Jean-Pierre de Beaumarchais

aussi capable de renouveler les formes et les genres littéraires, tout en développant une véritable philosophie, à partir des intuitions fécondes d’une curiosité sans limites. Mais il doit sa gloire à l’Encyclopédie qu’il anima pendant 20ans. - Beaumarchais : Né à Paris 1732 – Mort 1799, auteur dramatique français. Il est une figure exceptionnelle, par la diversité de ses activités comme par sa réussite sociale : horloger (comme son père), courtisan, homme d’affaires, agent secret, écrivain. Aventurier

Intellectuel engagé au service de la vérité et de la justice, il prend, sur le tard, seul et en se servant de son immense notoriété, la défense de victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally. Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle mais elle comprend également

n'avait ses millions d'araignées..." [ Maxime Allain ] "Je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons." [ Raymond Devos ] "L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire." [ Pierre Desproges ] "Si l'administration militaire était bien faite, il n'y aurait pas de soldat inconnu." [ Louis Jouvet ] "Le printemps est venu : comment, nul ne l'a su." [ Antonio Machado ] "La trace d'un rêve n'est pas moins réelle que celle d'un pas

Exemple : - Dans Bridget Jones, elle fait des efforts pour trouver un mari et se faire accepter dans un monde qui lui est étranger, il sent suit des scènes drôles où elle vit en compagnies de gens sans comprendre se dont ils parlent. - Dans les Bronzés, Jean Claude Dus cherche à s’intégrer au groupe pour faire des rencontres, il va jusqu’à supporter que l’on se moque de lui pour être accepté.  Le rire critique, dérision, autocritique, autodérision  Le rire critique Il se trouve dans les satires,

n'avait ses millions d'araignées..." [ Maxime Allain ] "Je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons." [ Raymond Devos ] "L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire." [ Pierre Desproges ] "Si l'administration militaire était bien faite, il n'y aurait pas de soldat inconnu." [ Louis Jouvet ] "Le printemps est venu : comment, nul ne l'a su." [ Antonio Machado ] "La trace d'un rêve n'est pas moins réelle que celle d'un pas

proscrivaient débauche, dissolution et plaisirs charnels. En peignant des scènes érotiques, Watteau, Fragonard et Boucher ont opéré une véritable révolution : c'est dans ce sens que l'on peut qualifier le 18° siècle de siècle de libération des mœurs. VI. Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) Fragonard (1732 1806), peintre français reconnu, par son habilité dans le traitement des scènes courtoises, par son goût pour les virtuosités chromatiques, comme l'un des maîtres de l'esprit français. Son œuvre

se réalisera dans L’Insurgé. *Guy de Maupassant : Une vie (1883). Jeanne ne demande qu’à être heureuse. Pourquoi faut-il que la vie lui réserve tant de déceptions ? Bel-ami (1885). Grimper dans la société, c’est simple : il suffit d’utiliser les femmes. Un roman d’apprentissage qui est une aussi une peinture du monde de la presse, tout à fait pourrie. Mais c’est sans rapport avec les médias actuels, bien sûr... Pierre et Jean (1888). Deux frères, dont l’un se met à soupçonner qu’ils ne sont que

conformer aux mœurs des spectateurs. Le dramaturge doit la respecter pour ne pas choquer les spectateurs. La pièce ne doit donc pas dévoiler des scènes trop violentes comme la mort, ou trop explicite comme les scènes d'amour. Dans Phèdre, pièce de Jean Racine datant de 1667, la mort d'Hippolyte étant très violente, elle n'est pas montrée sur scène mais racontée par Théramène en scène V. Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiront mieux la chose ; Mais

Distribution Mise en scène : Jean-Marie Villégier Avec Dom Juan : Anthony Audoux Elvire / Mathurine : Sandrine Bonjean Dom Alonse / Le Commandeur / Le Pauvre : Jean-Charles Di Zazzo La Violette / Pierrot / Ragotin : Jonathan Duverger Sganarelle: Christophe Guillon Dom Carlos / Gusman / M. Dimanche : Emmanuel Guillon Charlotte: Sylvie Moussier Dom Louis: Jean-Marie Villégier Collaboration artistique : Jonathan Duverger Assistant à la mise en scène : Jean-Charles Di Zazzo Décor : Jean-Marie Abplanalp Costumes

| |Guillaume-Pierre de Boullongne, décidément obsédé par le souci de donner à ce fils à la peau noire l’éducation réservée aux aristocrates lui a offert pour professeur de | |violon Jean-Marie Leclair, le meilleur archet du royaume, et ancien musicien favori de Louis XV. Pour la composition c’est le grand Gossec qui est chargé de son | |enseignement