Jean Supervielle Marseille

Coefficient : 2 OBJET D’ETUDE- POESIE TEXTES : A- Charles BAUDELAIRE, « Paysage », Les Fleurs du Mal, 1857. B- Jules SUPERVIELLE, « Marseille », Débarcadères, 1927. C- Jean-Michel MAULPOIX, « Banlieue pauvre », La Matinée à l’anglaise, 1982. Le candidat s’assurera que le sujet qui lui est remis est bien complet. Ce sujet comporte 4 pages. Le candidat ne sera autorisé à quitter la salle qu’au

Coefficient : 2 Objet d’étude- POESIE Textes : A- Charles BAUDELAIRE, « Paysage », Les Fleurs du Mal, 1857. B- Jules SUPERVIELLE, « Marseille », Débarcadères, 1927. C- Jean-Michel MAULPOIX, « Banlieue pauvre », La Matinée à l’anglaise, 1982. Le candidat s’assurera que le sujet qui lui est remis est bien complet. Ce sujet comporte 4 pages. Le candidat ne sera autorisé à quitter la salle qu’au

front de mon pupitre; Car je serai plongé dans cette volupté D'évoquer le Printemps avec ma volonté, De tirer un soleil de mon coeur, et de faire De mes pensers brûlants une tiède atmosphère. Texte B-Jules Supervielle, « Marseille », Débarcadères, 1927. Marseille sortie de la mer, avec ses poissons de roche ses coquillages et l’iode, Et ses mâts en pleine ville qui disputent les passants, Ses tramways avec leurs pattes de crustacés sont luisants d’eau marine, Le beau rendez-vous

Embellir le monde réel ? Documents A – Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, 1857. B – Jules Supervielle, « Marseille », Débarcadères, 1927. C – Jean-Michel Maulpoix, « Banlieue pauvre », La Matinée à l’anglaise, 1982. m 1. m 2. Les différents auteurs jugent-ils de la même façon l’univers urbain ? Justifiez votre réponse. (3 points) Qu’est-ce qui rend chacun de ces textes poétique ? Justifiez votre réponse. (3 points) Document A Paysage 5 10 Je veux, pour

abordent-ils la question de l’homme ? Lectures analytiques - Etienne de la Boétie, Discours de la servitude volontaire, 1576. - Jean-Paul Sartre, L’Etre et le Néant, 1943. - Jean-Paul Sartre, Préface aux Damnés de la terre, 1961. Lectures complémentaires - Démosthène, Troisième Olynthienne, (349 av. J.-C.), Harangues ; Tome I, Les Belles Lettres, 1955. - Jean de la Bruyère, Les Caractères, LXII, « De la Cour », 1688. - Montesquieu, Lettres persannes, lettre CLXI, 1721 - Denis Diderot,

ce que confirment les poèmes de voyage, qui puisent leur essence dans le tableau de lieux réels, visités par le poète dont l'intention est de faire partager ces horizons au lecteur : Jules Supervielle, dans son recueil Débarcadères, fait la description particulièrement vivante de villes portuaires comme Marseille, et raconte ses expériences en Amérique du Sud, afin de faire de l'esprit du lecteur une véritable toile sur laquelle il applique les couleurs de ses voyages. Charles Baudelaire également

monstrueux », il essaye à partir de ses observations, de son expérience de définir ce qu’est un homme. L’enfant monstrueux malgré son apparence appartient à l’humanité, ce n’est donc pas l’apparence qui fait l’essence de l’homme. Exemple d’intro : Jean Bruller dit « Vercors » est un écrivain Français du XXème siècle, il a écrit de nombreuses pièces de théâtre comme Zoo ou l’assassin philanthrope. L’extrait de l’acte I, tableau 5ème, que nous étudions raconte l’interrogatoire de Bulbrought et cela

1ère S5 Une anthologie de la mer John Olsen, Sydney HarborTable des matières Préface …………………………………………………… page 3 Stéphane Mallarmé Brise marine ………………………………………. page 6 Charles Baudelaire L’appel du large ……………………. …………… page 8 Jules Supervielle La mer secrète ……………………..……………. page 10 Théophile Gautier Pendant la tempête ………………. ……………. page 12 Valery Larbaud Océan Indien ……………………………………. page 14 Jacques Prévert Sables mouvants ……………………………….

donc à des harmonies sonores. Ce poème dépeint donc le portrait des hommes de la société qui lui est contemporaine à travers deux objets représentatif de cette dernière: la cravate et la montre. [pic] Jean Cocteau (1889-1963) Compte rendu sportif de poésie, tiré d'Appogiatures (1953), Jean COCTEAU (1889-1963) Un mot vient de prendre la tête. Un verbe le suit de près et oblige à la pose du point final. Mais non! Mais non! Une simple lettre accourt vaincre la majuscule. Le point se sauve

a plus trop de relations avec les autres. // On a pas besoin de la nature pour s’amuser. // Jamais j’irai habiter en ville. 5°) Complétez par « soi » (forme impersonnelle), « lui » ou « nous » (formes personnelles). Ah, on est bien chez ………… ! / Jean n’a que dix-sept ans, il a la vie devant ………. / En ville, chacun ne pense qu’à …………… / On a le chance de pouvoir rentrer chez ………… quand on n’a pas cours. / Nous pouvons rentrer chez …………. quand nous le souhaitons. SQ2