Jean-Marie Lapointe

Cnd_Lit#198_Placed.inddCanadian Literature 198 / Autumn 200848 Généralement laconique, le titre d’une œuvre littéraire se veut évocateur pour celui qui en prend connaissance, et acquiert une épais- seur sémantique, voire un niveau métaphorique pour celui qui a terminé la lecture de l’œuvre. Le titre Les grandes marées ne fait pas exception. Mais il a ceci de particulier qu’une fois le livre lu, il revêt une signification qui se situe aux antipodes de son sens

été rapportés de vol de yeux d’enfants. Les enfants de rue se font ablater leurs cornées. Il est également courant et légal de prélever les cornés sur les décédés de mort violente dans un pays où celles-ci sont nombreuses. La journaliste française Marie-Monique Robin a d’ailleurs produit un documentaire à ce sujet, « Voleurs d'yeux », en 1994. Ce documentaire créa une polémique en Colombie. Un médecin spécialiste a affirmé que ces enfants étaient plutôt atteints d’une kératite bilatérale sévère avec

québécois par son écriture très littéraire. Il met en scène un théâtre mis en abyme, qui secoue l’imaginaire du spectateur. En 1982, Provincetown Playhouse sera monté pour la première fois au Café Nelligan, dans une mise en scène de Michel Forgues avec Jean-Luc Denis, Marc Francoeur, Jacques Lussier et Francis Reddy. Malgré que cette première réception reste négative et qu’elle critique la cérébralité du texte, le Café Nelligan est, pour le metteur en scène Michel Forgues, le lieu idéal d’un théâtre non-traditionnel

anglophones des années 70. Il n'en fallait pas plus pour marquer une tendance. Luc De Larochellière est arrivé avec ses duos, après il y a eu Dan Bigras, Jean-Pierre Ferland, puis Marjo, Yves Lambert et bientôt Gilles Vigneault. Au rayon des reprises, l'automne 2009 a été particulièrement fertile : Dan Bigras (encore), Garou, Jean-François Breau et Marie-Ève Janvier, Boom Desjardins, France D'Amour (reprenant ses propres chansons) et Fred Pellerin (qui a aussi des compositions originales cependant). Ouf

5580, chemin de Chambly Saint-Hubert (Québec) J3Y 3P5 Téléphone : 450 926-2236 (9h à 17h sauf vendredi 16h) Dr.Luc Lapointe, Marlène Langelier, Carol McLeod, Huy Pham, Anh Tran, My-Hue Dang, Tuyet Minh Duon, Gia-Yen Chung, Binh Minh Do, C.P. Tran, (Vinh Phuc Pham (Voir C3) 5-Centre médical Charles Lemoyne 3125, boulevard

commence à manger des légumes. C’était bizarre de quitter le Costa Rica après tout le temps qu’on est resté là. Crime ! Quand j’vais voir des démunis au Québec, c’est sur que je vais penser au Costa Rica.» ----------------------- [1] LAPOINTE, Jean-Marie, « La vie est belle », Éditions Fides, Québec, 2008, p. 93. [2] TREMPE-MASSON, Catherine, « Stagiaires sans frontières » Ulysse guide de voyage, Québec, 2007, p.18. [3] CHOUINARD, Alexandre, « Escalade vers le Costa Rica », Texte non publié

la Sorcière aux prises avec l'intransigeant Curé Neuf. Distribution Vincent-Guillaume Otis (Babine) ; Luc Picard (Toussaint Brodeur) ; René-Richard Cyr (Méo Bellemare) ; Alexis Martin (le curé Neuf) ; Isabel Richer (La sorcière) ; Marie Brassard (Madame Gélinas) ; Marie-Chantal Perron (Jeanette Brodeur) ; Antoine Bertrand (Ti-Toine Gélinas) ; Gildor Roy (Riopel) ; Maude Laurendeau (Lurette Riopel) Fiche technique Genre: Conte, fantastique - Origine: Québec, 2008 - Sortie en salles: 28 novembre 2008

Flandre, 1904-1911). Charles Péguy Dans les mêmes années, des voix singulières se font entendre avec ceux qu’on a appelé « les Poètes de Dieu » comme Charles Péguy avec son inspiration patriotique et religieuse et la force d’une poésie simple (Jeanne d’Arc, 1897 - Tapisserie d’Ève, 1913), ou Paul Claudel avec sa quête spirituelle exprimée à travers l’ampleur du verset (Connaissance de l'Est (1896) Cinq Grandes Odes, 1904 - 1908 - 1910)13. Les novateurs [modifier] Calligramme Apollinaire

autres. «C'est là [...] le moyen le plus sûr d'accroître la prospérité générale tout en assurant le bien-être des individus...» (Jean Rivard, le défricheur, 1862) Déjà certains titres de roman sont assez évocateurs : Restons chez nous (1908) et L'Appel de la terre (1919) de Damase Potvin, La Terre vivante (1925) de Harry Bernard, La Terre que l'on défend (1928) de Henri Lapointe, La Terre ancestrale (1933) de Louis-Philippe Côté... Les personnages qui optent pour un autre mode de vie, qui manquent à leur

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