Mondiale : 1914-1918. « Il est plus facile de faire la guerre que la paix ». Cette déclaration de Georges Clémenceau lors de son discours de Verdun du 14 Juillet 1919 signifierait que les modalités de conduite de la politique d'un État seraient facilitées par l'entrée en guerre de ce dernier. Ces pratiques nouvelles du pouvoir en temps de guerre, sont intimement liées aux modifications qu'a connu la démocratie durant la Première Guerre Mondiale. La Première

républicains défenseurs de l'armée ( qui dans l'esprit de revanche est seule capable de restaurer l'honneur de la France ). Jean Jaurès défendra aussi Dreyfus, publiant le 11 octobre, dans La Petite République, un article intitulé « Les Preuves ». Dessin de Caran d'Ache dans le Figaro du 14 février 1898 Le 7 juillet, Godefroy Cavaignac, nouveau ministre de la Guerre, dans un discours devant la Chambre mentionne un document accablant pour Dreyfus. Mais on ne tarde pas à découvrir qu'il s'agit d'un faux

TEXTES sur l'Impérialisme et la Colonisation Suivi de Discours de Thiers sur les "libertés nécessaires" Un jugement lapidaire de Tocqueville "La société musulmane, en Afrique, n'était pas incivilisée ; elle avait seulement une civilisation arriérée et imparfaite. Il existait dans son sein un grand nombre de fondations pieuses, ayant pour objet de pourvoir aux besoins de la charité ou de l'instruction publique. Partout nous avons mis la main sur ces revenus en les détournant en partie

refuse d'accorder le droit de vote aux femmes. 1904 1 avril Circulaire ordannant le retrait des crucifix dans les tribunaux. 8 avril Traité d'alliance franco-anglais (entente cordiale). 18 avril Parution du 1er numéro de l'Humanité dirigé par Jean Jaurès. 24 avril Visite officielle du président émile Loubet en Italie. 21 mai La France rappelle son ambassadeur au Vatican à la suite de tensions diplomatiques. 7 juillet Exclusion des congrégations de l'enseignement (Loi Combes). 29 juillet Rupture

Waldeck-Rousseau. Le point culminant de cette est le procès de Rennes à l'issue duquel, le 9 septembre 1899, Dreyfus est à nouveau condamné avant d'être gracié et libéré. La couvre la relance de l'offensive dreyfusarde permise notamment par Jean Jaurès, la seconde révision ordonnée par le gouvernement du finalement acquis à la solution de la justice, l'instruction de la Cour de cassation à l'issue de laquelle est proclamée, le 12 juillet 1906, l'innocence complète et définitive d'Alfred Dreyfus

à l’Académie française le 23 janvier 1896, au fauteuil 38, où il succède à Ferdinand de Lesseps, il y est reçu le 24 décembre 1896. Devenu un écrivain reconnu, influent et riche, France s’engage en faveur de nombreuses causes. Il tient plusieurs discours dénonçant le génocide arménien8 et soutient Archag Tchobanian, rejoint Émile Zola, avec qui il s’est réconcilié au début des années 1890, lors de l'affaire Dreyfus. La maison d'Anatole France, 5 Villa Said, Paris. 1894-1924. Après avoir refusé

diffamation envers le Conseil de guerre. Mais son procès a permis la publicité des pièces. C’est le début du mouvement dit dreyfusard. Parmi les hommes qui prennent la défense de Dreyfus, on trouve Emile Zola, Anatole France, Clémenceau ou Jean Jaurès (ce dernier publie un autre article très connu dans La petite République qui s’intitule « les preuves »). Les dreyfusards sont surtout des Républicains radicaux puis des socialistes jaurésiens. Les antidreyfusards (parmi lesquels Déroulède, Barrès

fait en phase avec une opinion publique sensible aux différents discours nationalistes. L’opinion est d’autant plus favorable à la guerre qu’elle s’imagine qu’elle sera courte. Ainsi, en Allemagne, des pans germanistes militent en faveur de la guerre, dans le but d’éviter un encerclement de l’Allemagne par la France et la Russie : ils veulent une grande Allemagne. Même les socio-démocrates, pourtant modérés, vont multiplier les discours patriotiques ce qui suscite chez la population allemande une