Jean-Marc Ferry

PAR L’INSEE OFFERT 188 PAGES - 9,95  CHEZ VOTRE MARCHAND DE JOURNAUX Cahier du « Monde » N˚ 20566 daté Mardi 8 mars 2011 - Ne peut être vendu séparément 2 Economie Expertises Méditerranée, un mur tombe aaa Suite de la chronique de Jean Pisani-Ferry On pourrait multiplier les exemples. Ils dépeignent tous des économies où le développement est entravé par les contraintes bureaucratiques, la multiplicité des rentes de monopole – souvent au profit de ceux qui bénéficient d’accointances politiques

contre l’empereur d’Allemagne à la guerre de 1870-1871 où les Prussiens ont bombardé Paris, les Français sont censés comprendre que l’Allemand a toujours été un ennemi. Cette mémoire est d’autant plus surprenante que, comme le rappelle l’historien Marc Ferro, dans l’imaginaire français, l’ennemi héréditaire était l’Anglais. Les Allemands savent aussi que les Français les ont régulièrement envahis au cours de leur histoire. Mais, le regard qu’ils portent sur le passé récent est différent de celui

vers -6 et sans doute mort vers +30. Sa prédication, commencée vers 27-28, n'aura duré que 2 ans. Les sources dont nous disposons sont partielles et partiales. Citons les Evangiles. Ce sont des récits en langue grecque dont 4, ceux de Matthieu, Marc, Luc, et Jean furent retenus par l’Eglise. Ils n’ont pas pour objet d’être des biographies du Christ, mais de mettre en lumière certains de ses faits et gestes relus dans une perspective d’évangélisation. Le christianisme est une religion d'amour des autres

accueillant l'exposition signifie son avance et sa supériorité sur les autres puissances européennes qui règnent alors sur le monde. Dans cette optique, la France accueille à plusieurs reprises l'exposition universelle, comme en 1855, 1867 et 1878. Jules Ferry, président du conseil de 1883 à 1885, décide de relancer l'idée d'une nouvelle exposition universelle en France. Le 8 novembre 1884, il signe un décret instituant officiellement la tenue d'une exposition universelle à Paris, du 5 mai au 31 octobre

fortes). D’une mani`re g´n´rale, grˆce aux restructurations e e e e a des entreprises et a la modernisation de l’appareil productif, les pays ` en retard ont converg´, rattrapant les pays les plus riches, a l’exception e ` de la Gr`ce. Selon J. Pisani-Ferry l’int´gration europ´enne a finalement e e e servi « d’aiguillon et de paravent » : aiguillon en acc´l´rant les mutations ee n´cessaires de l’appareil productif et en particulier des entreprises ; pae ravent en prot´geant les agents du choc brutal de

mani`re g´n´rale, grˆce aux restructurations e e e e a des entreprises et a la modernisation de l’appareil productif, les pays ` en retard ont converg´, rattrapant les pays les plus riches, a l’exception e ` de la Gr`ce. Selon J. Pisani-Ferry l’int´gration europ´enne a finalement e e e servi « d’aiguillon et de paravent » : aiguillon en acc´l´rant les mutations ee n´cessaires de l’appareil productif et en particulier des entreprises ; pae ravent en prot´geant les agents du choc brutal

positive et normative de la mondialisation. La seconde est celle de la gouvernance mondiale et, par extension, de la gouvernance de la mondialisation. Selon le rapport que le Conseil d’analyse économique a consacré à ce sujet [Jacquet, Pisani-Ferry & Tubiana : 2002], ce néologisme ouvre à « une réflexion sur la façon dont l’économie mondiale est gouvernée » qui évite la connotation excessivement centralisatrice du terme de « gouvernement » et « exprime le problème de base de l’organisation de

que nous ne sommes pas en mesure de déceler, avec une marge d’erreur suffisamment réduite, les étudiants qui possèdent au mieux les aptitudes à réussir dans chaque filière, dans FRENAY, Marianne, NOEL, Bernadette, PARMENTIER, Philippe, ROMAINVILLE, Marc, L’étudiant-apprenant. Grilles de lecture pour l’enseignement universitaire, Paris-Bruxelles, De Boeck &Larcier, 1998, p.45. 5 Et encore… Lors de la table ronde "Promouvoir la réussite à l'Université" organisée le 22 mars 2002 par la Ministre de l'Enseignement

puissant que son suzerain, comme le montre la première carte. Philippe II, dit Philippe-Auguste a comme objectif principal l'abaissement des Plantagenêts. Entre 1202 et 1205, il fait la conquête sur Jean sans Terre de la Normandie, du Maine, de l'Anjou, de la Touraine, du nord du Poitou et de la Saintonge. Jean sans Terre tente de réagir en organisant une coalition réunissant également l'empereur germanique Othon IV et le comte de Flandre. Le dimanche 27 juillet 1214, Philippe II triomphe de la coalition

Brignogan plages La Vierge Ile-de-Batz Roscoff Pointe de Primel Trébeurden Pleumeur-Bodou Beg-Léguer Aber Wrac'h Kerlouan G G G Plouescat Plounéour Trez Cléder Aber Benoît Plouguerneau Guisseny G Plougasnou Saint-Jean-du-Doigt Locquirec Trédrez-Locquémeau Saint-Pol-de-Léon Ploubezre Carantec Tumulus de Barnenez Tonquédec Lanmeur Plestin-les-Grèves Saint-Michel-en-Grève Lanvellec Plouaret Lannion La Roche-Derrien P Berven Lannilis Ploudalmézeau G