Jean-Louis Bory

 Scène de la première relation sexuelle : « Je ne savais pas que l’on saignait. Il me demande si j’ai eu mal, je dis non, il dit qu’il en est heureux. Il essuie le sang, il me lave » (p. 50) ; à comparer avec la scène équivalente dans le Barrage, avec Jean Agosti : « Il avait sorti son mouchoir de la poche et il avait essuyé le sang qui avait coulé le long de ses cuisses. Ensuite, avant de partir, il avait remis un coin de ce mouchoir ensanglanté dans sa bouche, sans dégoût et avec sa salive il avait

MICHON Les Onze 2008 M. Marc BRESSANT La Dernière Conférence 2007 M. Vassilis ALEXAKIS Ap. J.-C. 2006 M. Jonathan LITTELL Les Bienveillantes 2005 Mme Henriette JELINEK Le Destin de Iouri Voronine 2004 M. Bernard du BOUCHERON Court Serpent 2003 M. Jean-Noël PANCRAZI Tout est passé si vite 2002 Mme Marie FERRANTI La Princesse de Mantoue 2001 M. Éric NEUHOFF Un bien fou 2000 M. Pascal QUIGNARD Terrasse à Rome 1999 Mme Amélie NOTHOMB Stupeur et tremblements 1999 M. François TAILLANDIER Anielka

· Groupe de sept poètes français du XVIe siècle rassemblés autour de Ronsard.· Les sept poètes du groupe : Ronsard, Joachim Du Bellay, Remi Belleau, Jodelle, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard, Jacques Pelletier du Mans (remplacé à sa mort par Jean Dorat).Objectifs de la Pléiade• Enrichir la langue française via : – les emprunts aux langues régionales, la fabrication de néologismes (création de mots) issus du latin et du grec – le rappel de mots disparus, etc • Faire du français la langue de

prix Goncourt est d'être parfois « passé à cô-té » d’auteurs exceptionnels. L'exemple le plus souvent cité est l'attribution du prix en 1932 à Guy Mazeline pour son roman « Les Loups », l'année de la publication de « Voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline, évincé par 6 voix contre 45. De nos jours encore, on emploi le mot « honte » pour en parler. Ce n’est pas tout. Les jurés du prix Goncourt se voient souvent reprocher leur affiliation à certaines des maisons d'édition les plus décorées

C’est la mort de Mme Walter qui s’est éteinte en voyant sa fille se marier avec son amant dont elle était désespérément amoureuse. Elle n’acceptera jamais qu’une telle chose arrive. Le journalisme au 19ème siècle : Dans la préface de Bel-Ami, Jean-Louis Bory dit en parlant de son ascension sociale dans le journalisme : « C’est le récit d’une réussite. D’une ascension […] ballon pourri, un puits puant, un colossal tas de fumier. » C’est vous dire l’idée qu’on peut se faire du journalisme à l’époque

meilleurs sentiments, avec ce petit garçon, bouc émissaire de ses congénères parce qu’il n’a pas de papa, et qui fait tout pour s’en trouver un. « Une partie de campagne » est le chef d’œuvre, que tout le monde connaît, souvent par l’adaptation de Jean Renoir. Pas une pub pour le mariage non plus, mais l’inoubliable scène de dépucelage au chant du rossignol, que je me suis fait le plaisir de proposer en « lecture analytique », dans ce découpage :  « Le rossignol se tut soudain. Une voix éloignée

L'exil[modifier | modifier le code] Cependant, à la mort de Maghan Kon Fatta, Sassouma fait jouer son influence et les volontés du souverain défunt ne sont pas respectées. Sogolon et Soundiata sont envoyés en exil, ainsi que le frère de Soundiata, Manding Bory, et sa sœur, Djamarou. De plus, Soundiata et son griot sont séparés, car Balla Fasséké est envoyé en ambassade dans le royaume de Sosso chez le cruel roi-sorcier Soumaoro Kanté. Soundiata, ses frère et sœur et sa mère quittent donc Niani, capitale

genre du roman d’aventure, qui a connu son âge d’or entre 1850 et 1950 en Europe au moment de l'établissement d'empires coloniaux. Parmi les grands noms du roman d’aventure, on compte notamment Walter Scott, Alexandre Dumas père, Eugène Sue, Robert Louis Stevenson ou encore Jules Verne. Dans ces romans populaires, l’auteur met particulièrement l'accent sur l'action en multipliant les péripéties extraordinaires et violentes, parfois au détriment de la vraisemblance. L'auteur cherche à tenir son

d’inspiration et espace romanesque Balzac est Tourangeau et retourne très souvent dans sa province natale pour écrire ; notamment au château de Saché où, fuyant ses créanciers aussi bien que l’agitation de Paris, il travaille à plusieurs romans : Louis Lambert, Séraphita, Illusions perdues et surtout Le Lys dans la vallée, publié en 1835. La passion l’a toujours inspiré et l’on sait que le personnage d’Henriette de Mortsauf est né de son amour pour Mme de Berny, la Dilecta. Entre elle et les paysages

et l'écriture de Shakespeare, qui est tout sauf linéaire, qui est fragmentaire, presque de l'ordre du montage cinématographique. Hamlet par Rictus, ça va donner quoi ? Je n'ai pas envie de faire un théâtre en costumes d'époques, ni un "Hamlet en jean confronté à une société en costume cravate", ou dont les personnages seraient déguisés façon haute couture. J'ai en tête quelque chose de plus large, un spectacle d'aujourd'hui, mais qui ne renierait pas ses racines... J'imagine un univers plutôt atemporel